15 décembre 2006

Des chardons plein les poches:Qu'il est dur de reconnaître ses erreurs!

La Cour de Cassation hier a refusé de décharger la mémoire de Seznec. Surprenant puisque le représentant du gouvernement, le procureur avait conclu à la demande de al révision de ce procés, baclé, où la police fut plus que légère à l'époque pourne pas dire complice. Elle a tout au moins instruit à charge, sans vérit    able enquête. Le doute n'a en rien bénéficié à l'accusé à l'époque.
Guillaume Seznec restera coupable, gracié, aprés guerre mais  toujorus coupable. Ce qui est insupportable à sa famille et particulièrement à son petit fils, Denis.
C'était le combat de sa vie. Il se bat depuis des années pour que l²'on reconnaisse l'innocence de son grand père. Hier outre la déception et la colère, il a à peine aprés avoir accusé le coup annoncé qu'il ne baisserait pas les bras et saisirait les instances européennes. En effet, c'ets maintenant  la seule possibilité  pour tenter de faire reconnaître l'erreur manifeste de la justice française.
Ce qui est surprenant dans la décision d'hier, outre la déception de tous ceux qui pensent que Seznec était innocent, c'ets le fait que les maagistrats de a Cour de cassation dans les quarante pages de l'arret rendu, jusitifient leur décision sur le fait qu'iln'y a pas d'éléments nouveaux, ce qui est manifestement faux. Faux puisqu'il le témoignage d'une femme qui a  apporté des éléments extgrémement interressant sur le politicier qui a mené l'enquête à charge contre Seznec et qui pourrait être impliqué.
Surprenante justice toujours sure d'elle qui ne parvient pas à reconnaître que peut e^ter il y a 82 ans elle a pu se tromper, que le peuple français a pu se tromper.
 

Réflexions:Le social en panne

Vendredi 15 décembre 2006
 
Hier Jeudi 14 décembre se tenait une conférence pour les salaires le pouvoir d'achat réunissant autour du Premier Ministre les partenaires sociaux. Cela faisait dix ans, que pareil événement n'avait pas eu lieu. Jospin à son arrivée en 97 en avait convoqué une. Ensuite, du fait des 35h, et le départ de Gantois de la Présidence du CNPF, il n'y en eu plus jusque 2002. L'UMP  jusque hier n'avait pas trouvé intéret de contraindre leurs fidèles alliés du MEDEF.
Finalement la montagne a accouché d'une souris. aucunes annonces extraordinairs. L'Etat se portera caution des ménages les plus modestes pour leur permettre de trouver un logement. Cela permettra d'aider un peu, mais ne réglera pas l'impossibilité que connaissent beaucoup notamment en région parisienne, y compris étant en CDI de pouvoir se loger, du fait du montant des loyers. Les mesures ne sont pas à la hauteur d'un pays qui commmence à avoir des SDF salariés en CDI!
L'autre grande mesure est relativement surréaliste et hypocrite. Pour masquer la politique de classe qui est menée au travers des services à la personnes dans le plan de cohésion sociale, il est proposée de faire bénéficier lesméanges qui ne paye pas l'impot, soit un sur deux, de bénéficier d'un remboursement par l'Etat de la moitié de ce qu'ils aquitteront pour rémunérer le service à la perosnne. Cette mesure bénéficiera à l'emploi c'est une bonne chose, et gommera un tout petit peu l'incitation purement fiscale existante actuellement. Les ménages les plus aisés peuvent déduire jusque 12000 euros de leurs impots. Hypocrite parce que les ménages aquittant l'impot bénéficient actuellement d'une réduction fiscale de prés de 3 milliards d'euros, alors que les ménages les plus modestes au travers de cette mesure ne devraient aps recevori plus de 150 millions d'euros, soit 20 fois mois pour plus de la moitiié des Français. Vous me direz jusque là ils n'avaient rien!
Il est vrai. Mais pense t'on rééllement que la mère de famille élevant seule ses enfants, qui effectue des ménages pour nourrir sa famille, prendra t'elle rééllement une femme de ménage chez elle? ou des cours à domicile, alors même qu'elle n'arrive pas à finir le mois?
 
Ce n'ets pas avce la dernière mesure d'augmenter l'APL de 2,8% annoncée en amrge de la conférence, avec en contrepartie un engagement des propriétaires de modération de l'augmentation des loyers que l'on réglera le problème des logement. Si De Villepin s'est senti obligé d'annoncer cette mesure c'est qu'il avait perçu le desarroi et la déception des partenaires sociaux suite aux annonces de la journée.
 
Rien, ou si peu de chose.
 
Dans la loi de fiannces de la sécurité sociale ce n'ets guère mieux. les quelques avancées pour les petites et moyennes antreprises, avec le bouclier social, ont été retoquées par le Conseil Constitutionnel. Dommage!
pour finir et ça c'ets une bonne nouvelle la mesurte imposer par le gouvernement contre l'avis des complémentaires santé et au premier rang desquels la Mutualité Française, la déréglementation déguisée des tarifs de la chirurgie a été elle aussi refusée par les sages du Palais Royal. Le secteur optionnel qui leur a été promis, puisque ces pauvres médecins se trouvent trop considérés, c'ets àd ire payés, devra prendre d'autres voies.

14 décembre 2006

Revue de presse: La fin de l'histoire Belge, la chute!

La télévision publique francophone a interrompu ses programmes, mercredi soir, pour diffuser une fausse émission qui simulait l'indépendance de la Flandre
 
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CHRONOLOGIE
 
1970-1971.
 
La première réforme de l'Etat belge consacre l'existence de " communautés " française et flamande.
 
1980.
 
Création des régions flamande et wallonne. Le sort de Bruxelles est gelé. Les régions s'occupent d'économie, du logement, de l'administration locale ; les
communautés gèrent l'enseignement, la culture.
 
