10 novembre 2006

revue de presse:le retraité silencieux!

COULISSES
Le silence de Jospin
Parlera, parlera pas... Lionel Jospin entretient le suspense. Lundi soir, on attendait l'oracle dans sa section du 18e arrondissement de Paris. Las. Le
camarade Lionel a annulé sa venue au dernier moment, laissant ses fidèles sur leur faim. «La logique, commente l'un de ses proches, serait qu'il vote finalement
blanc mais qu'il ne le dise pas comme au second tour de la présidentielle 2002.» Ses amis ont d'ailleurs refusé dans un texte collectif de donner la moindre
consigne de vote. Ceux qui glisseront dans l'urne un bulletin au nom de DSK - les plus nombreux - le feront donc à titre individuel. Certains, comme Jean
Glavany, n'ont toujours pas digéré que le député du Val-d'Oise refuse de céder sa place à leur champion et n'excluent pas de voter pour leur vieil ennemi,
Laurent Fabius. Seule certitude, les reports de voix pour Ségolène ne devraient pas être légion chez les jospinistes historiques, même si quelques personnalités
ont rejoint les rangs royalistes, comme le député de l'Isère André Vallini, le président du conseil général de la Drôme, Didier Guillaume, ou le député
européen réunionnais, Jean-Claude Fruteau.
 
Matthieu Croissandeau
Le Nouvel Observateur

Revue de presse:2002 ne nous a t'il rien appris?

Jeudi 9 novembre 2006
 
Voici un article de La Croix qui nous rappelle deux ou trois choses pour prendre un minimum de recul quant à la démocratie d'opinion que l'on essaie de nous imposer...
 
Alors à nous de nous réveiller et de ne plus croire à cet avenir prédictif, qui  parce qu'il acheté par les candidats devrait se réaliser.
 
 
 
Pour les sondages, 2002 n'a rien changé
 
À six mois de la présidentielle, les sondeurs reconnaissent que leurs enquêtes n'ont aucun caractère prédictif. Elles ne sont qu'une photographie de l'opinion
à un moment précis
 
Capture vidéo des résultats du deuxième tour de l'élection présidentielle de 2002 opposant Jacques Chirac à Jean-Marie Le Pen (photo AFP).
 
Pas un jour sans sondages. Les candidats à l’élection présidentielle ne sont pas encore officiellement désignés que les intentions de vote des Français
sont, depuis de longs mois, interrogées, analysées, disséquées. Et le verdict déjà tombé : le second tour opposera Nicolas Sarkozy à Ségolène Royal. La
seule incertitude résiderait dans l’issue de ce duel.
 
Pourtant, et c’est un fait : les sondages ont rarement donné six mois à l’avance les deux candidats finalistes. Qu’importe, semble-t-il. L’élection présidentielle
de 2007 « a entamé une course aux sondages encore plus précoce et plus intense » que les précédentes, déplore Alain Garrigou dans un livre à paraître demain
aux Éditions La Découverte (1).
 
Ce professeur de sciences politiques à Paris X-Nanterre dénonce «la sondagite» qui affecte régulièrement la France en période de campagne électorale, alors
même que les techniques utilisées par les sondeurs seraient, d’après lui, de moins en moins fiables.
 
« La déroute des sondeurs » évoquée au lendemain du 21 avril 2002 – aucun institut n’avait avancé l’hypothèse de la présence de Jean-Marie Le Pen au second
tour – n’aurait donc pas entamé leur capital de confiance. Publiquement envolées, les réserves qui pesaient sur leurs méthodes et leurs résultats. Et pour
cause ! Selon un mécanisme bien rodé, les sondages servent les intérêts réciproques de ceux qui les commandent comme de ceux qui les réalisent.
 
Les sondages contribuent à la notoriété du titre qui les publie
La « reprise » des résultats par la plupart des autres médias contribue, en effet, à assurer la notoriété du titre qui les publie, mais également de l’institut
de sondage qui se fait ainsi de la publicité à peu de frais. Cela contribue à assurer sa crédibilité auprès de ses clients du secteur commercial, lesquels
constituent l’essentiel de son chiffre d’affaires.
 
