23 février 2007

Réflexions:Quel était le tymbre de la voix de Danton?

Qu'est-ce qu'une voix ? Une simple voix ? C'est l'homme tout entier. Ou la femme. Voilà ce qu'on se disait en réécoutant Edith Piaf chanter. Inutile de
la voir, inutile de se la représenter : elle est là, frémissante, et sa voix vous emporte. Une voix, c'est un souffle, une empreinte. Une voix, c'est un
code unique, complexe.
"Allô !" A peine prononcée, cette formule magique dessine un visage. "C'est moi..." "Allô !" Ce seul mot, prononcé par le philosophe Emmanuel Levinas (1905-1995),
servait de signature. Dans sa manière de le prononcer, de l'expulser avec une panique de noyé, il signifiait toute sa vie, ou le pan caché d'une autre
vie, comme le raconte son biographe Salomon Malka (Levinas, la vie et la trace, Lattès, 2002). Et, quand Piaf s'étonne devant un homme qu'elle croise -
"Mais vous pleurez, Milord !" -, elle témoigne avec les mots d'un autre mais avec sa voix rauque de sa compassion et de son vrai visage.
La voix nue possède aussi le don unique de charrier avec elle le vent de l'Histoire. Une voix puissante peut faire se lever un peuple (celle du général
de Gaulle) ; une voix peut aussi le fasciner et le dompter (celle d'Hitler). La voix est un charme dont il ne faudrait pas laisser l'étude aux seuls spécialistes.
Quand surgit du parvis du Panthéon, en 1964, la voix vrillée d'André Malraux évoquant la Résistance et le combat de Jean Moulin (1899-1943), c'est toute
une génération qui reste marquée, comme frappée d'un sceau, par un timbre particulier, une emphase sidérante, le sortilège d'un discours porté par un grain
de voix exceptionnel.
Et chaque voix a son grain. Ce grain qui accroche, retient, irrite... Ce grain qui attrape. "Le grain, c'est le corps dans la voix qui chante, dans la main
qui écrit, dans le membre qui exécute", a relevé Roland Barthes. Le grain est une chair, il donne à la voix son épaisseur, sa compacité, sa sensualité.
C'est lui qui habite la voix, qui la fait chanter, murmurer, vibrer, éclater. C'est lui qui permet de contester l'assertion de Buffon, le grand Buffon
(1707-1788), qui disait dans une formule lapidaire : "Le style, c'est l'homme."
Deux siècles plus tard, osons l'affirmer : "La voix c'est la femme", alors que celle d'Edith Piaf résonne de plus belle. La voix de Piaf porte la griffe
des secrets de son enfance. C'est une voix de gueule et de gouaille. Indémodable pour l'instant. Donc véritablement exceptionnelle, car les voix se démodent
presque aussi vite que les vêtements. C'est l'un des nombreux mystères des voix. Elles nous résument et nous condamnent à notre temps. Comment parlait
César ? Sur quel ton ? Quel était son timbre, son rythme, ses inflexions de voix ? Nous ne le saurons jamais. Et nous serions de toute manière désagréablement
surpris. Comment Robespierre plaçait-il sa voix ? Et Danton ? Et Saint-Just ? Leurs voix étaient-elles chaudes ou métalliques ?
Jusqu'à présent, nulle voix n'est jamais parvenue à se bonifier depuis que la technique permet de les graver. Pour elles, le demi-siècle semble une éternité.
Au-delà, elles semblent désuètes. Littéralement, elles nous éloignent et nous mettent mal à l'aise. Trop déconcertantes. Le cinéma parlant en donne la
mesure. Avez-vous en mémoire la voix de Gérard Philipe ? Non ? Conservez plutôt le souvenir de son allure et de son regard !
Il y a encore peu, les voix étaient plus légères et sautillantes, presque suraiguës pour une oreille d'aujourd'hui. Les voix d'hommes s'envolaient, les
voix de femmes crissaient. Jean Gabin était à part. Il a inauguré une époque, celle des voix bourrues et lourdes, chargées de glaise, au moment précis
où les hommes désertaient la campagne. Comme de Gaulle, dont les basses ont fait vibrer les Français avant de les lasser. Mais c'est une autre histoire.
Article paru dans l'édition du 20.02.07.

22 février 2007

Portrait:Sarko au ta=ravers des yeux d'un journaliste du Monde, plus lucide que Chimène!