1993.
 
Election directe des assemblées régionales, modification du système bicaméral, création de la région bruxelloise.
 
2001.
 
Définition de nouvelles compétences et du financement des pouvoirs fédérés.
 
2007.
 
Rendez-vous prévu pour le lancement d'une nouvelle négociation institutionnelle.
 
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Une émission de politique-fiction diffusée, mercredi 13 décembre, par la Radio-télévision belge francophone (RTBF) a suscité un tollé politique et une grande
émotion dans le pays. La chaîne publique a interrompu ses programmes vers 20 h 20 pour diffuser, durant une centaine de minutes, une fausse émission spéciale
d'information évoquant la fin de l'Etat belge après la proclamation unilatérale, par le parlement régional flamand, de l'indépendance de la Flandre.
 
FUITE DU ROI À KINSHASA
 
Des figures bien connues du grand public, dont le présentateur attitré du journal télévisé, semblaient assumer leur rôle habituel en évoquant " une crise
majeure au sommet de l'Etat ", la fuite du couple royal vers Kinshasa - la capitale de l'ex-Congo belge - ou des scènes de liesse à Anvers. Un directeur
de l'information ponctuait l'émission de commentaires apparemment sérieux sur le coup de force des partis flamands.
 
Une grande partie du public n'avait visiblement pas lu la mention " ceci n' est peut-être pas une fiction " apparue un très bref instant avant le lancement
de l'émission. Toutes les rédactions ont été immédiatement assaillies d'innombrables messages, des coups de téléphone ont été échangés partout et des réactions
de colère, d'incompréhension ou de tristesse ont été enregistrées en divers endroits. Divers témoignages évoquent des personnes âgées qui ont fondu en
larmes ou des enfants inquiets interpellant leurs parents.
 
L'information a semblé d'autant plus crédible à beaucoup qu'elle était appuyée par les commentaires de diverses personnalités politiques mises dans la confidence
et qui avaient accepté d'enregistrer de fausses réactions. Des directs simulés avaient été organisés devant le palais royal et le siège du parlement flamand,
où s'étaient massés des manifestants en liesse - en fait, des figurants. Des reportages montraient des trains forcés de s'arrêter à la frontière du nouvel
Etat, d'autres, plus sérieux, évoquaient les conséquences concrètes d'une scission du pays, dont une forte baisse du niveau de vie en Wallonie et le nécessaire
partage de la dette publique - 300 milliards d'euros - entre Flamands et francophones.
 
Apparemment exigée par les autorités de tutelle de la RTBF, la mention " ceci est une fiction " est apparue sur les écrans au bout d'une demi-heure. Les
journalistes ont toutefois poursuivi l'émission jusqu'à son terme et expliqué, tout à la fin, qu'ils avaient voulu " prendre des risques " pour évoquer
les conséquences concrètes de l'éclatement du pays, souvent évoqué en Flandre. Jean-Paul Philippot, l'administrateur-général de la RTBF, soulignait qu'un
intense débat interne avait eu lieu pendant deux ans avant que soit prise la décision de diffuser une telle émission.
 
Jeudi, M. Philippot estimait que " l'impact de l'émission a été plus grand que prévu ", ce qui indique, selon lui, la forte composante émotionnelle des
questions institutionnelles en Belgique. Présentant ses excuses " à ceux qui ont vécu ce moment comme bouleversant ", il promet de s'interroger dès lors
sur la forme utilisée et souligne qu'elle ne deviendra pas " un système " pour la RTBF.
 
Benoit Grevisse, professeur à l'Ecole de journalisme de Louvain-la-Neuve, juge que le procédé utilisé était " trompeur et ambigu " et cadre mal avec les
missions du service public. François Henderickx, sociologue des médias, estime que si un débat a effectivement été lancé, il porte sur les méthodes de
la RTBF et pas sur le séparatisme.
 
Jean-Pierre Stroobants
 
 

Portrait:Wafa Sultan, une laïque courageuse

Wafa Sultan en croisade contre les mollahs
 
LE MONDE | 04.04.06 | 14h51  •  Mis à jour le 07.12.06 | 10h20
 
 
Plus d'un million de personnes ont vu l'interview, qui a été diffusée sur Internet et a suscité des commentaires dans le monde entier. Depuis une bonne
décennie, Wafa Sultan, cette américaine d'origine Syrienne de 47 ans établie en Californie, s'était fait une certaine réputation dans les milieux arabo-musulman
en exprimant ses critiques virulentes contre l'islam. Mais ses deux passages sur la chaîne de télévision qatarie Al-Jazira, et surtout le dernier, le 21
février, l'ont soudain fait connaître du monde occidental et de la blogosphère.
 
 
1958
Naissance à Banias (Syrie).
 
1979
Meurtre de son professeur à l'université d'Alep.
 
1989
Exil vers les Etats-Unis, avec son mari et ses enfants.
 
2005
Devient citoyenne américaine.
 
2006
Intervient sur Al-Jazira, le 21 février, face à un théologien égyptien.
 
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Face au Dr Ibrahim Al-Khouli, un Egyptien défenseur du Coran et des lois islamiques, cette psychiatre de formation n'a pas hésité à dire : "Le conflit auquel
nous assistons n'est pas un conflit de religions ou de civilisations. C'est un conflit entre deux opposés, deux époques, entre la barbarie et la raison.
C'est un conflit entre une mentalité qui relève du Moyen Age et une autre qui appartient au XXI e siècle."
 
Son interlocuteur l'a traitée d'"hérétique", en affirmant qu'elle était "plus dangereuse pour l'islam que les bandes dessinées publiées par les journaux
danois". Sans se démonter, cette femme vive et énergique a poursuivi : "Les juifs ont subi la tragédie de l'Holocauste, mais ils ont obligé le monde à
les respecter au moyen de leur savoir, de leur travail et non de leur terreur... Nous n'avons pas vu un seul juif protester en commettant des meurtres.
Les musulmans ont transformé en décombres trois statues de Bouddha. Nous n'avons pas vu un seul bouddhiste réduire en cendres une mosquée, tuer un musulman
ou incendier une ambassade."
 