« Les sondages bénéficient dans notre pays d’une réputation de scientificité plus grande qu’ailleurs. D’autant qu’il y a, en général, accord sur les résultats
entre les différents instituts », observe, de son côté, Loïc Blondiaux, professeur de sciences politiques à l’IEP de Lille et spécialiste de l’opinion.
 
Pourtant, la liste de leurs déboires est aussi longue que celle de leurs succès. En 1995, les instituts n’ont pas su prévoir l’ordre d’arrivée des candidats
à l’issue du premier tour de la présidentielle. Aux législatives de 1997, ils considéraient acquise la victoire de la majorité sortante. En 2001, ils avaient
annoncé à tort une vague rose aux municipales de 2001.
 
À l’inverse, les sondages ont parfaitement anticipé la victoire de la gauche aux élections régionales de 2004 et le basculement de l’opinion vers le « non
» lors du référendum sur le traité constitutionnel.
 
Le « séisme » de 2002
Reste le «séisme» de 2002 : « Il ne faut pas caricaturer, tout n’a pas été un fiasco, se défend Brice Teinturier, directeur du département «politique et
opinion» de TNS-Sofres. Nous avons parfaitement mesuré la baisse de la gauche et de Chevènement, ainsi que la montée de l’extrême gauche.»
 
La ligne de défense des instituts n’est pas nouvelle : «Les sondages n’ont en aucun cas un caractère prédictif, répète Frédéric Dabi, de l’Ifop. Ils sont
crédibles si on ne dévoie pas leur fonction qui est de souligner un rapport de force politique.»
 
Stéphane Rozès, responsable du département études et opinion de CSA, revient sur le cheminement d’un sondage avant sa publication : « Il y a les commentaires
faits par les sondeurs et ensuite l’interprétation et l’analyse qu’en tirent les politologues et les journalistes. »
 
En somme, les erreurs ne seraient pas à chercher du côté de la technique mais davantage de la présentation qui en est faite. « Il est faux, par exemple,
de dire que tel candidat arrive en tête au second tour avec 51 % contre 49 %, car, compte tenu de la marge d’erreur de 2 à 3 %, cela veut dire en réalité
que les candidats sont à peu près à égalité, précise prudemment Pierre Giacometti, directeur général d’Ipsos. Mais les médias ont besoin de simplicité.
»
 
Les sondés ont un comportement plus erratique qu'avant
Les responsables des instituts reconnaissent cependant que les intentions de vote sont de plus en plus difficiles à mesurer. Les sondés ont un comportement
plus erratique que par le passé, sont davantage influencés par les événements de la campagne et se déterminent souvent à la dernière minute.
 
« En 2002, 18 % des électeurs se sont déterminés le jour même et 20 à 22 % dans les deux ou trois derniers jours avant le vote », assure Stéphane Rozès.
L’autre difficulté réside dans l’évaluation du vote d’extrême droite qui fait l’objet d’une « sous-déclaration » systématique et surtout de l’abstention,
qui est déterminante.
 
D’où les fameux « redressements » opérés par les instituts par rapport aux chiffres bruts obtenus. S’ils n’aiment pas dévoiler leurs « recettes », celles-ci
reposent sur trois variables : le vote antérieur, la certitude d’aller ou non voter et la certitude du choix.
 
« En 2002, les chiffres bruts obtenus par le FN dans les enquêtes étaient deux fois inférieurs à ceux affichés par les instituts, souligne Loïc Blondiaux.
On entre là dans des zones d’incertitude très fortes. » En fait, pour les sondeurs, il ne s’agit au mieux que « d’une photographie de l’opinion à un moment
donné ». « C’est tout juste une représentation déformée et très grossière des rapports de force », tempère encore Loïc Blondiaux.
 