Jeudi 22 février 2007
Pas besoin de remonter très loin. Tenez, pas plus tard que le 6 février. Un déplacement comme des dizaines d'autres, rendez-vous gare de Lyon, à Paris.
Son arrivée se devine au mouvement qu'elle déclenche. Une masse mouvante hérissée de perches et de caméras qui se bousculent pour monter avec lui dans
son wagon. La direction du jour : Le Creusot (Saône-et-Loire). Après, il suffit d'attendre son tour. Viendra d'abord celui des images. Sarkozy dans le
train, Sarkozy feuilletant des dossiers en compagnie d'un élu ou d'un collaborateur, Sarkozy en laboureur du territoire : de quoi faire un plan de coupe
dans les sujets des 20 Heures, une illustration pour un sujet magazine.
Et nous, la presse écrite ? Ce jour-là, c'est Franck Louvrier, chargé de la communication, interface indispensable et serviable entre le candidat et les
médias, les grands comme les petits, qui viendra nous parler. Le sujet du jour : la prestation du candidat la veille sur TF1. Record d'audience à la clé.
Pourra-t-on le voir ? "Oui, sans doute, dans un moment, on verra." C'est tout vu. Dix minutes plus tard. Une quinzaine de journalistes, dont l'envoyé spécial
du Monde, se pressent autour de Sarkozy pour une de ces conversations "off the record", qu'on n'est pas censé rapporter, mais dont le propos sera intégralement
retranscrit dans les papiers du lendemain. Le candidat est content de lui : "Presque 10 millions de téléspectateurs, ça prouve que la politique intéresse.
Et ce n'est pas mon vieux compère Philippe Ridet qui me contredira." Cette fois, il est vraiment content de lui.
"Vieux compère..." Que faire ? Partir, drapé dans sa dignité ? Feindre l'indifférence ? Sourire niaisement ? Va pour la troisième solution. Tout Sarkozy
est là : s'appuyer sur une relation ancienne et professionnelle - elle date du milieu des années 1990 - et surjouer la connivence pour mieux déjouer la
critique. Axiome sarkozyste : on ne peut me faire le reproche de ce que je ne cache pas. Problème journalistique : comment profiter de sa proximité avec
son sujet sans en être l'otage ? Resurgissent de nombreuses heures passées à suivre son activité. Ici, des rendez-vous dans son bureau de maire de Neuilly
lorsqu'il s'empiffrait de chocolat, rongeant son frein de ne pouvoir partir à la conquête du RPR en 1999. Là, un retour en voiture d'Amiens à Paris, après
une réunion publique, où il évoque son divorce et son souci de toujours : envoyer une carte postale à ses enfants où qu'il se trouve. Ailleurs, des félicitations
pour un mariage, une naissance. Ne pas exclure qu'il puisse être sincère. L'intime et le politique imbriqués au point de ne faire qu'un. Et ce tutoiement
qui s'est installé entre nous. Comment dire vous à celui qui vous dit tu ? Pas trouvé.
Ainsi devient-on embedded, enrôlé comme ces journalistes dans l'armée américaine pendant la guerre d'Irak. Embarqué, spectateur et critique du show Sarkozy.
Une décision de rédaction en chef, une connaissance de ses réseaux, une longue fréquentation du sujet, et on se retrouve une accréditation autour du cou,
"Ensemble tout devient possible". Nous prenons ses trains, ses avions, partageons ses hôtels, échangeons quotidiennement avec ses collaborateurs. Il remplit
nos carnets de notes. Nous sature. Voyage à La Réunion, octobre 2005. Airbus estampillé "République française". L'avion n'a pas plutôt décollé que Sarkozy
est déjà parmi nous. Il salue les visages connus, d'une poignée de main virile, d'une bourrade, d'une bise, et - surtout - repère les inconnus. S'il déjeune
avec Martin Bouygues, ou Arnaud Lagardère, il n'ignore pas les petits soldats. Il s'enquiert : "Depuis quand travaillez-vous à... ?" Appose sa signature
sur le carnet d'une jeune consoeur. Bref, il laisse sa trace. En douze heures de voyage, autant au retour, nous aurons le temps de le voir beaucoup. Quand
il ne vient pas à l'arrière de l'appareil, il invite quelques-uns d'entre nous à l'avant. Surtout ne pas rester seul.
A cette époque, son épouse, Cécilia, est partie vivre à New York, le sujet est délicat et personne ne l'aborde. Son embarras est palpable. Le nôtre aussi.
A cette époque, ses amis n'en mènent pas large. Cet "accident de la vie", comme il l'appelle, peut mettre fin à des années de patiente stratégie. Ses collaborateurs
semblent atteints par ce flottement général. Sarkozy parle, de tout, à tous, à tort et à travers, sans que personne dans son entourage ne paraisse en mesure
de l'inciter à la prudence. Villepin, Chirac, la Corse, tout y passe. Et cet aveu qui sidère tout le monde : "Je ne sais pas si j'ai envie de me présenter
à la présidentielle." Il continue. "Je ne m'accrocherai pas. Je peux faire autre chose, gagner de l'argent." Il dit qu'il a envie de posséder une maison
"à la montagne". Et la seconde d'après, il enchaîne : "D'abord je fais président, puis je fais avocat." "Je ne finirai pas comme Balladur ou comme Baudis",
lâche-t-il avec mépris. Interloqués, nous le regardons partir, et on saute sur nos calepins pour noter ces propos incohérents. Quel statut leur donner
? Et qu'en faire ? "C'est off ?" s'interroge-t-on. Réponse : "Il n'y a pas de off avec Sarko." Ça pourra toujours servir.
Il arrive que Sarkozy se referme, laissant le peloton de ses suiveurs à sa porte. La gestion de l'"affaire Cécilia" est à ce titre exemplaire. Si le ministre
fait pression, avec plus ou moins de réussite, sur les éditeurs et patrons de presse afin qu'ils ne s'attardent pas sur ses déboires, il s'interdit tout
commentaire avec ses embedded : "Vous m'avez assez reproché de trop exposer ma vie privée, dit-il, pour ne pas supporter aujourd'hui que je ne vous en
dise rien." S'il aime prendre la presse à témoin de son bonheur et de ses succès, il ne commente pas ses difficultés. Autre domaine interdit : sa relation
avec Jacques Chirac. Il décourage toutes les questions sur la nature de ses rendez-vous hebdomadaires avec le chef de l'Etat, se contentant de réponses
évasives.
A-t-on l'idée de vouloir joindre son épouse, en septembre 2006, pour l'interroger sur les difficiles ajustements que provoque son retour dans le petit cercle
de ses collaborateurs, qu'il rappelle lui-même : "Pourquoi vouloir lui parler ?" On explique. Il hausse le ton : "Elle ne parlera pas." On insiste, il
s'agace. Imaginant déjà le trouble de son entourage après le retour de Cécilia, il lance, en colère : "Mes collaborateurs sont là pour appliquer une stratégie
!" Une intervention ? Elle n'était pas explicite, mais son intention - vaine - était bien de décourager l'auteur de ces lignes de relater quoi que ce soit
de cette histoire.
Me concernant, le cas est rare. Sarkozy laisse écrire, prétendant ne rien lire : "Les bons papiers me donneraient la grosse tête, les mauvais me déprimeraient."
C'est évidemment faux. Il sait quel commentaire, ironique ou critique, a suscité telle ou telle de ses interventions. Pour avoir écrit qu'il deviendrait
tôt ou tard "le point d'équilibre de son parti" (Le Monde du 27 septembre 2005), qu'il s'affadirait pour mieux rassembler, il n'a depuis cessé de me prendre
à témoin du contraire. Dix minutes de conversation suffisent pour que le sujet vienne sur la table : "Toi qui écrivais que..." Même plus besoin de terminer
la phrase : message reçu. Parfois la réplique est vive. Le Monde titre, le 29 novembre 2006, qu'il était "à la recherche de son second souffle", insistant
sur ses difficultés à rester calme et à amalgamer les personnalités de son équipe de campagne : il lance à son envoyé spécial : "Alors j'ai retrouvé mon
second souffle ?" Enfantin et bravache, il provoque, incapable de résister - quoi qu'il en dise - à la tentation d'instaurer un rapport de force, fût-il
passager. Le soir même, il assure : "Je ne t'en veux pas personnellement."
Tour à tour flattée, séduite ou douchée, la presse écrite retrouve avec lui une relation sans pathos, neutre et dépassionnée, dans la pratique de l'entretien.
Attendus, ces rendez-vous ont été préparés par le candidat-ministre et ses conseillers. Cette fois les mots sont pesés. Etalant parfois devant lui plusieurs
pages de notes, il commence à chaque fois par un propos liminaire sur le sujet à traiter. Il précise : "Je vous dis ça pour que vous me compreniez bien.
Après vous présenterez le tout comme vous voudrez." Ce n'est qu'une fois cet exercice terminé qu'il répond aux questions. Les entretiens qu'il a accordés
au Monde ont été peu corrigés. Ils contiennent en général ce qu'il faut de phases courtes pour pouvoir fabriquer "accroches" et éléments de titre. S'ils
venaient à manquer, M. Sarkozy est prêt à fournir, sur simple demande, jusqu'à quelques minutes du bouclage. Cette réputation de professionnel des médias,
il y tient. Il porte ses scores d'audience comme des médailles et le chiffre des ventes des journaux dont il a fait la "une" lui sont une réassurance permanente
sur ses capacités de séduction. Confondant volontiers les Français avec l'Audimat, il s'est fabriqué un statut, inédit chez les politiques, de "producteur-animateur".
D'abord, il crée l'actualité, ensuite, il la commente. Il faut pour cela avoir le sens aigu des "sujets qui marchent" - il l'a - et connaître les contraintes
et le lectorat de chaque média afin d'adapter son message - il connaît.
Lassitude d'un univers qu'il a trop fréquenté ? Jalousie devant le succès d'un Bayrou qui s'est fait le candidat anti-médias ? Présidentialisation précoce
? Depuis quelques mois, Sarkozy s'imagine en mal-aimé de la presse, des télévisions et des radios. Cela a commencé à New York en septembre 2006. Il aurait
voulu n'avoir autour de lui que des correspondants ou des journalistes américains. "Avec vos questions, vous me tirez par le bas", a-t-il expliqué sans
ambages à ses embedded. Une autre fois, il leur dit : "Cela ne sert à rien que je vous parle, de toute façon vous écrivez ce que vous voulez." Ou encore
: "Les Français sont plus difficiles à convaincre que les journalistes." Ou ceci, plus violent, même si le propos se veut, comme toujours, teinté d'ironie
: "Je suis une source inépuisable pour vos papiers de merde." Recevant tour à tour à déjeuner les services politiques des médias nationaux, il se plaint
de ne pas être soutenu par la presse. "Ni TF1 ni Europe 1 ne roulent pour moi." Il voudrait que tout le monde l'aime : " Le Figaro est plus honnête avec
Ségolène Royal que Libération avec moi."
Seulement voilà : comment changer ? Cette relation dans laquelle nous pouvons nous sentir englués, il ne peut non plus s'en défaire. Trop tard, nous sommes
ses témoins. De ses doutes, de ses succès, de sa métamorphose. Candidat des médias - parce qu'il est leur meilleur fournisseur en même temps que leur meilleur
client -, il est contraint de parler à ceux dont il prétend se lasser. S'il devient président, tout cela changera peut-être. Multipliant les visites de
terrain discrètes, dans un hôpital, une prison ou un foyer de femmes battues, il s'arrange pour emmener avec lui un journaliste d'agence. "Il veut bien
faire campagne seul, mais il veut que ça se sache", explique un proche. Privilégiant autant le savoir-faire que le faire-savoir, il a fait naître, comme
personne avant lui, un nouveau type d'articles politiques où le descriptif du dispositif médiatique équilibre le message. Là se trouve notre distance :
l'hygiène du journaliste.
Philippe Ridet
Article paru dans l'édition du 20.02.07.