Depuis, Wafa Sultan recueille de nombreux messages de solidarité de femmes d'Iran, du Pakistan, du Bangladesh... Mais elle reçoit aussi des menaces de mort,
sur son répondeur téléphonique et par courrier électronique. Sa mère, qui vit toujours en Syrie, est désormais fâchée avec elle : "Elle est à 100 % contre
moi."
 
Celle qui a rejoint la cohorte des femmes en guerre contre les mollahs, d'Ayaan Hirsi Ali, néerlandaise d'origine somalienne (et collaboratrice du cinéaste
assassiné Theo Van Gogh), à Irshad Manji, canadienne d'origine pakistanaise et homosexuelle, est née en Syrie dans une famille aisée de dix enfants, et
a été élevée dans la stricte observance de la religion musulmane. En 1979, elle étudie la médecine à l'université d'Alep, dans le nord du pays, quand elle
est témoin du meurtre d'un de ses professeurs par des militants islamiques qui hurlent "Allah est grand !" en le criblant de balles.
 
Plus de vingt-cinq ans plus tard, dans la maison spacieuse des environs de Los Angeles qu'elle partage avec son mari et ses trois enfants de 24, 20 et 15
ans, elle définit cet événement traumatisant comme le point de départ de sa démarche actuelle. "Quand vous tuez un être humain au nom de Dieu, qu'est-ce
donc que ce Dieu ?", interroge-t-elle dans son anglais tonifié par le rythme de la langue arabe.
 
Elle perd alors la foi et tente avec son mari de quitter la Syrie. Ils y parviennent finalement en 1989 et s'installent en Californie. Wafa ne parlait pas
un mot d'anglais, mais elle a repassé toutes ses qualifications de médecin psychiatre dans le système médical américain.
 
Dès le jour de son arrivée, elle s'est mise à écrire, en arabe. "Le savoir que j'ai acquis dans ce pays m'a sortie d'une pensée rétrograde, dit-elle. Je
suis libre et capable d'aider mon peuple, qui est otage des enseignements de l'islam, à se libérer." Ses écrits ont vite circulé dans la communauté arabo-américaine,
puis sur le site Web
www.annaqed.com
(annaqed veut dire "critique"), créé par un immigré syrien établi à Phoenix, dans l'Arizona.
 
Quand la chaîne arabe Al-Jazira a eu besoin d'apporter la contradiction à un islamiste fondamentaliste pour l'émission de débat "Directions opposées", elle
a tout naturellement pensé à Wafa Sultan, qui s'est exprimée en direct et en arabe, depuis sa résidence californienne.
 
Au risque de paraître manichéenne à son tour, elle estime qu'il n'est même pas question pour elle de réformer l'islam, "un système en crise depuis sa création
il y a quatorze siècles, et avec lequel aucune négociation n'est possible !". Elle constate, sans les cautionner pour autant, que les régimes dictatoriaux
- comme en Iran jusqu'en 1979, en Syrie ou en Irak - ont exercé un certain contrôle sur la montée en puissance de l'extrémisme islamique. "La religion
musulmane s'est toujours protégée en établissant un lien très fort avec le pouvoir politique. Dans le même temps, les dictatures contrôlaient à leur manière
le pouvoir du clergé." Mais, avec les soubresauts de l'actualité économique et politique, et surtout les attentats du 11-Septembre, l'islam a atteint selon
elle un point critique : "L'Occident a enfin compris le danger et cela nous force à changer."
 
Wafa Sultan se garde de porter un jugement sur le bien-fondé de la guerre en Irak, mais remarque que les Américains "sont venus chercher des armes de destruction
massive, mais pas dans les bons endroits, car les vrais "WMD" Weapons of Mass Destruction, ce sont les enseignements des écoles des pays islamiques."
 
Elle se voit volontiers en nouveau Voltaire apportant ses lumières au monde arabe, en philosophe sauveur de ce grand désastre mondial induit par un excès
de religion. Elle a déjà publié deux livres en langue arabe sur Internet, et travaille actuellement à un troisième ouvrage, The Escaped Prisoner : When
God is a Monster (Le prisonnier échappé : quand Dieu est un monstre).
 
Le prisonnier qui s'est échappé, "c'est moi", convient-elle. "Dans dix ans, une femme saoudienne dira ce que je dis aujourd'hui, non pas depuis sa maison
aux Etats-Unis, mais depuis sa maison en Arabie saoudite." Elle espère finir ce livre cet été. Les éditeurs américains se l'arrachent déjà.
 
Claudine Mulard
Article paru dans l'édition du 05.04.06.

Revue de presse:La situation des femmes dans les pays Arabes

Mercredi 13 décembre 2006
 
La discrimination envers les femmes est un frein majeur au développement économique et social du monde arabe, estime un rapport annuel du Programme des
Nations unies pour le développement (PNUD) qui porte sur le monde arabe, rendu public jeudi 7 décembre.
 
Rédigé par une équipe d'experts arabes, ce rapport fait de la promotion des femmes "une condition sine qua non de la renaissance arabe"  et appelle les
pays concernés à prendre des mesures de "discrimination positive" en faveur des femmes, en leur ouvrant davantage les portes de la santé, de l'éducation
et de l'économie. Dans ce dernier domaine, la place des femmes est plus faible dans le monde arabe que dans tout autre partie du globe. Le taux de chômage
des femmes est ainsi de deux à cinq fois plus élevé que celui des hommes dans la plupart des pays de la région, selon le rapport.
 
