24 novembre 2006

Tllérama:Philippe, le bienheureux au Cinéma Paradisio!

Il est des jours, où l'on ne peut s'"empécher d'être triste, et nostalgique. On sait bien que perosnne n'ets é&ternel, et que puissant ou misértable, star ou anonymé tous à un moment on tirera sa révérence. mais quand certains, s'en vont, cela rend triste l'humanité, ou tout au moins un pays, et peut êter deux pays.
La mort hier de Philippe Noiret rend triste l'Italie, et la France, ses deux pays de cinéma.
Ce grand acteur de théâtre, c'ets un comble restera aux yeux du grand public avant tout comme un acteur de cinéma. 125 films, des rôles prestigieux l'ont fait aimé de tous, du grand public comme de la profession.
Son allure de Dandy élégant, lui donnait cette allure des gens qui ne vieillissent pas ou si peu. On en avait presque oublié qu'il avait 76 ans, et que de ce fait une maladie pourrait nous l'enlever à jamais par un majestueux clap de fin. On ne lre verra pas sur les planches, et c'ets bien dommage. Il m'a laissé un souvenri impérissable de majesté, de maitrise et de puissance
On ne le verra plus promener sa silhouette  de gentilhomme, british
ses compagnons ne le verront pus arriver à la Cantine sortir ses ouverts en argent, sa serviette en tissus,  sortir en fin de repas, un coupe cigare pour céder au rituel de son petit péché mignon , le cigare
 
Il s'en allé rejoindre tous les autres, Yves Robert, Blier, Gabin,
Il nous laisse avec nos souvenirs, nos émotions , merci pour tout ce plaisir, pendant toutes ces années, Les films de Tavernier ne seront jamais plus comme avant, c'ets le temps qui passe,
on grandit à chaque fois que quelqu'un s'en va, et nous laisse un peu plus seul, à chaque fois
on perd à chaque décés un peu d'enfance et d'innocence,
Merci M. Noiret de m'a voir fait grandir, un peu...

Portrait: la fille de Mitterrand?

Vendredi 24 novembre 2006
 
Quand je vous disais qu'elle avait des traits mitterrandiens et une stratégie rester libre, ce protrait fait de Ségolène Royal dans le Nouvel Obs finalement le confirme
Alors cet OVNI politique a t'elle finalement une stratégie arrétée depuis des années?
On  ne s'est pas méfiée d'elle parce qu'on ne la prenait pas au sérieux, c'était peut-être cela l'erreur.
 
La Lecture de ce portrait du Nouvel Obs est trés instructif:
 
 
 « Elle ira loin ! », disait Bérégovoy
Dans l'ombre de Mitterrand
#reaction
A sa sortie de l'ENA en 1981, Ségolène fait ses classes à l'Elysée. Elle a 27 ans. Elle séduit le président par son flair et son originalité. De lui, elle
a beaucoup appris, notamment qu'il faut toujours rester libre, ne jamais plier, ne jamais renoncer
 
Elle est entrée à l'Elysée en mai 1981. Parmi la centaine de sympathisants qui avaienttravaillé avec lui pendant la campagne, Jacques Attali, devenu conseiller
spécial du président Mitterrand, en a sélectionné quatre : Jean-Louis Bianco, Pierre Morel le diplomate, François Hollande et Ségolène Royal. Leur mission
: préparer les sommets internationaux et «avoir des idées».
Elle entre par la petite porte : pendant un an, elle sera une collaboratrice « officieuse ». Elle a 27 ans, elle vient directement de l'ENA. Discrète, efficace,
un peu provinciale, elle rédige note sur note. Très vite, François Mitterrand entend parler de cette jeune femme atypique, à la fois timide et culottée,
dont les initiatives surprennent. Elle impose une crèche à l'Elysée pour les enfants du personnel. Elle adresse dès le printemps 1981 une note au président
pour l'alerter sur un fléau dont personne ou presque n'a entendu parler en France : le sida. Elle, si : elle a séjourné à San Francisco, où la maladie
a été décelée fin 1980.
Ségolène Royal se lie d'amitié avec deux proches du président : Laurence Soudet et Charles Salzmann, chargés de mission auprès de lui. La première, après
avoir lu sa note sur le sida, pense : « Cette fille n'est pas seulement une énarque, une techno. » Elle se souvient : «Elle avait déjà sa méthode : partir
de l'expérience de terrain, savoir anticiper les problèmes qui allaient se poser.» Avec le second, chargé d'étudier les attentes de l'opinion, elle passe
des heures à confronter les résultats des sondages aux informations qui lui remontent du terrain. Connaître les attentes des Français, c'est déjà chez
elle une quasi-obsession. Plus tard, elle dira : «Le bilan annuel de la Sofres, je dévore ça!»
 