Des chardons plein les poches:le deshonneur de la légion!

Mercredi 21 février 2007
Il ne faudra pas s'étonner si un jour il y a une atteinte à l'ordre public, parce que certains voudront eller retirer la légion d'honneur que papon ne devait pas porter de sa poitrine. MAM, a jeté comme commentaire, on ne va totu demême pas ouvrir le cercueil.
Et bein si, c'ets de l'autorité de l'Etat, surtotu quand on sait qu'une infraction va être commise de se donner les moyens pour qu'elle ne le fut pas. Ils ont su mobiliser les forces del'ordre pour que l'inhumation se déroule dans de bonnes conditions, pourquoi n'ont ils pas envoyer un huissier avec un officier de police judiciaire pour vérifier au moment de la fermeture du cercueil que celui-ci pouvait l'être dans le respect de la législation, et durespect de l'Etat, c'ets à dire du respect des décisions de jusitice.
Mais il est vrai, qu'il est plus facile d'aller prélever les traces AD? sir me scppter di foms Darko quand on lui volé, que de faire appliquer une décision de justice. Drôle d'époque, où un complice de crime contre l'humanité a pu dormir trnaquillement mourir chez lui, sans effectuer sa peine, et repose maintenant avec des décorations de la république!
Drôle d'époque, où l'on entend peu M Klasfeld,, Arno l'avocat en roller, hurler contre ce nouveau deshonneur de l'Etat, mais il est vria que c'ets son ami Sarko qui est Ministre de l'Intérieur et qui a laissé faire cette atteinte à l'ordre public!
Drôle d'époque où l'opinion ne se mobilise pas, et où tout cela se passe dans une relative indifférence parce que, une fois la tombe refermée,c 'est comme si on avait voulu enfouire cette page sombre de notre histoire
Voile pudique sur l'indicible, hypocrisie de notre incapacité à assumersi on avait souhaité

Echos de campagne:Ségo devant les Français!

Mardi 20 février 2007
Beaucoup l'attendait peut êter pour la voir s'écrouler, fondre en larmes, se laisser destabiliser par des questions de spectateurs... Ils en furent pour leurs frais
Rien de tout cela
Tout se passa trés bien, tout fut controlé
Elle répondit sans détour, à l'aise, visiblement martelant ses propositions, clarifiant les points qui ne l'étaient pas suffisamment compte tenu des questions
Elle a montré une sereine assurance, qui a fait dire aux commentaterus qu'elle connaissait sa partie.
Bien sur l'UMP fulmine, carelle a eu 9 millions de téléspectateurs, ce qui fait 2 millions de plus que Sarko, donc elle interresse. Cette émission sans accrocs, lui permet de rebondir aux yeux de l'opinion. Il reste quelques mauvais coucheurs qui lui reprochent de ne pas avoir abordé les questions internatioanles, oubliant que ce sont les spectateurs qui posent les questions et qu'elle ne fait qu'y répondre.
Ce qui est relativement drôle c'ets qu'il n'y eut rien de trés différent de ce qu'elle fit jusque là. L'exercice lui convenait ce quie st peu surprenant parce que c'ets ce qu'elle rpatique depuis des mois dans toute la France. Mais le regard sur elle a de nouveau changé. Les journalistes n'ont pu que reconnaitre qu'elle le faisait bein, puisque 9 millions de Français venaient d'en êter témoin, et non plus 10 000 sympatisants dans un meeting. Et puis comme elle n'a ajmsi varié de ligne elle a montré qu'elle avait une certiane autorité,, un certain applomb. Elle n'a pas cédé aux pressions médiatiques oud es impatiens qui prenaient peur parce que les sondages n'étainet pas bons, elle a pris son temps, elle a maitrisé le calendrier qu'elle s'était donné
Elle a donné du temps au temps en bonne miterrandiennen qu'elle est
Cette maitrise lui a donné de l'assurance.
Il ne reste plus qu'à voir si la perception des Français se ferra à l'unisson des observateurs et si cela se traduira dans les sondages ou non
l'utilité si ce rebond s'opère c'ets que Sarko par son hyperexpositione t sa course en tête risque de lasser, et l'arrogance qu'il affiche hors caméras depuisq uelques jours agace
alors qu'il continue et qu'elle poursuive sa campagne, à sa manière originale, puisque de toute manière c'ets en étant elle-même qu'elle est la ameilleure et qu'elle parvient à s'affirmer.
Je ne dirai rien sur le geste compassionnelle qu'elle a eu sur ce spectateur en fauteil, à qui elle donna un mouchoir pour qu'il esuye ses larmes,, geste maternelle ou réfléchi, peu importe le principale surtout c'ets qu'elle n'en est pas trp fait,. Qu'elle soit mère comme glose les journalsites est une certitude, donc le rappeler en toute occasione nf aisant de la psychologie de bazar est ridicule!