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Une majorité de sondés en faveur de l'égalité hommes-femmes
 
Selon un sondage mené pour le PNUD dans quatre pays – l'Egypte, la Jordanie, le Liban et le Maroc –, l'immense majorité des Arabes, hommes et femmes confondus,
aspirent à davantage d'égalité entre les sexes. Un millier de personnes ont été interrogées dans chacun des quatre pays. A 98 %, elles estiment que les
filles ont le même droit à l'éducation que les garçons jusqu'à l'université, et 97 % des personnes interrogées condamnent les violences physiques et mentales
infligées aux femmes. Ces personnes sondées estiment à 95 % qu'une femme doit pouvoir choisir librement son époux, et 91 % des sondés souhaitent un égal
accès au travail pour tous et la maîtrise par les femmes de leur situation économique.
 
Dans le domaine familial, les personnes interrogées apparaissent plus divisées. A propos du voile, la moitié des sondés en acceptent le port si telle est
la décision de la femme concernée. Mais entre 43 % et 50 % des personnes sondées en Egypte, en Jordanie et au Maroc jugent que la femme doit le porter
que cela lui plaise ou non. Sur le plan politique, entre 76 % des consultés approuvent la nomination d'une femme comme ministre, mais 72 % des Egyptiens
et 59 % des Jordaniens se disent opposés à ce qu'une femme devienne chef d'Etat. - (Avec AFP)
 
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En ce qui concerne l'éducation, moins de 80 % des filles vont à l'école secondaire dans tous les pays arabes, sauf à Bahreïn, en Jordanie, dans les territoires
palestiniens et au Qatar. L'illettrisme touche la moitié des femmes contre seulement un tiers des hommes.
 
Sur le plan de la santé, "les maladies privent les femmes d'un nombre plus important d'années de leur vie", un phénomène lié à "des styles généraux de vie
caractérisés par la ségrégation à l'encontre des femmes", selon le rapport. La mortalité des mères à la suite d'une grossesse ou d'un accouchement atteint
des niveaux "inacceptables", avec 270 morts pour 100 000 accouchements dans l'ensemble de la région. Le chiffre varie entre sept pour 100 000 au Qatar
et plus d'un millier de morts dans des pays pauvres comme la Somalie ou la Mauritanie.
 
LE RAPPORT N'ACCUSE PAS DIRECTEMENT L'ISLAM
 
Dans beaucoup de pays, observe le rapport, la mise à l'écart des femmes est inscrite dans la législation, alors que la Constitution de ces mêmes Etats leur
accorde en principe les mêmes droits qu'aux hommes.
 
Selon les auteurs de l'enquête, la religion musulmane n'est pas directement responsable de la situation. Les conflits, les occupations étrangères, le terrorisme
et la domination des sociétés par "des forces politiques conservatrices et inflexibles" qui protègent "les cultures et valeurs masculines"  sont les principaux
obstacles à la libération des femmes, estiment-ils.
 
Mais ces mêmes auteurs plaident pour une révision de la "jurisprudence islamique", ou interprétation du Coran, pour mieux prendre en compte l'évolution
de la société. L'étude souligne les écarts au sein du monde arabe en ce qui concerne le statut des femmes, relevant par exemple qu'en Tunisie, en Jordanie,
au Liban ou dans les territoires palestiniens, les filles sont davantage scolarisées que les garçons.
 
Dans la sphère politique, la plupart des Etats concernés – à l'exception de la région du Golfe – ont accordé le droit de vote aux femmes dès les années
1950 et 1960. Des femmes ministres ont fait leur apparition récemment. Mais avec seulement 10 % de députées, les pays arabes conservent la plus faible
proportion mondiale de femmes parlementaires. Les auteurs soulignent que la réforme doit aller au-delà du cosmétique et du symbolique.
 
Les experts concluent que la promotion des femmes requiert avant tout de donner à toutes les femmes arabes les possibilités d'accéder au même niveau de
santé et de savoir que les hommes, puis d'"offrir aussi aux femmes toutes les chances de participer activement, sur décision personnelle librement prise,
à tous les types d'activités humaines, en dehors du cadre familial, sur un pied d'égalité avec leurs homologues de sexe masculin".

BlogTrotter:Duel vidéo sur le ent en Espagne

Mardi 12 décembre 2006
 
 
Voici une nouvelle manière de faire de la politique. Un peu plus trasch, sans le filtre des médias, on livre des vidéos contre l'adversaire, sur le net, à la sagacité des internates, et cela se propage... Qu'est ce que la démocratie peut avoir à ganer à cela?
Ce n'est pas encore en France, mais en Espagne, bien que pendant la campagne interne aux socialistes une vidéo sur ségolène ait tenté de la destabiliser.
Alors à quand une vidéo sur les agissements de Sarko, ou de Ségo
 
 
à lire ce trés bon article du Monde
 
Madrid DIANE CAMBON.
 
 Publié le 07 décembre 2006
 
Actualisé le 07 décembre 2006 : 07h28
 
Les partis ibériques diffusent sur la Toile de plus en plus de films attaquant de façon parfois très agressive leurs adversaires politiques.
 
C'EST DEVENU la nouvelle arme des partis espagnols et le dernier cri en matière de communication politique : le « vidéoduel », dénommé aussi « vidéo propagande
». Il s'agit d'un petit film d'une quinzaine de minutes diffusant un message politique précis et dont le but est de décrédibiliser, voire d'attaquer l'adversaire.
Ces courts métrages sont visibles sur Internet sur les pages Web des partis politiques et ont le grand avantage de se propager à la vitesse des courriels
et autres pourriels. Le Parti populaire (PP) et le Parti socialiste espagnol (PSOE) en raffolent.
 