Mitterrand, qui déteste les conformismes et n'aime pas les énarques classiques, apprécie le flair et l'originalité des vues de Ségolène. Lorsque au printemps
1982 elle lui propose de tenir le sommet des pays industrialisés dans une banlieue, il sourit : il a déjà choisi Versailles ! Mais c'est elle qu'il charge
discrètement de faire le tour des capitales pour préparer ce sommet qui s'ouvre le 5 juin. Aussitôt après, elle est promue officiellement « chargée de
mission ». Dans son « Verbatim I », Attali note : «Remarquable compétence au service d'une conviction sincère.» Elle quitte son minuscule bureau du 2e
étage pour un plus grand au 4e dans une aile du palais. Elle continue de travailler pour la cellule d'Attali et se voit confier en plus la santé et la
jeunesse. Au fil des années, elle étendra ses compétences aux affaires sociales, à la famille, au temps libre.
Pourtant, si l'on en croit plusieurs poids lourds du cabinet, Michel Charasse, Jean Glavany, Elisabeth Guigou, Ségolène aurait peu compté. Ils se disent
incapables de citer une seule idée marquante exprimée par elle, un seul acte fort dont ils auraient été témoins (1). Il est vrai qu'elle cherche peu leur
compagnie. Elle vit en marge, boude le grand déjeuner informel des conseillers, qui a lieu le mercredi, après le conseil des ministres. Trop macho, pas
assez sérieux à ses yeux. Elle ne participe pas davantage aux discussions sur les « grands problèmes ». Peut-être parce qu'elle ne s'y sent pas encore
à l'aise, parce qu'elle manque d'expérience. Contrairement à certains de ses collègues grisés par le pouvoir, elle ne cherche pas à s'intégrer à la petite
société parisienne que Raymond Barre appelle le microcosme. Elle est ambitieuse déjà, très ambitieuse, mais elle ne se disperse pas. Elle préfère se concentrer
sur les domaines dont elle a la charge, même si, plus sociétaux que politiques, ils sont considérés à l'époque comme des sujets mineurs. Et s'occuper,
quand elle le peut, des deux enfants qu'elle a mis au monde pendant le septennat.
En revanche, ceux qui sont destinataires de ses notes et avec qui elle travaille directement ne tarissent pas d'éloges. Pierre Bérégovoy, le premier secrétaire
général de l'Elysée, l'avait remarquée pendant la campagne, où elle occupait un bureau avec Maurice Benassayag et François Hollande. Déjà, il appréciait
sa volonté, son sérieux, sa capacité de travail. Il disait alors : «Elle est formidable, et en plus elle est belle!» Son successeur, Jean-Louis Bianco,
et le secrétaire général adjoint Christian Sautter sont à l'unisson. «Si elle n'a pas laissé de souvenir à certains, c'est qu'elle était sans problèmes,
précise, efficace, fiable», dit ce dernier. Jean-Louis Bianco se souvient : «Elle avait déjà une perception fine et originale de la société française.»
C'est elle notamment qui travaille sur la « carte 10 ans » pour les étrangers en situation régulière. Elle qui met fin à la première grande fronde des motards.
Elle entre en contact avec les responsables, juge certaines de leurs revendications fondées, persuade Mitterrand de les recevoir. De même pour le conflit
des internes des hôpitaux, qui s'éternisait avec des syndicats faibles, une coordination forte mais mal organisée, des structures hospitalières figées.
Elle identifie les bons interlocuteurs chez les contestataires comme dans l'administration et parvient à nouer les fils de la négociation. Sans jamais
apparaître en première ligne. Bianco résume : «Elle avait déjà du caractère, des convictions, elle savait travailler en équipe. Elle possédait en plus
cette qualité très personnelle : comprendre ce qui se passait en profondeur dans la société.»
Ségolène fait rapidement partie de ces conseillers peu nombreux qui ont un accès direct au président. Elle lui adresse presque chaque jour une note sur
les problèmes qui concernent la vie quotidienne des Français. Elle l'observe. A son contact, elle apprend. Notamment qu'il faut toujours rester libre,
ne jamais plier, ne jamais renoncer. Et que la politique, c'est d'abord l'élection, l'onction du suffrage universel. Le 21 mai 1988, le dernier jour du
dépôt des candidatures aux législatives, elle assiste à la cérémonie d'investiture de Mitterrand dans les grands salons de l'Elysée, où se presse le tout-Etat.
Depuis quelques semaines, elle cherche en vain une circonscription. Elle glisse à son amie Laurence Soudet : «Je voudrais me présenter, il faut que j'en
parle au président.» Cette dernière lui dit : «Vas-y, c'est le moment!» Mitterrand approche. Ségolène s'avance, un peu intimidée : «Monsieur le président,
je voudrais être candidate.» Mitterrand, à voix basse : «Venez après la cérémonie.» Et il poursuit son chemin, visiblement agacé d'une telle démarche à
un tel moment. Mais il demande peu après à Louis Mermaz de trouver une circonscription. Ce sera la 2e des Deux-Sèvres. Le président prévient Ségolène :«Vous
serez battue, mais ce sera un premier pas pour vous implanter et vous pourrez gagner la prochaine fois.»
 