20 février 2007

Echos de campagne:Bayrou, ou une campagne bein menée!

Lundi 19 février 2007
Il est à noter que François Bayrou mène admirablement bein sa campagne;
Sans troupes de masse, il parvient à faire vivre l'espoir qu'il peut être élu
Comme un Giscard en 74, il incarne une autre voie, une autre voix, aussi, en homme libre
Il s'affranchit de spartis, des clivages, des pouvoirs de l'argent et des médias
dans son numéro bien orchestré de Caliméro politique, victime expiatoire des puissances del'argent, et du jeu du micorcosme qui otn déjà fait leur choix entre les candidats qt qui vueent l'imposer aux Français; On ne sait si cela tiendra sur la durée, mais en tout cas,c ela prend petit à petit, privant Le Pen de ce créneau.
Coup de génie, hier, il est arrivé àinstillé dans la tête de certians sondagiers, qu'il pourrait êter interressant de voir ce que sa candidature donnerait au seocn dtour, alors même qu'il n'y est aps présent actuellemenet. Mais la jurisprudence 2002, étant là, perosnne ne prendra le risque de se dire que tout est joué, surtou quand dans le JDD d'hier, 79% des Français disnet que rien ne l'ets et que des surprises peuvent intervenir.Alors deux sondages montrent que bein que non présent au seocn tour, il batterait les deux challengers Ségo et Sarko, si c'est lui qui les affrotnait.
Pour tous ceux qui veulent absolument faire abrrage à Sarko, ou Ségo d'ailluer,s il devient le recours. Si ce sentiemtn s'installe il peut avoir uen partie à jouer, c'ets surprenantn et interressant
Peut être que sur le modèle de ce qui existe dans d'autre pays européens, une troisième voie est possible.
Des ralliés de gauche devraient le rejondre, notamment des hauts fonctionnaires de Sparthakus.
Alors Bayrou, poursuit son chemin et peut être qui sait un jour parviendra t'il à son but, incarner une autre voie, et un proejt pour la France
Aujorud'hui bien que de droite, il incarne un espoir pour une partie de la gauche, et rassure à droite tous ceux qui ne veleunt pas de Sarko
Les Français épuisés de ce duel PS RPR, quid ure depuis vingt ans, peuvent vouloir remélanger la donne, redistribuer les cartes.
Si il est élu, ce sera certianement un nouveua malentendu avec les Français qui croiront avce lui rétablir uen forme de cohabitaion, mais qui enfait aurons un pouvoir en capacité de vraiemnt gouverner et réformer la France puisque non réduit à stérilement devoir s'affronter. Ce ne sera en effet, pas une cohabitation, mais un Présiden qui fera une vraie ouverture en prenant des talents de part et d'autre pour gouverner enf onction del'interet général. Chose qui en France depuis la révolution Française, ne se fait qu'ent emps de crise avérée, et pourrait plaire aux Français. Frileux de voir le pays se transfromer mais consicients qu'actuelllement on est en train de laisser un pays catastrophique à nos enfants.
Alors attendons de voir

Portrait:Haut fonctionnaire zélé ou salaud?

Dimanche 18 février 2007
Si je t'intitule ce portrait ainsi, c'ets pour prendre acte de la complexité de la position de Papon, et pour éviter tout risque de poursuite. je ne voudrais pas donner l'occasion à ses défenseurs de récupérer du fric à bon compte parce qu'on aurait sali l'honneur d'un mort.
La Justice a semble t'il en partie répondu à cette question. En partie seulement parce que mystérieusement Ce Préfet zélé, ne fut poursuivi que pour la déportation des 1690 hyufs dont il eut à prendre la décision de les envoyer en déportation à la demande des nazis. La legislation sur l'imprescritpibilité des crimes contre l'humanité dont est caractéristiques cette déportation a permis plus de cinquante ans aprés les faits de lui demander des comptes et de faire juger au travers lui, la collaboration d'une partie de l'administration française. Il ne faut pas générlaiser. Il y eut des préfets aussi comme Jean Moulin.
Papon, lui en fonctionnaire zélé et discipliné a suivi le mouvemetn, toujours le mouvement, du coté du manche. Il ne fut jamais un homme libre, il ne sut jamais dire non à l'ignominie de ce que le sordres qu'il recevait lui imposaient de faire. Fonctionnaire ne signifie pas que l'on dut applliquer l'ignoble, et l'indicible, cela suppose que l'on serve l'Etat quelque soit son orientation philosophique ou politique. Mais le jour où l'Etat n'ets plus la République et qu'il entend appliquer des lignes qui sont contraire à l'esprit même de la République, de ce que les valuers immuales de la Révolution Française, des Droits de l'Homme impose, il faut savoir dire non, et être en discidence.
Il y a toujrous eu des Papon, et en nombre plus nombreux que des Jean Moulin, c'ets la nature humaine. Mais luif ut particulièrement zélé et servile. Il ne se contenta pas d'avoir deshonoré sa fonctione n 42, en déportant 1690 hommes, femmes dont 225 enfant,s pour le seul fait qu'ils furent juifs, il récidiva en se rendant coupable d'autres exactions abrité qu'il fut derrière l'ordre de sa fonction. Préfet à Cosntantine, il fut d'une redoutable violence pour réprimer les troubles des événements en Algérie, comme on disait à l'Epoque, puis il fut le puissant préfet de paris en 1959. Les Algériens de la capitale et les communistes s'en souviennent, beaucoup le payèrent de leur sang, et plusieurs centaines de leur vie, quand il les fit bastonner et jeter à la Seine. Cet homme d'ordre fut prét à tous les dérapages, non pour la République, mais pour lui, pour sa carrière.
Ce en fut pas un fonctionnaire zélé et borné, par bétise, non par amition d'être reconnu. Ce serait faire injure à son intelligence que de penser qu'il était bestial et con, il était simplement cynique et ambitieux, et il fut pret à tout, à tous les aavilissements pour plaire au pouvoir qui l'a engendré et alisser prospérer,. des serviles comme Papon, c'ets tellement pratique. Ils font le sale boulot et en plus ils assument, en renie jamais rien, ne dise rien.
Cette séquence qui est rediffusée, où on el voit face à un jorunaliste qui l'interroge en 83, pour savoir si il regrette certaisn de ces actes, alors que l'on sait déjà, et lui de rpéondre, que rien il ne regrete rien.
et qu'il referait tout de la même manière. cette réponse peût paraître choquante, por beaucoup, de s alogique à lui, certianement pas, puisque ce comportemnt lui permis de parvenri à ce qu'il a voulu, être un homme puissant peu importe les moyens utilisés pour cela...
Il faut rappeler qu'il a terminé sa brillante carrière de commis de l'Etat, comme Minsitre du Budget sous Giscard.
Le plus salad dans l'histoire c'ets peut êter justement cet Etat qu'il a fallu presque violé pour parvenir aux six mois de procés à Bordeaux en 98. Pourquoi fut il protégé si longtemps, pourquoi a t'on du attndre prés de 56 ans, pour voir justice rendue? Cela il n'en est pas comptable, lui a tenté d'échapper à son jugement, pour éviterle deshonneur.
heureusemnt, la détermination de quelqu'uns ont permis ce procés exemplaire, mais bein tardif. Et Papon, fut condamné en tant que fonctionnaire pour ce qu'il a fait, pour ce qu'il a ordonné, et laissé faire. Il n'eut de compte à rendreque pour les déportations, mais c'ets déjà cela. dommage qu'il n'ait pas eu à rendre compte sur tout ce qu'il a fait.
Au travers de lui, c'ets aussi l'Etat Français qui fut jugé, et la république la quatrième et la cinquième qui sou couvert de réconciliation natioanle jeta un regard pudique, sur son histoire feignant de croire que tous les Français furent des résistants. il est douloureux de se souvenir collectivement qu'il y eut aussi des salauds.
Papon, le deshonneur, parceque plutôt que d'affornter, et peut êter de faire repent ance de ce qu'il fit, nia, ne reconnut rien, et ne demanda en rien pardon, se réfugiant derrière la responsabilité de Sabatier Préfet de la Gironde de l'Epoque. et pour éviter de devoir assumer financièrement les conséquences de ses actes, se rendit insolvable en se dessaisissant par avancemetn d'hoyrie, de tous ses beins au profit de ses enfants. Pour finir, il continua à porter la légions d'honneur, à laquelle il n'avait plus droit, depuis sa condamnation à dix ans de réclusion criminelle en 98. Peine qu'il n'assuma même pas, puisqu'il se fit passé poru malade, avec le regard complaisant de quelques médecins du à son age, et il sorti de prison à l'automne 2002.
Rien il n'assuma rien, et cette loi qui fut prise par humanit épour des détenus qui se meurent en priosn, fut détournée de son objet, et permit à cet homme sans complaisance de bénéficier une fois de plus des largesses de la République et del'indulgence de l'Etat.
Effectivement on comprend qu'il fut un fonctionnaire zélé, compte tenu de la reconnaissance qu'il en obtien, même si cela l'amena à être un vrai salaud!