Le dernier en date qui a fait sensation est celui du Parti socialiste, intitulé La Otra Tregua (L'Autre Trêve) et diffusé sur Internet en fin de semaine
dernière. D'une durée de dix-sept minutes, la vidéo fait référence à la trêve déclarée par l'organisation séparatiste basque ETA, en 1998 sous le gouvernement
de José Maria Aznar. Dans ce film, réalisé par le parti et nourri d'images d'archives, la gauche espagnole cherche à contrecarrer les critiques des conservateurs
à l'égard de l'actuel processus de paix. Leur but : démontrer à l'opinion publique que les conservateurs avaient, eux aussi, tenté de négocier avec les
terroristes basques pour obtenir la paix. On y voit l'ancien chef du gouvernement Aznar en train d'évoquer le rapprochement des prisonniers membres d'ETA,
le tout rythmé par une voix off. Selon le PSOE, la vidéo a rencontré un franc succès. Près de 350 000 internautes l'ont regardé le jour de sa sortie. La
réplique des conservateurs ne s'est pas fait attendre. Le jour même de sa diffusion, le PP a mis en ligne une autre vidéo démentant le film des socialistes.
 
Le Parti populaire affectionne tout particulièrement ce nouvel outil de marketing politique. Le PP a déjà eu plusieurs fois recours à cette méthode.
 
Une marée de critiques
 
Après avoir perdu les élections législatives de mars 2004, les conservateurs ont cherché avec des cabinets d'experts un nouveau style plus « dynamique »
de communication politique. « La force de ces vidéos est qu'elles attirent non seulement les électeurs fidèles mais aussi et surtout les électeurs opposés
idéologiquement, qui par curiosité ne peuvent résister à regarder la façon dont ils sont traités », explique Luis Ayllon, secrétaire de communication et
député du PP.
 
La première vidéo du PP, réalisée par la Faes, le think-tank du parti, avait à l'époque suscité une marée de critiques. Tras la masacre (Après le massacre),
filmé comme une série B, faisait référence aux attentats du 11 mars 2004 à Madrid, orchestrés selon le PP, par une conspiration al-Qaida- ETA pour donner
la victoire aux socialistes. Il y a un mois, les conservateurs ont réitéré l'expérience avec une vidéo sur l'insécurité citoyenne en hausse depuis l'arrivée
des socialistes. Au lieu d'être un succès, la vidéo s'est révélée être un « bide ». Les images utilisées pour le clip venaient de la télévision colombienne,
où l'on voyait des scènes de violence dans les rues de Bogota.

Revue de presse:Le Mystère de Ploërmel

Dans l'édition du Monde du 9 décembre 2006
 
Du haut de ses 9 mètres, la statue de Jean Paul II qui, depuis quelques jours, se dresse à Ploërmel (Morbihan), entre le collège du Sacré-Coeur et l'école
Saint-Joseph, contemple ce que Brassens aurait appelé une tempête dans un bénitier. Bien qu'il s'agisse d'un "cadeau" du sculpteur moscovite Zurab Tsereteli
- qui, en retour, aura droit à une place à son nom -, Paul Anselin, le maire (UMP), a fait voter des crédits de 100 000 euros pour la construction du socle.
Plus 30 000 euros pour les festivités inaugurales auxquelles devaient être conviés, dimanche 10 décembre, Bernadette Chirac, l'ambassadeur de Russie et
l'évêque de Vannes. Prévue le 9, la cérémonie a été retardée afin de ne pas coïncider avec l'anniversaire de la loi de 1905 sur la séparation de l'Eglise
et de l'Etat ; sans apaiser la colère des militants laïques.
 
Le 18 novembre, une manifestation organisée pour la "défense des valeurs républicaines" a réuni plusieurs centaines d'opposants, et quelques anars ont scandé
: " A bas la calotte !" Plus sérieusement, Maïté Brochard, libraire à Ploërmel et catholique, s'indigne : " Quand des gens censés faire respecter la loi
la bafouent, on n'est plus loin d'une république bananière !"
 
Derrière cette polémique clochemerlesque se profile une question, troublante : par quelles voies impénétrables une statue géante, fondue à Saint-Pétersbourg,
a-t-elle pu être parachutée dans cette bourgade de 8 500 habitants bordant la forêt de Brocéliande ? La réponse réside sans doute dans la rencontre inattendue
des deux protagonistes.
 
Maire depuis 1977, Paul Anselin, né en 1931 à Arcachon, a débarqué en Bretagne après un parcours sinueux. Saint-cyrien, il a passé vingt ans dans l'armée
et est devenu ami avec Jacques Chirac, sous-lieutenant comme lui - mais alors "plutôt de gauche" -, durant la guerre d'Algérie, au sein du 6e régiment
de chasseurs d'Afrique. " Le 17 janvier 1957, avec mon commando, on est tombés dans une embuscade, encerclés par une centaine de fellouzes, raconte Paul
Anselin. Nous n'avions plus de munitions, et Chirac nous a sauvé la peau en faisant tirer au canon."
 
Jacques Chirac a retrouvé la vie civile, mais M. Anselin a fait carrière chez les paras puis, en quittant l'armée, il a été admis dans l'administration.
Après un passage, comme chargé de mission, dans de nombreux cabinets ministériels, auprès de Philippe Malaud, Alain Madelin, Paul Dijoud, Alice Saunier-Seïté
et André Jarrot, mais aussi au Quai d'Orsay, sous la houlette d'Alain Juppé ou de son grand ami Hervé de Charette, on le retrouve en 1974 à Epinal avec
le rang de sous-préfet.
 
Homme de l'ombre tenaillé par la politique, Paul Anselin a vainement tenté de sauter le pas, sur une liste Républicains indépendants, lors des municipales
de 1971, à Paris, puis comme suppléant lors des législatives de 1973, dans le Morbihan. Depuis la conquête de Ploërmel, il dirige sa mairie avec une telle
autorité que ses adversaires l'ont surnommé "Pol Pot".
 