La plupart des instituts veulent améliorer leurs outils
Il n’empêche. La plupart des instituts affichent, pour 2007, leur intention d’améliorer leurs outils. Ainsi, Ipsos aimerait publier les «intervalles de
stabilité», c’est-à-dire le minimum et le maximum obtenu par un candidat en fonction de la certitude du choix de la personne interrogée, comme le recommandait
la commission des sondages après le 21 avril 2002. «Si nous l’avions fait en 2002, on se serait rendu compte que Le Pen se situait entre 13 et 17 %, c’est-à-dire
près du résultat obtenu, affirme Pierre Giacometti. Mais cela rend les tableaux plus difficiles à lire par les lecteurs des journaux.»
 
Pour sa part, l’institut CSA n’y est pas favorable, Stéphane Rozès jugeant qu’il s’agit là de cuisine interne. Il préfère miser sur une meilleure qualité
du recueil des données et une amélioration des techniques de redressement grâce à des questions d’opinion posées en plus des intentions de vote.
 
À l’Ifop, on travaille sur la qualité de l’échantillon afin qu’il soit encore plus représentatif de la population, l’un des reproches étant une surreprésentation
de diplômés. « Nous espérons notamment recueillir davantage de déclarations spontanées des électeurs déterminés à voter FN », argumente Frédéric Dabi.
 
Tous s’accordent toutefois à reconnaître que ces retouches ou améliorations techniques ne peuvent avoir que des effets marginaux. «Ils sont arrivés à la
limite de leurs techniques», estime même Alain Garrigou. Le problème tient peut-être à ce que la profession de sondeur, qui intervient dans un secteur
fortement concurrentiel, n’a pas su ou pas voulu se doter de règles.
 
L’illusion collective de la valeur prédictive des sondages
«L’idéal, fait observer par exemple Frédéric Dabi, serait que les instituts ne publient pas de simulations de second tour. Car nous sommes incapables d’anticiper
la dynamique créée par les résultats du premier tour. Mais la pression est tellement forte. »
 
La commission des sondages a déjà émis le 12 octobre un premier rappel à l’ordre concernant les sondages effectués auprès des sympathisants socialistes.
Rappelant que, le 16 novembre, ce sont les adhérents du parti qui désigneront le candidat socialiste à l’élection présidentielle et non les «sympathisants»,
elle a invité les instituts et les médias à « relativiser la pertinence et la signification» de ces sondages. Sans effet.
 
«La difficulté est que nous vivons dans l’illusion collective de la valeur prédictive des sondages, ajoute Loïc Blondiaux. Les intentions de vote à six,
quatre, voire deux mois résistent rarement aux événements de la campagne. Mais c’est tellement évident que tout le monde l’oublie.»
 
Céline ROUDEN
 
(1) L’Ivresse des sondages , Éd. La Découverte, 128 p., 6,90 €.
 
***
 
Certaines enquêtes sont très confidentielles
Les journaux ne sont les seuls à commander des sondages. Les candidats en sont particulièrement friands. L’institut CSA reconnaît travailler en ce moment
pour le compte de six présidentiables. Ces études qui restent le plus souvent confidentielles représenteraient même 15 à 20 % du travail des départements
opinion des instituts de sondage. Le plus souvent il s’agit d’enquêtes « qualitatives » qui permettent aux candidats de tester auprès d’un panel de Français
leur image de présidentiable mais aussi des éléments de leur programme.