cadre sans nom 1
fin du cadre sans nom 1
La jeune conseillère part le soir même. Sans espoir de retour : elle savait, comme tous les collaborateurs du président, que si elle était battue elle ne
retrouverait pas ses fonctions à l'Elysée. En quelques jours, Ségolène Royal parcourt 3 000 kilomètres dans les douzecantons de sa circonscription, où
elle faitcampagne sous le parrainage de Mitterrand. Le 12 juin, elle est élue avec 552 voix d'avance sur un notable de droite solidement implanté. A chaud,
elle commente : «Pour un parachutage, l'atterrissage est réussi.»
Le président, admiratif, est ravi. Il suit désormais le parcours de Ségolène, approuve la manière dont elle refuse d'appartenir à un courant du PS, dont
elle se bat pour défendre le Marais poitevin. Il lui permet d'obtenir d'importants crédits pour sa circonscription. Quand, en 1992, Brice Lalonde veut
quitter le ministère de l'Environnement, Mitterrand appelle Ségolène : «Je ne voyais que vous!» Bérégovoy est, à Matignon, plus que jamais sous le charme.
Son collaborateur, Olivier Rousselle, se souvient : «Les projets de loi de Ségolène jouissaient d'une quasi-priorité. Elle gagnait presque tous les arbitrages
contre les autres ministres. Quand j'émettais une réserve sur elle, il me disait : «Vous n'y comprenez rien. Regardez-la : quelle prestance! Quel regard!
Elle a quelque chose en plus. Elle ira très loin».»
Béré avait vu juste. Quinze ans plus tard, elle s'est imposée. Les trois hommes dont elle dépendait à l'Elysée ont été à son côté lors de la compétition
interne du PS. Bianco était son porte-parole, Attali la conseillait, Sautter la soutenait. Les deux anciens Premiers ministres qu'elle a écartés de la
course à l'investiture socialiste - Jospin n'a pas pu revenir dans le jeu et Fabius a été étrillé - avaient été improprement appelés « les fils de Mitterrand
». Et si, à sa manière, elle était un peu la fille de ce président dont elle a dit un jour qu'il était «l'homme qu'elle a aimé le plus au monde!»...
 
(1) « Madame Royal », par Daniel Bernard, Edition Jacob-Duvernet.
 