" J'avais rompu avec de Gaulle à cause du lâchage des harkis et je suis aujourd'hui un gaulliste mâtiné de chrétien social, mais pas un cul-bénit", lâche
l'ancien baroudeur, qui ne se défend pas de pratiquer le clientélisme. Il avoue même fièrement avoir " casé à Paris plus de 250 Bretons" dans des emplois
plus ou moins réservés, au risque de faire concurrence à la filière corrézienne de Jacques Chirac, qui en aurait pris " un peu ombrage". Pour l'élection
présidentielle, l'ancien compagnon d'armes soutiendra Sarkozy, "sauf si le Grand y va...".
 
M. Anselin se rend souvent en Russie parce qu'il " aime ce pays". Il dit avoir été présenté à Zurab Tsereteli par un ancien ambassadeur de Géorgie. Bien
qu'ils doivent recourir à un interprète, les deux hommes seraient devenus assez intimes pour que le sculpteur offre une statue au maire. "Lorsqu'il m'a
proposé de choisir, j'ai lancé le nom de Jean Paul II. Il a obtenu la bénédiction du patriarche Alexis II et s'est mis au travail." M. Anselin évoque aussi
un "service rendu" sur lequel il refuse de s'expliquer. "Zurab est un génie, c'est à la fois Chagall et Picasso !", préfère-t-il s'enflammer.
 
Zurab Tsereteli, 72 ans, est un personnage aussi complexe mais plus voyant. Sur son site Internet, la liste de ses distinctions occupe deux pleines pages.
Président de l'Académie des beaux-arts de Russie, il est également correspondant de son homologue française. Tsereteli a appris, dans son Tbilissi natal,
à maîtriser l'art des émaux et de la mosaïque, ce qui lui a permis de décorer les ambassades d'URSS aux Etats-Unis, en Syrie, au Brésil et au Japon. Mais
sa renommée et son influence ont explosé après la désintégration de l'Union soviétique. Devenu quasiment un artiste "officiel", Tsereteli a réussi à se
rapprocher de Vladimir Poutine, qui faisait preuve de méfiance à son égard, et l'a coulé dans le bronze en tenue de... judoka. Cependant, son meilleur
ami et protecteur reste le maire de Moscou, Youri Loujkov, qui a largement ouvert à son chouchou les espaces publics. La capitale russe regorge ainsi de
ses oeuvres colossales, suscitant la rage ou la risée des milieux culturels et de quantité d'artistes moins en cour. Avant de semer un bestiaire de bronze
dans les jardins du Manège, qui bordent le Kremlin, Tsereteli a réalisé son coup de maître en 1997 en faisant bâtir une île artificielle sur la Moskowa
pour y ériger un monument de 96 mètres de haut à la gloire de Pierre le Grand.
 
Aujourd'hui richissime, grâce à l'héritage échu à son épouse - constitué notamment d'un somptueux appartement à Paris -, Tsereteli possède à Moscou deux
musées et une galerie où des milliers de ses toiles voisinent avec celles d'artistes contemporains. Dans son luxueux hôtel particulier, il tient table
ouverte - cinquante couverts - pour la jet-set moscovite et les personnalités de passage.
 
La modestie n'étant pas le fort de ce stakhanoviste de la statuaire, il exhibe avec jubilation les témoignages d'admiration ou de gratitude de Norman Mailer,
David Rockefeller, Gina Lollobrigrida, Robert De Niro, Ted Kennedy, Hillary Clinton ou George Bush père. Le "nabab", qui se déplace en Rolls escorté par
des gardes du corps, n'en célèbre pas moins chaque année l'anniversaire de son compatriote Staline.
 
Comment Paul Anselin a-t-il pu s'introduire dans cet aréopage ? Il faut peut-être chercher du côté de sa société, PAC (Paul Anselin Consultant), qui fait
de lui un grand voyageur, suivant parfois le président Chirac dans ses déplacements, notamment au Mexique, où il a décroché plusieurs marchés. Cette activité,
qui consiste, dit-il, à "amener des boîtes à l'international", lui a causé quelques soucis et notamment d'"être cité" dans l'affaire de ventes d'armes
à l'Angola par l'homme d'affaires Pierre Falcone.
 
En fait, le juge Philippe Courroye, chargé de ce dossier, l'a mis en examen en octobre 2002 pour "recel d'abus de biens sociaux" portant sur plus de 450
000 euros, versés, sans traces de prestations, par Brenco International, la société de Pierre Falcone, via une banque des îles Vierges. Les largesses dont
a bénéficié M. Anselin portaient notamment sur la mise à disposition d'une Safrane avec chauffeur.
 
Dans ce dossier sulfureux, Paul Anselin voisine avec une brochette de personnalités parmi lesquelles Charles Pasqua, Jean-Charles Marchiani, Jean-Christophe
Mitterrand ou Paul-Loup Sulitzer. On y retrouve surtout, en personnage pivot, Arcadi Gaydamak, un homme d'affaires franco-russo-israélien qui fait l'objet
d'un mandat d'arrêt international. Ce dernier partage sa résidence entre Moscou, où il est né, et Israël, où il possède un club de football, ce qui ne
l'a pas empêché de prétendre racheter France Soir à la fin de 2005. Interrogé par téléphone, M. Gaydamak dit être au courant de l'affaire de la statue
du pape " par LCI", mais il affirme, avec embarras, ne pas connaître Paul Anselin.
 
Outre un possible renvoi d'ascenseur politico-financier, le cadeau de Tsereteli à Ploërmel pourrait s'expliquer par son obsession à truffer la planète de
ses oeuvres, d'un lourd académisme. Le sculpteur a, par exemple, réalisé gracieusement un monument à la mémoire des victimes des attentats du 11 septembre
2001. Manhattan l'ayant refusé, ce titanesque témoignage de 175 tonnes a dû être déposé dans la ville de Bayonne (New Jersey) mais, le 11 septembre 2006,
Bill Clinton n'en a pas moins prononcé le discours inaugural.
 