18 février 2007

Des chardons plein les poches:une pétition contre les 4x4 français!

Non aux premiers 4x4 français !
Le groupe PSA présentera deux véhicules tout-terrain, le Peugeot 4007, et le Citroën C-Crosser, au salon automobile de Genève, du 8 au 18 mars prochain.
Renault, qui n'entend pas laisser tous les honneurs à son principal rival, sortira lui aussi son premier 4x4, un peu plus tard dans l'année.
A l'heure où le monde entier se mobilise pour réduire les gaz à effet de serre et enrayer le réchauffement climatique, les constructeurs automobiles français
naviguent à contre-courant, sans que le Gouvernement y trouve à redire.
Or, les 4x4 consomment entre 10 et 18 litres aux 100 kilomètres. Equipés de moteurs surpuissants (200 à environ 400 chevaux), ils polluent deux fois plus
qu'une voiture de classe moyenne.
Cette situation vous indigne ? Vous êtes opposé à la commercialisation de nouveaux 4x4 en France ? Alors, signez la pétition qui sera envoyée au Ministre
des transports, aux élus qui nous gouvernent, au groupe PSA et à Renault.

Des chardons plein les poches:Non aux premiers 4x4 Français!

Dimanche 18 février 2007
 
Vous pouvez allez vois un blog qui fait parler delui et qui par son ton militant et engagé, un peu bobo, mais qui ne l'ets pas aujourd'hui vous donnera envie de vous engager, et surtout d'avoir un regard critique sur l'actualité.
Ce jour l'équipe rédactionnelle de tudéblog  nous invite à être vigilants sur la nouvelle aberration des constructeurs français concernant les 4x4, toujours trés utile pour monterles trottoirs d enos cités, pour que les mères de famille puissent aller aisément chercher leurs marmots à l'école de quartier située à 500m, mais en étant en hauteur elles se sentent en sécurité...
 
 
une pétition utile à signer pour une fois
alors merci à Fred
Ce nouveau Tintin des temps modernes, bien qu'a priori il n'ait pas de milou, cela manque un peu
 
Voyez le biellet suivant pour aller signer la pétition en ligne!
 

Réflexions:Un appel à la Jeunesse!

Samedi 17 février 2007
 
Martine AUBRY lance "70 femmes, 70 jours" à Lille : "Comme Ségolène ROYAL, je veux une France qui croit en ses jeunes !"
 
Martine AUBRY a lancé la chaine de la victoire « 70 FEMMES, 70 JOURS » pour Ségolène ROYAL, à Lille, le 12 février 2007.
 
Vous voyez, nous n’avons pas voulu perdre de temps après le grand rassemblement des socialistes hier à Villepinte et l’annonce par Ségolène Royal de son
pacte présidentiel.
 
Notre candidate a présenté hier avec force détermination et convictions son programme et ses principaux engagements pour la France, en s’appuyant sur les
principaux axes du projet socialiste que collectivement nous avons établi.
 
Avec les femmes socialistes nous avons souhaité prolonger immédiatement cette dynamique positive par une « chaîne de la victoire » qui, à partir d’aujourd’hui,
traversera tout le pays pendant 70 jours.
 
Car nous croyons toutes en la victoire ! Aujourd’hui deux modèles de société s’affrontent. D’un côté celui de Nicolas Sarkozy, champion du libéralisme,
dur pour les plus fragiles et doux pour les plus aisés. De l’autre, celui porté par Ségolène Royal, tourné vers les Français et leurs vraies préoccupations,
imprégné de justice, de vérité et de volontarisme.
 
Jusqu’au premier tour de l’élection présidentielle le 22 avril, chaque jour, une femme socialiste, quelque part en France, dira donc les raisons de son
soutien à Ségolène Royal.
 
J’ai le plaisir d’inaugurer cette chaîne de la victoire et, de Lille, de vous dire, de dire aux Lilloises et aux Lillois, aux Françaises et aux Français,
pourquoi le choix de Ségolène Royal est mon choix.
 
Parmi les nombreux engagements pris hier par notre candidate, je veux aujourd’hui pour ma part en retenir un qui me paraît essentiel pour l’avenir de notre
pays.
 
C’est l’engagement pour la jeunesse.
 
Vous savez que c’est un sujet qui me tient à cœur depuis longtemps.
 
J’ai toujours défendu l’idée que notre pays devait renouer avec sa jeunesse, lui fixer des limites mais aussi lui ouvrir de nouveaux droits pour de nouvelles
libertés.
 
Elevés dans la crise économique, les jeunes ont vu leurs raisons d’espérer en un monde meilleur s’éloigner. Génération minoritaire, la jeunesse n’est plus
au cœur des politiques publiques. La jeunesse n’est pas un tout uniforme. Mais elle apparaît de plus en plus traversée par la revendication d’un droit
à l’avenir.
 