Robert Schneider
Le Nouvel Observateur
 
 

23 novembre 2006

Echos de campagne:Ségolène ou la synthèse miterrandienne

Ségolène par certains cotés est trés miterrandienne. Si ce n'est dans le fonds politique, c'ets au moins dans la méthode. En effet, elle s'entoure, de fidèles, voit se rallier des souteins, de plus en plus nombreux, puis se sotn ses adversaires qui aprés la victoire à l'investiture qui font fie de leurs divergences et font oeuvre d'être disponible.
Elle ne dit en rien comment elle entend mener sa camapgne, comment elle va structurer ses différents cercles, comment elle articulera son travail de camapgne avce le PS. Elle entretient le trouble,le doute, pour  se préserver le plus de libertés possibles, le plus de marges de manoeuvre
Elle veut rester libre, n'être contrainte en rien,
elle y va au feeling, elle entend écouter les français, sentir la France profonde, et cela n'a rien de péjoratif au contraire, pour s'en imprégner et pouvoir ensuite en faire sa synthèse et faire des propositions. C'ets du Mitterrandisme en plein.
Il serait bon que les propositiosn ne soient pas uniquemnt empruntes de pragmatisme, mais répondent aussi à certains principes structurant de la gauche, de la république et du socialisme. les idées de Jaures, si elles sotn appliquées dans leur principe sont d'une étonnantes actualité et modernité.
 
Aprés Fabius et DSK, Jospin sur son blog, a apporté son soutien à Ségolène. Il faut dire qu'à 60% on ne peut que s'incliner. Mais Jospin l'a fait de manire tonitruante comme pour sa déclaration de campagne en 2002, par fax, un billet sur son blog, cela suffit, pour assurer Ségolène de son soutien.
Ségolène pas bégueule a apprécié, et l'a remercié
Pour autant elle appele directement les députés strauss kahniens et fabiusiens, et n'attend pas de se mettre d'accord avec leurs chefs pour en faire des alliés
Elle gère seule, pour rester libre.
Elle écoute, elle écoute beaucoup, ne dit rien et tranche
C'ets sa manière a elle de faire de la politique. Cela peut être efficace en technique de stratégie de campagne, car endehors d'elle personne ne sait ce qu'elle va faire, mais ensuite... Certains disaient de Mitterrand qui était l'hommme des cercles, du secret, que son hémisphère gauche de cerveau devait cacher des choses à son hémisphère droit, cela peut peut-être s'appliquer à Mme Royal.

Echos de campagne:Sarko dans les starting block!

Le Bureau politique de l'UMP fut tendu une nouvelle fois hier soir. Certes il y a eu un vote unanime du calendrier de l'investiture UMP, mais les couteaux ne sont pas pour autant rangés.
Les candidats UMP vont pouvoir se déclarer dès aujourd'hui et ce jusqu'au 31 décembre. Mais la désignation se fera toujrous le &4 janvier prochain, donc iln'y aura pas de décabt de campagne interne
l'UMP n'ose pas la démocratie interne c'ets dommage, cela  aurait pu être drôle de voir des gens qui siègent ensemble au gouvernemetn se déchirer devant les caméras.
Sarko trés conscient de ce danger ne l'a pas voulu, et il est probable qu'il ait été soutenu sur ce point par Chirac qui a reçu MAM et Sarko un soir tard pour rappeler tout le monde au calme.

Des chardons plein les poches:GDF, de l'eau dans le gaz

Jeudi 23 novembre 2006
 
La justice vient de mettre un énorme pavé dans la marre en refusant d'approuver la procédures suivie par GDF pour aboutir à la privatisation de GDF au travers  de la fusion avec Suez. Sirelli le PDG de GDF, joue sa tête.
Certains députés UMP sont à se demander si finalement il n'a pas volontairement fait capoé le le projet, car pour se prendre les pieds dans le tapis à ce point là...
Cela met la majorité dans une merde noire pour tout dire. car maintenant la procédure ne pourra plus être finalisée avant  le 31 décembre 2006.
De ce fait il faudra  approuver les comptes des deux entreprises, et ces procédures sont longues et font qu'il ne sera pas possible a priori de finaliser quoique ce soit avant mars é007, et donc cela devra se faire en pleine camapgne électorale, et surtout aprés que la session parlementaire soit finie. Les Députés UMP, qui pour une part importante d'entre eux se sont fait biolés pour approuver ce texte impopulaire n'ont pas envie de voir leur camapgne legislative polluée par ce projet bancal, et qui risque au final de capoter définitivement.
En effet, les actionnaires de Suez sont gourmands et refusent la parité d'échange d'actions au prétexte que les actions de GDF ont un cours inférieur à celui de Suez, et les péripéties actuelles ne vont rien arranger. Pourtant dans la corbeille  de la marièe c'ets bien GDF qui apporte du cash , c'ets à dire de la trésorerie, car GDF est riche.
Thierry Breton a été convoqué mercredi soir soir chez le Premier Ministre pour donner des expications sur ce fissco dont il sera tenu perosnnellement responsable.