Echos de campagne:l'International

Mercredi 8 novembre 2006
 
Il est loin le temps de l'internationalisme, quand on entend les trois prétendants à l'investiture socialiste. où est la générosité d'antan, où est la volonté de construire une société humaine, colidaire, où les nationalistés ne seraient plus un obstacle?
Les propositions sont essetiellement gestionnaires, frileuse,s de compensation finanicères. Elles sont interressantes, utiles là n'est pas la question, mais tout cela manque singulièrement d'ambition de grand dessein, de volontarisme. Si les promoteurs del'Europe ou leurs successeurs n'avaient pas été de doux réveurs, jamais nous n'aurions eu la zone de stabilité, de paix de prospe=érité, que nous connaissons depuis cinquante ans
C'ets peut êter bien parce que nous avons perdu l'idéal qui participait à cette cnstruction d'aileurs et que ce dossier a cessé d'être politique pour devenir technqiue que les citoyens euorpéens s'en sont détachés. Alors il faut lui redonner sens, et au delà de l'Europe que la gauche redevienne internationaliste,c ar c'ets sa nature profonde.
Je ne dirai rien de Fabius qui refuse  l'entrée de la Turquie tellement cette position est ridicule. Ce n'ets pas parce que les Français sont contre qu'ils ont raison.

07 novembre 2006

Réflexions:interdépendance énergétique

La panne électrique qui a touché 10 millions d'Européens et 5 millions de Français ce week end, a fait prendre conscience de la difficulté énergétique que rencontraient nos pays industrialisés, développés. Nous aovns oublié dans quel confort nous vivions, au détrimetn du reste de la planète d'ailleurs. Electicité, chauffage, climatisation, trasport tout cela  a un cout. Un cout social, économique et environnemental. Le problème est que par égoïsme nous ne voulons souven tpas le voir
il y a des moyens pour produire de l'electricité proprement, mais elle coutera plus chère
nous pouvons continuer à produire de l'electricité à bon marché de manière nucléaire, amis nous devrons assumer la gestion, oula non gestion des matières fiscibles non retraitables.
Pour finir compte tenu de la fin programmée des énergies focsiles comme le pétrole priotairement, comment allosn nous gérer la question de l'energie, comment allons nous assurer le maintien de notre développement économique, le niveua de notre confrot de vie?
compte tenu des conclusions du rapprot Stern, qui annonce que le cout du réchauffement climatique de la planète sera de 5500 milliards de dollars, qu'allons nous entreprendr epour enrayer ce réchauffement ou le sotopper? Contineurons nous comme les Etats Unis à aller cyniquement achter aux pays Africains les moins développer des droits à polluer ce qui les contraindra un peu plus longtemps à avoir la tête sous l'eau leur interdisant toutes possibilités de développement, ou va t'on enfin réfléchir à une politique alternative de l'energie, des transports...?
La question n'ets pas d'opposer écologie et développement économique, mais de voir de manière durable comment les concilier. Développer de l'industrie propre, des transports propres est possible si on s'en donne les moyens, si on accepte de subventionner la recherche en ce domaine, si on accepte d'en assumer le cout.
Sur ce point comme sur d'autre, c'ets une question de choix politique, de choix de société, encore faudrait il nous donner la possibilité de débattre de ces questions, de nous itenrpeller en tant que citoyens sur ces enjeux. On le voit la question ne doit et ne peut concerner qu eles seuls écologistes quels qu'ils soient. la question nous concerne tous et est vraiment trop sérieuse pour être laissée aux seusl débats des Verts.
 
Que c'ets il passé ce week end?
l'Allemagne n'a  pas até en capacité de povoir faire face à sa demande intérieure. Donc son système de distribution electrique a fait appel à l'extérieur en compensation pour éviter une panne en cascade. Nous sommes en itnerdépendance electrique au niveau européen depuis quelques années. Ce choix d'organisation n'ets pas condamneble en soi, mais la question n'a jais été annoncé aux Europééns. Certes c'ets technqiue, mais c'ets aussi éminemment politique. Est il possible de faire ce type de choix structyurant, de coopération énergétique avec tout ce que cela peut induire de conséquences stratégiques, et pratiques sans en rendre compte aux electeurs,c ela me parait dangereux et non démocratique.
Dès qu'un pays est dans l'impossibilité de répondre à sa demande les autres pays, fournisseurs répondent à ses ebsoins; Le problème est que quand la demande devient trop élevé pour éviter une panne durable qui risquerait un bug du système des pannes sont organsiées pour réguler la demande. En effet pour produire de l'electricité il faut de l'electricité et dnc il ne faut jamais que le système ne disjoncte, pour qu'il assume sonrôle. Donc pouréviter tout risque de surchauffe général des systèmes de régulation coupent l'approvisionnement, c'ets ce qui s'ets passé il y a quelques jorus.
 