En France, les réticences vis-à-vis des oeuvres de Tsereteli sont plus vives. Sa statue de Charles de Gaulle est restée devant l'Hôtel Cosmos de Moscou,
où Jacques Chirac a participé à son inauguration, et sa célébration de Balzac a longtemps erré avant de se faire adopter. Yves Gagnieux, conservateur de
la maison de Balzac à Paris, se souvient que, début 2001, des collaborateurs de Tsereteli étaient venus lui présenter l'esquisse d'un monument " haut comme
un immeuble de 10 étages" qu'il se proposait d'édifier sur une esplanade proche du parc Euro Disney.
 
Ce projet ayant avorté, le sculpteur accoucha d'un bronze de l'écrivain, de 2,8 mètres, qui, refusé par plusieurs villes, dont Paris et La Rochelle, a finalement
échoué, en juin 2004, à Agde (Hérault). " C'est par le réseau de l'Association des maires qu'on m'a proposé ce cadeau de la République de Russie, se souvient
Gilles D'Ettore, maire (UMP) d'Agde. Comme c'était gratos, j'ai dit "je prends", et on l'a mis au cap d'Agde. Je ne sais pas en quoi il est, mais ça n'est
pas du toc !"
 
Robert Belleret

11 décembre 2006

Echos de campagne:le Ché va à la soupe chez Royal!

Lundi 11 décembre 2006
 
Cette campagne nous fait aller de déception en déception.
Marie-Georges, ne parvient même pas à se faire désigner par les alter-mondialistes anticapitalistes post 29 mai. On dirait une réunion trotskistes tant ils sont occupés à se diviser, alors qu'ils sont peu nombreux et qu'ils devraient si ils ne veulent pas disparaître, jouer la carte de l'unité. Que neni, pire que les Verts ils parviennent à terminer leur week end de division exacerbées en refusant l'investiture à Buffet, alors même que cette dernière avait recueillie 55% des voix, mais elle ne fait pas le consensus. C'ets dire le niveau de démocratie de ces alter... attendre pour agir l'unanimisme, du consensus. Ils sont et restent les plus fidèles alliers du capitalisme triomphat qu'ils pourfendent, puisque c'ets leur raison d'être. L'urgence est certainemetn à savoir si il faut Clémentine ou Marie-Georges...
que d'occasions manquées
 
Le Che, conscient que cette fois ci l'espace electorale du mécontentement s'ets nettement réduit, n'a pas voulu être ridicule. Enfin être plus ridicule qu'il ne l'était déjà.fort d'une prévision sondagière de l'ordre de 1%, bientôt en dessous du parti des travailleurs, celui qui se voyait un destin Gaullien, a décidé de sauver les meubles, et même si le ridicule ne tue pas, de ne pas risquer une seocnde fois la résurrection.
scoop à l'AFP: Chevènement se retire au profit de Ségolène Royal. la surprise tient peut-être auf ait de le faire si tôt. Nous auriosn pu espérer pour quelqu'un qui se voyait un destin napoléonien, qui souhaitait peser sur cette campagne, imposer ces thèmes de débat, qu'il ne veuille attendre avant d'appeler à rallier la candidature Royal. Rien ne saurait le dévier de sa route disait il, sauf devori aller à la soupe pour ne pas risquer que ses dernières troupes parlemetnaires ne le quittassent, et qu'il ne se retrouvat fort dépourvu, au moment où la victoire fut venue, sans maroquin, ni voiture qui fait pimpon!!!
Le Che est allé à la soupe comme les autre,s alors même qu'il dénonce la dictature des partis,
il est allé à la soupe car il aime la confiture du pouvoir
 
Il ne restera bientôt plus que les Vzerts. Dominique pourra t'elle résister longtemps à la vague Ushuayesque? Si Hulot se présente pourra t'elle maintenir sa candidature et risqer d'être ridicule  en faisant moins que le présentateur télé. Il n'ets en effet pas certain que Hulot, qui dénonce comme Coluche en son temps ait la même éthique de ne aps mélanger strass et campagne, dénonciation et politique..; A sa décharge ce sont les politiques qui ont fait du spectacle les premiers, alors pourquoi les saltimbanques ne ferait ils pas de politique, aprés tout?
 
Ségolène et Nicolas pendant ce temps restent à 30% d'intention de vote pour le premier tour chacun!

Portrait:Pinochet

Dimanche 10 décembre 2006
 
Beaucoup de démocrates, de socialistes attendaient depuis le 11 septembre 1973. Ce funeste jour, en Amérique latine, à Santiago, mourrait une démocratie. Personnes ne s'en est beaucoup ému à l'échelle de la planète, et particulièrement à Washington. L'adminsitration Nixon, a a laissé la CIA financé les mouvements d'extrème droite, et la destabilisation du payx en 1972, notamment en favorisant de grands mouvements de grève.
Allende, n'a pas voulu armé le peuple, il a certianemetn eu raison pour éviter un bain de sang encore plus lourd que ce qu'à payé le Chili par la suite. mais il a refusé par cette décision tous moyens aux démocrates chiliens de pouvoir se défendre contre ce militaire qui n'avait qu'une obsession la haine du marxisme.
17 ans plus tard, aprés plus de 3500 morts, torturés, disparus, d'opposants politiques il a quitté le pouvoir
il ne sera jamais jugé, pour cela, ni même rééllement inquiété.
On remercie tous le juge Balthazar Garson qui lors de l'un de ses séjours chez son amie Margaret Thatcher  il avait été arrété, suite à un mandat international. Et puis il était rentré au Chili, où aprés bien du mal il a été mis en examene te n résidence surveillée. Comme Papon son état de santé est à géométrie variable enfonction de sonlieu de résidence. En prison, les médecins concluent à leur mort imminente et à la porte de l'avion qui l'a ramené au Chili, il parvient à se lever et à brandir sa canne en signe de victoire contre les démocraties du monde entier, une fois de plus.
 