Quel avenir on lui donne notre société aujourd’hui ? Chômage, précarité ? A l’heure actuelle, pour beaucoup de jeunes, la réalité c’est au pire le chômage,
au mieux les petits boulots, stages reconduits plusieurs mois, puis CDD, et enfin, parfois un CDI dont chacun s’accorde à reconnaître qu’il n’est plus
une garantie de sécurité. Pour 3 jeunes sur 4 qui accèdent à l’emploi c’est la précarité qui les attend.
 
On ne peut pas nier aujourd’hui le malaise, l’univers d’insécurité dans lequel la jeunesse évolue et se construit. Cet univers d’insécurité n’est autre
que le fruit de la volonté d’une droite au service du libéralisme économique, avec comme postulat que le marché régule tout, que l’action des hommes pour
corriger les injustices qu’il engendre grippe le système et nuit à son efficacité. Les jeunes sont les premiers touchés par la dégradation générale des
conditions de travail.
 
Voilà la réalité pour les jeunes de notre pays : chômage, précarité, exclusion, rejet. En un mot, discrimination.
 
Redonner envie aux jeunes de croire en leur avenir. Redonner confiance à une génération stigmatisée depuis 2002 et qui aspire au changement. Voici un enjeu
majeur pour notre pays. La jeunesse est notre avenir. Une société qui mène une guerre contre sa jeunesse comme le fait la droite depuis cinq ans est une
société qui va mal.
 
Comme Ségolène Royal, je veux une France qui croit en ses jeunes.
 
Une France qui croit en sa jeunesse, avec Ségolène Royal :
 
-  c’est une France qui crée enfin une allocation d’autonomie et d’entrée dans la vie active, permettant aux jeunes de disposer de ressources stables et
suffisantes en contrepartie desquelles ils s’engagent dans un parcours sérieux de formation, une recherche active d’emploi ou dans du soutien scolaire.
 
Cet engagement, vous le savez, j’y ai beaucoup travaillé dans le cadre de l’élaboration du projet socialiste, avec le Mouvement des Jeunes Socialistes en
particulier. Je suis heureuse de le retrouver aujourd’hui dans le pacte présidentiel. Je sais qu’il répondra à de nombreuses et fortes attentes chez les
jeunes. Cet engagement de Ségolène Royal est à l’opposé de la vision proposée par Sarkozy et le gouvernement Villepin. Souvenez-vous du CPE, ou de l’apprentissage
à 14ans : un message de défiance à l’égard des jeunes. Un péril jeunes, une jeunesse sacrifiée !
 
Non, notre jeunesse n’est pas celle que dépeint la droite, de Sarkozy à Parisot ! (Cf Laurence Parisot "l’état de jeune, c’est un passage, une maladie dont
on guérit").
 
La jeunesse en a marre des clichés qu’on lui colle à la peau.
 
La jeunesse, ce n’est pas : des jeunes des milieux favorisés, d’autres de milieux défavorisés, des lycéens, des apprentis, des bac+5 : c’est une seule et
même génération qui ne veut pas qu’on brade son avenir, comme Villepin a essayé de le faire.
 
-  Dans le même esprit, une France qui croit en sa jeunesse c’est aussi une France qui garantit le droit au premier emploi pour qu’aucun jeune ne reste
au-delà de 6 mois sans avoir accès à une formation, un emploi aidé ou un tutorat rémunérés.
 
Cet engagement sera tenu notamment en généralisant dans toute la France 500.000 emplois tremplins à l’image de ceux lancés dans certaines régions.
 
Il sera accompagné d’un chantier d’intérêt national pour la formation des jeunes tel que l’a proposé le CERCS de Jacques Delors
 
-  Une France qui croit en sa jeunesse, c’est une France qui propose à chaque jeune un prêt à taux zéro de 10.000 euros, pour l’aider à construire un projet.
 
-  C’est une France qui met en œuvre une carte santé pour les 16 - 25 ans avec consultations médicales gratuites pour tous (1 par semestre) et contraception
gratuite pour les jeunes femmes
 
La candidate des socialistes a tenu hier un discours fort sur les droits et les devoirs des jeunes. Elle a montré qu’elle avait su entendre les revendications
de la jeunesse, de tous les jeunes de France, y compris ceux des quartiers, relayées par exemple par le mouvement AC le Feu auquel se sont notamment joints
des lillois comme Axiom.
 
Avec Ségolène Royal, une France qui croit en sa jeunesse, c’est aussi une France qui :
 
-  sait imposer des règles et fixer des limites quand cela s’impose, notamment quand les jeunes dérapent, cèdent à la violence (encadrement éducatif renforcé,
tuteurs référents, plan d’urgence pour la justice des mineurs)
 
-  En même temps, je suis pour une France, nous sommes pour une France qui ouvre davantage ses bras et tende la main à tous ses jeunes, quelque soit leur
adresse, leur couleur ou leur origine. La lutte contre les discriminations sera une priorité du pacte présidentiel.
 
Avec Ségolène Royal, les jeunes de France retrouveront demain confiance dans leur pays et la France redonnera sa confiance à la jeunesse.
 
C’est pourquoi j’appelle tous les jeunes de France, les jeunes femmes bien sûr mais également les jeunes hommes, à soutenir et à rejoindre le mouvement
engagé autour de la candidate des socialistes, des radicaux et des citoyens.
 
Il est un autre engagement fort que j’ai retenu hier, au-delà des propositions économiques et sociales formulées pour lutter contre les inégalités qui déchirent
notre pays.
 
C’est l’engagement pour un ordre juste, pas seulement en France mais sur toute la planète.
 
Pour moi comme pour Ségolène, cet ordre juste international doit redonner toute sa place à l’Afrique.
 
Vous connaissez ma passion pour ce continent que je connais bien, dont je partage la chaleur et les valeurs, et dont j’admire les hommes et les femmes,
courageux et endurants.
 
Je l’ai dit et aussi écrit souvent, ce continent, qui continue de s’enfoncer dans la misère et dans la guerre, mérite mieux que quelques aumônes des pays
du Nord qui vont plus souvent dans la poche de dictateurs corrompus que dans celle des populations.
 
Voilà, en quelques mots, pourquoi je soutiens Ségolène Royal et pourquoi j’appelle toutes les femmes et tous les hommes qui croient au progrès, en la justice,
en la jeunesse, à la solidarité nationale et internationale de la soutenir avec moi.
 
Demain dans cette même région du Nord Pas de Calais où nous sommes plus que tout attachés aux valeurs sociales et socialistes, d’autres femmes diront les
raisons de leur soutien à notre candidate.
 
Marie-Noêlle LIENEMANN parlera de Béthune, puis Catherine GENISSON d’Arras et ainsi de suite.
 
Tous les jours pendant 70 jours, 70 femmes de gauche formeront autour de Ségolène Royal une chaîne qui traversa toute la France, de Lille à Marseille, et
nous mènera jusqu’à la victoire de la gauche à cette élection présidentielle.

Echos de campagne:Une chanson?