 
Une fois de plus, à nous de nous préoccuper de notre avenir de notre organisation, à nous de savoir si nous accpetons que d'autres prennent des décisions à notre place, ou si nous nous y interressons
le débat sera citoeyn si nous nous en emparons,
la démocratie ne se décrète pas à nosu de la faire vivre!
Rien n'est technique, tout est politique!

Portrait:JJSS

JJSS vient de disparaître.
Il restera de lui, L'express, qu'il a fondé avec Françoise Giroux. Ce premier news magazine français a porté le mouvement de décolonisation,  a soutenu clairement Mendes-France,  fut précurseur d'une presse de qualité, critique intelligente. les plumes les plus éclatantes et affutées si cotoyèrent pendant des années. Exigeant, touche à tout, il ne pouvait se contenter de n'être qu'un patron de presse, aussi en 1971, il quittera la direction de l'Express, pour entrer en politique. président du parti radical, jusque 1979, Ministre de la réforme, réformé en neuf jours, il fut une comète, une tre voix, qui n'a pu incarné une autre voie de la politique
Turbulent, fantasque, exigeant, il n'a cessé d'inventer de vouloir changer le monde
alors jsute pour cela Merci!

Echos de campagne:le retour du Che!

mardi 7 novembre 2006
 
Non, il ne s'agit pas de traiter ici de la victoire de Daniel Ortéga, au Nicaragua, qui est une nouvelle épine dans lepied de Goerges W Bush.
Non il ne s'agit pas de traiter ici des programmes des différents rpétendants socialistes, mais là je pense que perosnne n'était dupe. Il ne sera même pas question de traiter  du meeting de la gauche anti libérale au Mans hier soir. Les représentants des collectifs du non  tentent de relancer la dynamique qui leur a permis de mobiliser et de gagner lors du référendum sur le Traité Constitutionnel Européen, mais sans la LCR qui tarde à rejoindre la dynamique,  pour des raisons tactiques vis )à vis de Lutte ouvrière et peut-être pour quelques raisons mégalomaniaques...
 
 
Ce ne sera pas non plus la chronique d'une défaite annoncée pour W, et le victoire espérée des démocrates, même si l'on sait que cela ne changera rien, que cela ne règlera rien.
 
Non ce dont je veux bein évidemment commenter ce matin, c'ets l'annonce de Chevènement de poser sa candidature à l'élection présidenteille. Un de plus. Pourquoi est il candidat, Jospin ne l'étend pas, il n'a pas besoin de le faire perdre! Je blague bien sur, ce n'ets ni Chevènement, ni Tobira qui ont fait perdre Jospin en 2002, c'ets Jospin lui-même qui s'ets pris les pieds dans le tapisEn revanche la multiplicité de candidatures à gauche n'a rien arrrangé et a facilité le fait d'êtrte devancé par Le pen
Pour le moment on part pour être dans la même configuration qu'il y a quatre ans, alors il serait peut êter temps de se poser et de réfléchir à ce que nous souhaitons, à ce qu'ets cette élection présidenteille
Chevènement est candidat car la France fout le camp, parce que nous perdons nos repères. Oui. Sur le constat, nous ne pouvons être que d'accord.Mais qu'apportera t'il, en terme de clarification, si c'ets pour nous rejouer le républicanisme au dessus du clivage droite gauche. Un pole républicain,, c'ets utile quelqu'un quir appelle que la république n'ets pas soluble dans la mondialisation, et la construction européenne. Mais du temps de la Révolution les Montagnards étaient républicains et de gauche
Alors la candidature de Chevènement ne sera utile que si il ne tente pas d'embrasser les institutions de la Cinquième, mais si il est lui-même c'ets à dire le poil à gratter de la gauche pour l'obliger à ne pas se perdre dans l'illusion du centrisme, si il incarne la rigueur de la voix tracé à Epinay et la volonté de rassembler l'ensemble des forces de gauche non communiste.
Alors nous verrons si  sa voix est rééllement utile à la France en étant utile à la gauche.
Il est peu probable qu'il réponde favorablement à l'appel de la rejoindre  par Ségolène Royal compte tenu de ce qu'elle incarne, de sa capacité à revendiquer l'héritage européen. Il ne suffit pas d'avoir été le soutien à l'encadrement des "sauvageons", pour porter un projet de société.