Michèle Bachelet, poursuit son oeuvre de libéralisation du Chili, en tentant de mener une politique de gauche, humaine et moderne
la démocratie chilienne tente de s'apaiser, en pansant ses blessures. Malheureusement il ne pourrait y avoir de procés du principal acteur de toutes les exactions commises par ce militaire , principal soutein des USA sur le continent sud américain. mais c'eérait une époque où les Etats Unis s'accomodaient au mieux des dictaures qu'ils impulsaient... Mais il est vrai que nous étions au temps de la guerre froide.
 
Toutes les capitales se sont fendues d'un communiqué pour regretter les victimes du régime de Pinochet
quelques dizaines de chiliens se sont réjouis de sa mort dans les rues de Santiago, les plus lucides. d'autres étaient mers de le savoir mort sans avoir été jugés, mais franchement l'aurait il été un jour?
Il y eut quelques affrontements avec ces derniers soutiens.
Bush fut ému par les victimes du régimes des anges de la mort du régime chilien, quelle hypocrisie! quand on se souvient que ce fut l'un de ses p^rédecesseurs qui permis sont avènement. Il fallut totu de même attendre Carter et 1977, pour que les States prennent un peu de distance, et 2000 pour que des documetns osient déclassés secret défense pour commencer à faire la lumière sur la réalité des exactions commises.
Seule Margaret Thatcher fut égale à elle même et s'ets déclarée extrémement triste et affectée par le décés de son vieux complice.
Il lui fut si cher lors de sa fantastique équipée malouinesque...
 
Un dictateur de moins
Sans procés ni couronnes!

Echos de campagne:Miam:Miam Mam!

Samedi 9 décembre 2006
 
 
Et de MAM, Nicolas ne fit qu'une bouchée
Ce billet pourrait se termienr là, et j'aurais résumer l'interet, le fonds et le suspens du premier forum UMP de samedi dernier
 
Jean-pierre, chaussant ses lunettes demies lunes tenta bien sur de faire rire la salle, d'animer le débat morne et sans saveur. Pire que celui des socialistes à la télé, qui apparaissait finaleùment comme un pugilat à coté de cette mascarade de débat
Jean-Pierre, mais non pas Pernaut,, enfin, quoique, le défenseur des petits artisans auraient pu fair el'affaire... Non il s'agit là d'un autre défenseur des PME, de Raffarin. Oui Raffarin, vous ne vous souvenez pas, il a été Ministre,. Non pas sous Mendez, c'était son père celui là. Non celuid ont je vous parle, c'ets le Premier Minsitre de la France, de 2002 à 2005. Oui, je sais vous avez oublié, ingrats que vous ètes, vous ne méritiez pas Chirac.
 
pour être plus sérieux, MAM s'ets faite pièger, mal à l'aise, le sourire figer, alle n'a pu qu'approuver Sarkozy, sur des propositions de fonds, plus concrètes, plus précises que les siennes. Libérale elle a voulu être consensuelle, de peur peut-être de se faire comspier, comme au dernier Conseil Natioanl de l'UMP. De ce fait elle n'avait pas de marges de manoeuvre,. mme le Minsitre de la défense n'ets pas joueuse de poker, s'ets d'ailleurs bien dommage, car du coup, chacun a joué avec un jeu ouvert sans suspens, et comme c'était SarkO QUI AVAIT DIStribué les cartes, elle a lamentablement perdu, mais c'ets de sa faute.
 
Sarko sera investi le 14 janvier, le suspense n'était pas énorme, le tout était de savoir avec quel pourcentage. Maintenant on commence à avoir une petite idée

BlogTrotter:Baker tacle Walker

Vendredi 8 décembre 2006
 
Le rapport Baker vient de tomber. Depuis plusieurs mois, James Baker, ancien Secrétaire d'Etat, de Bush père, a présidé une commission composée de manière paritaire de Démocrates et de Républicains.
Cette commission aprés les electiosn de mi-terme, qui ont entérinnéla désapprobation massive dela politique des faucons de washington.
Les néo-conservateurs, post fashistes qui ont été aux commandes de l'administration américaineviennent de se voir éconduit, brutalement. W vient de devoir les remplacer, à l'exception de la plus modérée, sa chère Candy.
Pour autant l'arrivée de la garde rapproc her de Busk père, Robert Gates au secrétariat à la défense,  la venuesau devant de la scène de Baker, font espérer une sortie du tunnel obscurentiste dans lequel sont entré les Etats Unis depuis 2001 et l'arrivée aux pouvoirs dans des conditiosn anti démocratiques de W.
Ce rapport entérine comme l'a dit Gates que les Etats Unis sont en trian de perdre cette guerre imbécile déclencher contre l'Irak.
La real politique devrait enfin pouvoir reprendre son cours. Cette politique a souvent été décriée, par ceque considérée trop cynique. Et pourtant le pragmatisme qui l'a caractérise permet de trouver des solutions d'éviter le jusqu'au boutisme crétin que l'on connait depuis 2001.
Le rapport Baker prévoit notamment que la question irakienne ne pourra être réglée  sans que le soit celle de l'accord de paix entre ISrael et la Palestine,, la question libanaise, et le rétablissement de relations apaisées avec la Syrie, et de l'Iran;
Aucun payx ne peut être exclu si l'on veut un réglement global  du Moyen Orient
 
les pragmatiques se retrouvent aux commandes, W n' a plus le choix. il doit plier et accepter. De toute manière jusque maitnenant il n'était déjà qu'une marionnette entre les meins des néo conservateurs et des adminsitrateurs d'Aliburton
Celui qui ale plus perdu est finalement le vice Président des Etats Unis, au détriment du Président, et ce n'ets peut êter pas si mal.