Voici le mail reçu de la part d'ex Toulousains du Groupe Gold qui ont fait une chanson concernant la campagne Présidenteille...
 
Nous sommes le groupe Ma Iou Tobé, composé de Pierre Maisonneuve
et Alain Llorca - ex chanteur et bassiste du groupe Gold -.
A l'aube d'un changement politique majeur pour la France et
les français, nous avons décidé d'apporter notre humble
soutien à Ségolène Royal en lui dédiant une chanson intitulée
"Ségolène, tout pour plaire", que nous avons voulue populaire
et festive, c'est-à-dire au plus près de l'esprit de la campagne
de la candidate socialiste.
Conscients que le web pourrait faire basculer les résultats de la
prochaine élection présidentielle, nous avons misé sur les
internautes pour que cette chanson soit entendue de toutes et tous.
Nous vous invitons à écouter "Ségolène, tout pour plaire" sur
notre site ou sur notre page MySpace sur laquelle d'ailleurs
vous êtes invités à communiquer avec nous :
·
http://www.segolenefrance.fr
·
http://www.myspace.com/segolenetoutpourplaire
Merci de bien vouloir transférer cet email à vos connaissances et
de faire passer l'info autour de vous... le "bouche-à-oreille"
est très précieux !
Ségolènement vôtre,
Alain et Pierre
 
 
 
Alors bonne écoute
Quoiqu'il arrive il faut garder le sourire...

Societatis:Les classes populaires!

Vendredi 16 février 2007       
 
Plongée au coeur des classes populaires
« C'est le système tout entier qui est rejeté » Depuis quinze ans, presque la moitié du corps électoral a perdu toute confiance dans la politique. Alain
Mergier, sociologue, auteur du « Descenseur social », explique pourquoi, en 2007, un mince espoir est en train de renaître. Une analyse qui n'est pas passée
inaperçue des deux principaux candidats...
 
Le Nouvel Observateur. - Les classes populaires sont un enjeu décisif de la présidentielle de 2007. Vous êtes sans doute l'un de ceux qui a le mieux étudié
leur comportement, leurs attentes, leurs liens avec la politique. Comment se joue cette partie décisive qui, jusqu'à présent, a peu été prise en compte
par les commentateurs?
Alain Mergier. - Les principaux acteurs de la présidentielle, c'est-à-dire ceux qui rassemblent aujourd'hui près de 60% des intentions de vote au premier
tour - Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal -, ont compris, manifestement, que là était le coeur de la bataille. Chacun de ces deux candidats tire de ce constat
des conséquences qui constituent la véritable nouveauté de la présidentielle de 2007.
N. O. - D'un simple point de vue numérique y a-t-il un seul candidat qui pourrait faire l'impasse sur un secteur de l'opinion aussiimportant?
A. Mergier. - Les milieux populaires, au sens où nous l'avons défini avec Philippe Guibert, c'est 30% de la population, un actif sur deux, plus d'un tiers
des électeurs. Mais il faut ajouter une partie importante des classes moyennes qui, de déclassement en fragilisation, se rapproche des raisonnements des
milieux populaires. Nous nous trouvons avec près de la moitié du corps électoral. Or cette partie de la population forme un continent noir, un continent
méconnu qui vit en sécession par rapport à l'offre politique traditionnelle. Les grands commentateurs, les sondeurs, les médias nationaux maîtrisent parfaitement
le comportement de l'autre moitié de la France. Celle d'en haut. Tout cela est structuré et les évolutions - limitées au demeurant - sont identifiées avec
précision. Mais ce n'est pas là que se joue l'élection. On l'a vu à la présidentielle de 2002. On l'a vérifié à nouveau lors du référendum européen de
2005. Certains ont parlé d'accident, voire d'irrationalité des électeurs. Je parlerais plutôt de l'effet d'une cécité persistante de l'expertise politique.
 
cadre sans nom 1
fin du cadre sans nom 1
N. O. - Pourquoi?
A. Mergier. - On ne refera pas ici l'histoire de ces deux scrutins dont le résultat était parfaitement prévisible. A partir des analyses qu'avec mon équipe
nous réalisons sur les milieux populaires, c'était pour moi une évidence et je l'ai dit, à l'époque, plusieurs mois à l'avance. Pour cette population en
effet, la société n'est plus une promesse - fût-elle frustrée - mais une menace. J'ai parlé de «descenseur social». C'est une manière de dire que, pour
les milieux populaires, le fameux ascenseur social n'est pas en panne comme on le dit souvent mais qu'il est organisé pour tirer dans le mauvais sens.
Il en découle un sentiment de vulnérabilité extrême. Les milieux populaires ont perdu la main sur leur propre destin et a fortiori sur le destin commun
de la France. Ils forment un peuple de destitués. Et cela change tout. Le regard notamment qui n'est plus dirigé vers le haut - espoir d'un progrès - mais
vers le bas - crainte du déclassement et ressentiment à l'égard de ceux qui, tout en bas de l'échelle, sont perçus comme les profiteurs et les complices
d'un système fou.
N. O. - Quelle est la conséquence de cette inversion du regard?
A. Mergier. - Elle est très simple : c'est la décrédibilisation de l'action politique. Vous me direz que ça, on l'a entendu mille fois. C'est vrai mais
je crois que ce constat a été mal fait. La rupture de confiance dans l'action politique n'est pas simplement liéeà l'inefficacité de telle ou telle mesure,
nià telle ou telle promesse non tenue, ni même à tel ou tel acteur politique. Non, elle est liée à la méconnaissace dans laquelle le système poli-tique
s'est tenu à l'égard de ceque les gens vivent au jour le jour. Méconnaissance tellement profonde, tellement régulière qu'elle est vécue comme du mépris.
C'est le système tout entier qui est rejeté puisqu'il a fait la preuve depuis dix ou quinze ans que, s'il est incapable de remettre les choses à l'endroit,
c'est soit par ignorance soit par dédain. Par système, il faut aussi entendre non seulement le système des pouvoirs mais aussi le système de pensée. Juste
un exemple. Jospin pense en 2002 que la question de l'emploi prime sur celle de l'insécurité. Sa façon de penser est radicalement étrangère à l'expérience
des milieux populaires. Quelle idée saugrenue, très présente dans l'expertise politique, que d'évaluer comparativement le poids du chômage et celui de
l'insécurité ! Quelle est le plus problématique pour vous la peste ou le choléra ? Le chômage ou la violence ? Vous pouvez toujours dire que c'est la peste,
le chômage. Mais le vrai problème ne se pose pas comme ça. Le vrai problème, c'est la vulnérabilité extrême, alliant chômage et insécurité.
N. O. - Les classes populaires sont-elles en voie de dépolitisation?
A. Mergier. - Ceux qui le croient font un contresens absolu. Toutes nos enquêtes, sur le terrain, montrent l'inverse. Comme me l'a dit un jour l'un de mes
interviewés : «Ce n'est pas nous qui sommes dépolitisés. Ce sont les hommes politiques qui le sont.» Même si c'est dur à admettre, il faut reconnaître
que, pour cette population, le lien avec la politique a été maintenu par Le Pen. Le leader du FN est le pilier historique de ce contre-système. C'est lui
qui l'organise et le structure symboliquement, y compris pour ceux qui n'adhèrent pas à son discours.
N. O. - Cela vaut aussi pour la présidentielle de 2007?
A. Mergier. - J'ai envie de dire oui et non. Oui, parce que l'idée angoissante du « descenseur social » est toujours aussi présente dans les milieux populaires
et, comme j'ai dit, dans une bonne partie des classes moyennes et que la décrédibilisation de l'action politique demeure massive. Non, parce que nos enquêtes
montrent qu'il s'est passé quelque chose depuis un an dans la perception de l'offre politique.
N. O. - C'est-à-dire?
A. Mergier. - Le point de départ, c'est la perception au début de l'année 2006 qu'il y avait à l'horizon une échéance présidentielle et que c'était là l'occasion
de dire « ça suffit, il faut que ça s'arrête ». Mais l'important dans ce que disent mes interviewés est ailleurs. Pour la première fois, on a senti renaître
l'idée que peut-être, cette fois-ci, il pouvait se passer quelque chose. Ce n'est pas un espoir. C'est un début d'attention là où il n'y avait que désillusion
massive. Dans un premier temps, Nicolas Sarkozy, par son style, sa rhétorique de l'action, la mise en scène de son énergie, a installé l'idée que peut-être,
sous certaines conditions, l'action politique pouvait changer quelque chose. Mais en même temps le personnage inquiète. On sent une part sombre. On craint
que cette énergie brute - l'action prouvant que l'action est possible - débouche sur une forme d'outrance, une autre violence, institutionnelle. D'où l'attente
d'un cadrage éthique de l'action. Mais cette attente n'a rien à voir avec la mise en avant des valeurs idéologiques ou politiques, c'est une éthique du
respect de la personne qui est demandée dans les milieux populaires. Ségolène Royal émerge en répondant à cette demande.
 