06 novembre 2006

Echos de campagne:Culbuttone soutient pas la Madonne!

François Hollande, Premier Secrétiare du PS, vient d'annoncer qu'il n'annoncerait pas officiellement qui il soutiendrait pour al désignation à l'investiture socialiste. Belle neutralité? Non, le Premier des Socialiste, qui n'ets pas en capacité de dire qui il est nécessaire d'investir c'ets ridicule. Surtout quand l'iun des trois candidats se détache nettement des apprents sondages, omniprésents...
A moins que ce premier des socialistes ne souhaitent as soutenir le candidat quie st en tête des sondages,mais qu'il ne puisse pasle dire.
Que la positiond e François Hollande doit être difficile, lui qui a du avaler, tout assumer depuis dix ans, à la tête du PS/ Mio qio crpuaot sp, jeire venue aprés la victoire de 2004 aux régionales et aux Européennes, et puis il y eut ce putain de référendum. Carbonnisé, il ne s'en relèvera jamais. Il doit donc laisser la place à Ségolène, sa tendre compagne, envahissante compagne. Elle déjà trois fois Ministre alors que lui ne l'a jamis été.
Elle médiatique, alors que lui fait sourire. Et pourtant, c'ets bien parce qu'il est à la tête du parti qu'il lui a permis d'exister, de ne pas être laminé par la machine socialiste. C'ets par ses amis à lui qu'elle a eu ses premiers ralliemetns, Dray, Menucchi, repsa, et Bianco...
Aujourd'hui ou il se rallie et met en avant tout le jeu de duplicité menédepuis le congrés du Mans, pour neutraliser tout le monde par la synthèse incompréhensible de l'époque,
ou il ne se rallie pas et dans ce cas il conserve une infime marge de manoeuvre
tout le monde sait qu'il soutient bien sa compagne, de toute manière pourrait il en être autrement. Fabius, est celui par qi le malheur est arrivé. hollande nelui pardonnera pas son passage dans le camps du non, car peut etre sans lui, ne ce serait il pas retrouvé dans la situation du Prince Consort, et que l'on ne sortira plus d'ici peu.
Strauss, il nele voit pas gagner  et il a empéché le retour de Lionel. Ce que visait par dessus tout Hollande c'était d'être Premier Ministre plus que d'être Président. En effet, à la différence d'autres, il est cohérent et ile st vraiemnt favorable à unerépublique parlementaire conformément aux orientations du projet socialiste, et de ce fait c'ets le Premier Ministre qui aura les pouvoirs.
 
Alors Hollande ne se posiionne pas , pour apparaître au dessus des enjeux de personnes, pour pouvoir peser le moment venu, pour pouvoir plus que le candidat ou la candidate  incarner l'union des socialistes, afin que dès le 17 novembre et au plus tard le 24, c'ets à dirte au lendemain de la désignation du candidat socialiste, il ne soit plus virtuellement Premier Secrétaire. De plus, il est conscient que cette campagne interne laissera des traces, et il lui faudra toute son énergie de Premier secrétaire pour rassembler les troupes et tenter de faire que le PS soit cette fois au seocnd tour.
Et puis si Ségolène ne l'emportait pas, cela lui donnerait peut êter une possibilité de rebondir, lui!
Machiavélique ce François, peut-être.
En tout cas  beaucoup plus stratège que ses adversaires le pensent.
Interressant de voir comment le ralliement de Jack Lang est un non événement, et comment le non ralliement de François Hollande devient un coup de maître!