22 novembre 2006

Des chardons plein les poches:De Villiers n'a honte de rien!

Philippe de Villiers de Jolibois de Saintignon,, Vicomte, vieille France, d'une noblesse décadente fin de race, n'a  vraiment hon te de rien.
Il se sert de tout pour pouvoir faire parler de lui.
 le nouvel observateru nous apprend hier, et c'ets repris par plusieurs médias ce jour qu'une sordide histoire touche sa famille
 
L'aîné de Villiers accusé de viol par son frère
 
NOUVELOBS.COM | 21.11.06 | 11:50
 
Guillaume de Villiers, 29 ans, a été mis en examen pour "viols" après
une plainte déposée par son frère cadet. Déclaration de Philippe de
Villiers à 15h.
 
Guillaume de Villiers, 29 ans, l'aîné des enfants du député Philippe
de Villiers, a été mis en examen pour "viols" vendredi par un juge
d'instruction de Versailles (Yvelines) après une plainte déposée par
son frère cadet, a-t-on appris mardi 21 novembre de source judiciaire.
Laurent, 22 ans, fils cadet du président du Mouvement Pour la France
(MPF), avait déposé plainte contre son frère en octobre à Paris, a
révélé mardi Le Parisien.
La procédure, transmise au parquet de Versailles, avait ensuite été
confiée à un juge d'instruction, a précisé une source judiciaire.
Selon le quotidien, Guillaume de Villiers a été mis en examen après
avoir subi une expertise psychiatrique et après une confrontation
avec son frère.
Selon une source judiciaire, il a été laissé libre et placé sous
contrôle judiciaire. Cette source a précisé que les faits allégués
par son cadet remontent à une quinzaine d'années et ne sont pas
prescrits. Les deux frères étaient alors mineurs.
Philippe de Villiers de son côté fait savoir qu'il ferait un
déclaration à la presse mardi à 15h00 au siège du MPF.
(AFP)
 
 
Mais plutôt que de s'occuper de sa famille, de son fils le plus jeune qui semble être fragile  ou de son ainé qui est accusé de la pire chose, un viol, il parade sur les tribunes accusant les officines barbouzardes des renseignements généraux de vouloir l'abattre, le salir, pour le faire taire. la mailleure défense est l'attaque on le sait bien, mais là... c'ets tout de mêm surprenant
Qu'il s'agisse d'une sordide histoire de famille, d'inceste et de viol entre deux frères mineurs au moment des fait, cela supposait le silence de sa part. Cela ne l'atteint en rien dans sa fonction politique qui plus est. On n'ets pas responsable des agissements des autres, même de ses enfants.
Sil il s'agit d'une machination, il parait peu digne de se faire de la publicité dessus au détriment de ses propres enfants qui s'en seraient peut être passés.
 
L'humanisme et la dignité humaine sont bien loin de ses ces préoccupations.
Pauvre France, que celle de M. de Villiers!

Blog Trotter:les va t'en guerre ont le vent en poupe

Mardi 21 novembre 2006
 
Pierre Djemayel assassiné le jour où l'ONU devait décider de l'installation d'un Tribunal Pénal International. la Syrie a une nouvelle fois clairement indiqué son refus d'indépendance du Liban et entend bien y maintenir une tutelle, au moins par la terreur. Le Gouvernement Signora se retrouve une nouvele fois dans l'oeil du cylone. le calme avant la tempête.  Le jeune Minsitre de l'industrie, brillant représentant de la communauté Chrétienne était un farouche opposant aux Syriens, il l'a payé ce mardi. La condamnation unanime de ce la che attentat témoigne du crédit dont il disposait et de l'avenir prometteur qu'il pouvait incarner. Il dérangeait c'ets évident au delà des rangs syriens.
Espérosn que ce nouvel assassinat d'une perosnnalité de premier plan n'entraine pas une nouvelle flambée de violence entre les communautés libanaises, et au contraire comme pour Ariri en février 2005, n'aboutisse qu'à renforcer le sentiment de cohésion nationale du pays au Cèdre.
Cette paix, si elle arrive enfin, aura couter bien des vies, et fait couler un torrent de sang.

Echos de campagne:La Campagne va enfin pouvoir commencer

Lundi 20 novembre 2006.
 
Les socialistes osnt étonnants. Aprés une camapgne itnerne, digne, mais relativement apre, et pourquoi ne pas le dire difficile, ils se retrouvent moins d'une semaine aprés.
Surtout ce quiest à souligner, c'ets que loin de triompher, Ségolène a donné la ligne, la campagne ne fait que commencer, il faut maintenant se mettre au travail et convaincre les Français.
Elle va donc s'immerger dans la France, pour s'imprégner, écouter, entendre, les revndications, les craintes, les propositions et povuoir de tout cela faire son miel et en s'appuyant sur le programme socialiste établir son programme ses propositions, ses priorités pour le pays.
Elle met en pratique l'idée qu'elle se fait de la démocratie participative. Il faut juste espérer qu'elle écoutera, cela est nécessaire pour tout élu, mais qu'elle saura maintenir la distance nécessaire pour ne pas tomber dans le populisme et le suivisme. Si il avait fallu toujours ne faire que ce que l'électorat attendait, il n'y aurait jamais eu la sécu, le code du travail, l'abollition dela peine de mort, la suppresion du bagne à Cayennes. L'electorat est par nature conservateur, craint le changement surtout en période de crise; Il faut donc que les élus soient courageux et portent un dessein pour le pays. Pour pouvoir être élu, il est bien évidemment nécessaire que ce dessein puisse être en adquation avec les aspirations  d du pays.
On a pu voir également ce weeke nd, les multiples appritions médiatiques de François Hollande pour revendiquer la présence du PS,e t maintenir sa protection et la liberté de sa compagne dans lamanière de mener sa camapgne
Il semble sur ce point que Ségolène Royal ait retenu les leçons du passsé, de la campagne Jospin de 2002, elle ne coupera pas le lien vital entre le PS et son équipe de campagne et devrait installer son QG de campagne à Solférino.
Toute cette petite mécanique est en trian de se huiler, espérons que les atermoiements des uns et des autres ne gripperons pas cette belle mécanique, et les rouages socialistes
A Ségolène de tendre la main à Fabius et DSK, puisqu'ils se sotn déclarés disponibles pour cette campagne et mener le PS à la victoire.

21 novembre 2006

réflexions:l'éthique est elle soluble dans l'entreprise?

Dimanche 19 novembre 2006
Le discours sur les valeurs de l'entreprise vire à la langue de bois
 
La prise de parole publique des entreprises et de leurs dirigeants est largement dominée par le credo de l'entreprise " responsable ". Un registre lexical
fourre-tout, qui ne parvient pas, loin de là, à combler le déficit de confiance des salariés.
 
L'homme, premier capital de l'entreprise ", " la valeur au coeur de l'entreprise citoyenne ", " l'entreprise, levier d'engagement solidaire "... À tendre
l'oreille vers les micros des conventions, à survoler la prose des services de relation presse, à capter les slogans des communications corporate, pas
de doute : le credo éthique a investi la prise de parole publique des entreprises " responsables ", forcément responsables. Et, si l'on en juge de l'écho
médiatique, la sauce semble prendre. La communauté de formation, de culture et d'intérêt entre la presse et les élites économiques et politiques participe
de l'amplification d'un discours mégaphonique ayant pris valeur de norme. " Quand les mondes sont consanguins, les langues le sont aussi ", lâche Serge
Perez, coprésident de Publicis Consultants France.
 