Des chardons plein les poches:la promotion du mariage par l'Education Nationale

Que penser de la dernière décision du Ministre de l'Education Nationale, qui a décidé de faciliter les rapporcuements entre conjoints  mariés ou pacsés, qui se retrouvent dans des Académies différentes.. Cela parait une mesure de bon sens, puisque au mouvement national, le rapprochement de conjoints est particulièrement difficile, cela fragilise des situations de couple, familiale, et donc fragilise les enseignants qui ne peuvent se voir que le week end, lors des congés... Plutôt que de promouvoir le recrutemetn académique, ou départemental le Ministre décide donc de faciliter le rapporchement en attribuant plus de ponts aux conjoints pacsés ou mariés se situant dans des Académies différentes en vue du mouvement national. Ainsi, ils auront pour le mouvement inter-académique en deux ans, dans ces conditions autant de points qu'un enseignant célibataire en onze ans. il ne fera plus bon être célibataire à l'Education Nationale si l'on veut muter dans une autre Académie, ou alors il faudra convoler
 
Et que dire à ces couples bien contents que l'administration tiennt éloigné l'élu de leur coeur loin des yeux pendant un bon bout de temps, maintenat ils le verront revenir au bout de deux ans, cela ne risque t'il pas de provoquer plus de divorces que de mariages?
Tout cela n'ets que plaisanterie bien-sur, mais c'ets aussi le moyen pour le Ministre de l'Education Nationale de faire la promotion d'une certaine vision de la société, démocrate chrétienne au sein del'Education Nationale, et de relancer les bals de l'Ecole Normale, car si les enseignants se mariaient entre eux, cela faciliterait bien des choses, pour la gestion des mutations.
Alors enseignants, vous savez ce qu'il vous reste à faire,, le Ministre vous a dit avec qui vous deviez prioritairement vous marier!

Echos de campagne:le ridicule ne tue pas, heureusement...

Dimanche 5 novembre 2006
 
 
Pour tout dire, il n'y a rien à dire. C'ets une fausse nouvelle, un faux scoop.
Jack Lang vient d'annoncer son ralliement à Ségolène. Il est vrai que lors de osn retrait à la demande du Premier Secrétaire, pour en pas rajouter la division à la division, on ne s'y attendait pas.
Il est vrai qu'avant son retrait pour l'investiture quand il a annocné qu'il aimait Ségolène, on ne s'y attendait pas.
Jack, sait de moins en mois faire vivre le suspens, il était tout de même plus doué il y a quelques années
Il parvient à maintenir une illusion médiatique, autour de lui à faire  survivre l'illusion médiatique
 
Alors si Ségolène est à l'Elysée, Jack sera au Quai d'Orsay
En 2007, on ne changera peut-être pas la vie, car ce ne sera jamais que le casting revisité de 1981, mais en tout cas on égaillera votre vie avec des paillettes

Blogtrotter:Saddam pourra t'il sauver Bush?

Lundi 6 novembre 2006
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Ce dimanche le Tribunal exceptionnel Irakien a condamné l'ex dictateur à mort, ainsi que trois autres responsables du parti BAAS.
aucunes surprises, pour cette condamnationà mort par pendaison  pour le Raiss, on peut se demander à qui profitera son execution à art peut êter pour les élections à mi mandat aux Etats Unis.
Est ce que cela induira une plus grande sécurité en Irak?
est ce que cela arretera les attentats à Bagdad?
peu probable, mais finalemetn ce n'ets pas si grave, ce n'ets pas vraiment pour ce'la que Busk a décidé de faire de l'Irak le 52ème Etat des Etats Unis!