Mais qui est dupe ? Dès 2002, TNS- Sofres constate un renversement dans la courbe affinitaire entre l'opinion et le monde des entreprises : en 2001, 52
% des Français déclaraient avoir confiance dans les chefs d'entreprise. En 2005, ils ne sont plus que 43 %. " La fracture est née avec l'affaire Messier,
note Muriel Humbertjean, directrice générale adjointe de TNS-Sofres. Et le fossé n'a cessé de se creuser. " Un hiatus que l'on retrouve très nettement
entre les dirigeants et les salariés (voir ci-dessous). " Face à ce constat, la réaction des patrons est la même : haro sur le management intermédiaire,
incapable de faire passer les messages ", poursuit Muriel Humbertjean.
 
En attente d'argumentation. Toutes les études montrent que les salariés sont en attente d'argumentation et de preuves, d'un modèle où le discours se nourrit
de l'action. " Il y a du côté des entreprises un réflexe d'évitement. On s'étourdit de concepts pour masquer la réalité, les plans sociaux qui se préparent
", souligne Anne Mazoyer, présidente de Fair Value Corporate. Cette langue de bois éthique trouve des facteurs convergents d'explication : sacre du " politiquement
correct ", prise de pouvoir des services de communication, diktat de la sphère financière qui, si elle oblige à la transparence dans la publication des
comptes, réduit la communication quotidienne au positivisme.
 
Autre paramètre : la porosité de publics - salariés, citoyens, actionnaires, relais d'opinion - régis par des intérêts contradictoires. " Les entreprises
ne savent pas gérer cette diversité d'intérêts qui réduit leur marge de manoeuvre. D'où un discours de plus en plus minimaliste ", commente Muriel Humbertjean.
Enfin, la globalisation a généré une vulgate internationale pas toujours adaptée aux contextes locaux. Il est plus facile de chanter la dimension centrale
de l'homme dans l'entreprise dans un pays qui a réduit son taux de chômage à 4 % que dans une société marquée par la récession sociale. " Les dirigeants
se sont construit un système de protection. Pourtant, dire les choses simplement, argumenter en ancrant le discours dans les faits, ce n'est pas se mettre
en danger ", remarque Serge Perez, coprésident de Publicis Consultants France.
 
Impératifs économiques. Dans un climat plus que jamais sous-tendu par l'économie, les patrons ont-ils encore seulement les moyens de défendre des ambitions
éthiques et sociétales. " On est arrivé au bout d'un raisonnement, constate Anne Mazoyer. Le vent tourne : les entreprises sont en train de se réapproprier
des notions beaucoup plus ancrées dans leur réalité : le savoir-faire, l'expertise... " Plus que la pression sociale, c'est sans doute le poids des impératifs
économiques qui poussera les entreprises, sinon à se démarquer de la langue de bois éthique, du moins à soutenir le discours par des faits avérés et expliqués.
Les périodes de crise obligent à l'argumentation. " Quand il leur a fallu exposer leurs projets, Carlos Ghosn ou Anne Lauvergeon n'ont pas fait dans la
langue de bois. Parce qu'ils savent que dire les choses, qui plus est avec conviction, c'est la seule manière de motiver les troupes " , note Muriel Humbertjean.
 
Mais, de manière plus structurante, la prise de parole publique des entreprises pourrait bien également bénéficier d'un regain de réalisme sous l'effet
d'un modèle nouveau de communication et d'échange alimenté par Internet et les nouvelles technologies numériques digitales. Les directions marketing le
constatent déjà : les entreprises perdent le contrôle de leurs propres messages au profit de publics de plus en plus éclatés et matures qui se les réapproprient
parfois jusqu'à la dénaturation. " Internet va participer d'une décontraction du langage, y compris, par la force des choses, chez les dirigeants, soutient
Serge Perez. Et la langue de bois véhiculaire des entreprises devrait en prendre un coup. "
 
Salariés-entreprises : le grand fossé
41 % des managers trentenaires n'adhèrent pas aux valeurs de leur entreprise.
75 % des salariés de 25 ans ne veulent pas ressembler aux dirigeants en poste, jugés peu courageux et peu soucieux des hommes.
78 % des entreprises se déclarent satisfaites du climat social, contre
47 % des salariés.
91 % des DRH estiment avoir une image positive quand les salariés leur attribuent une note de 8/20.
Les moins de 25 ans et les plus de 45 ans souhaiteraient rejoindre une entreprise de moins de 250 salariés.
Source : Ipsos, Publicis Consultants, 2005.