cadre sans nom 2
fin du cadre sans nom 2
N. O. - Ce double mouvement de crédibilisation qui passe par la confrontation entre Sarko - l'action énergie - et Ségo - l'action respectueuse - est-il
encore perceptible alors que la campagne commence?
A. Mergier. - Dans mes enquêtes, oui. Mais comprenons-nous bien. Je ne suis pas sondeur. Je ne fais pas d'arithmétique électorale et je ne prévois pas le
détail du vote des classes populaires. Je dis simplement qu'au jour d'aujourd'hui, pour ces dernières, l'hypothèse du changement possible n'a pas disparu
et que cette hypothèse se structure autour de Nicolas Sarkozy et de Ségolène Royal avec, ne l'oublions pas, le recours structurant :Le Pen.
N. O. - Les autres ne pèsent pas?
A. Mergier. - Ils ne structurent pas les milieux populaires. C'est vrai, pour l'instant, pour François Bayrou qui parle essentiellement à l'autre France,
celle d'en haut. Ça l'est également pour l'extrême-gauche parce que les milieux populaires - c'est un point capital - ne vivent pas dans l'espoir d'un
changement complet de système économique ou social. Ils sont extrêmement réalistes. La question de la faisabilité des programmes est très présente dans
leur esprit. C'est en ce sens que même si, comme je le pense, la relation à l'offrepolitique s'est transformée, il ne faut pas conclure au retour de la
confiance. On ne votera pas les yeux fermés.
N. O. - Quels sont pour eux les preuves possibles de cette inversion?
A. Mergier. - En campagne, par définition, il n'y a que des promesses. Les milieux populaires ne se détermineront pas davantage en fonction des programmes
qu'hier sur la base des articles d'un traité constitutionnel. Hier, il n'y avait que des refus. Aujourd'hui, les milieux populaires prennent les candidats
au mot mais dans la logique de la défiance : vous nous proposez un nouveau type de relation ? Fort bien. Vous montrez de l'intérêt pour nous ? Parfait.
Nous voulons bien jouer le jeu. Mais attention, pas de confiance aveugle en ce qui nous concerne et gare à ceux qui s'avancent masqués vers nous.
N. O. - L'attente - fût-elle ténue - porte sur quoi?
A. Mergier. - Dans les interviews que je réalise, il y a en toile de fond deux questions. Comment ce qui m'est proposé va changer concrètement ma vie de
tous les jours ? J'ai besoin de l'imaginer. Et puis, dans la société qui m'est proposée, vais-je trouver une place à part entière ? La question est toujours
double : crédibilité de l'action et garantie éthique. L'enjeu de Nicolas Sarkozy, celui qui guide son repositionnement du 14 janvier, est de faire passer
l'activisme qu'il met en scène pour une énergie humaniste. L'enjeu du 11 février pour Ségolène Royale était de montrer comment l'éthique de la personne
qu'elle incarne peut transformer le fonctionnement réel de la société.
 
François Bazin
Le Nouvel Observateur

Echos de campagne:Chirac, la fin d'un règne?

Mardi 13 février 2007
 
Dimanche , chez Drucker, Bernadette, dite la Tortue est venue décliner la lithanie de ce qu'elle estime être son oeuvre.
Femme du Président, on ne sait pourquoi elle a voix au chapitre, ce qui la légitime dans sa prise de parole.
Orc 'est bien à ce titre qu'elle est invitée. Drucker n'a pas inivté la Conseillère Générale de Correze. Pourquoi le présentateur vedette de France 2 a t'il invité une seconde fois la Première Dame de France comme on dit. Elle fut déjà initée en 2002, lors de la sortie de son livre. Elle joua un rôle nnon négligeable dans la réélection de son mari, il y a cinq ans. Aujourd'hui le Président comme elle, ne semble pas av oir la main, et donc il est peu probable qu'il tente de se représenter. Il risquerait l'humilitation de Giscard en 81, ou celld de Jospin en 2002, n'étant même pas qualifié
Au fur et à mesure de cette émission, sans rééls reliefs, nous aovns compris qu'il ne se présenterait vraissemblablement pas.
 
Aprés douze     ans passé à l'Elysée, la trahison sur la fracture sociale, sur laquelle Chirac l'altermondialiste, écolo n'a rien fait, il est peut être temps de tourner la page
Mais, si c'ets pour avoir le plus chiraquien de ses fils spitituels en la perosnne de Sarko, finalement on regrettera peut être l'original.
Sarko, est totalement chiraquien dans sa pratique dde la politique, dans s amanière de mener campagne, mais il a  juste oublié l'humanisme de Chirac.
 
Bernadette elle a  au travers de ses pièce sjaunes, et de son discours cul bénit nous rappelle combien les Français doivent être moins égoïstes et accepter que l'Etat de fasse pas tout. La Première Dame de France en bonne catholique renvoie àla solidarité privée, charitative ce que l'Etat n'assume pluls, puisqu'il faut discréditer l'imppot.
Il ewt tellement plus simple d'avoir ses pauvres...
 
Alors ce couple sortira certainemetn du jeu politique dans les années à venir, pour laisser la place à d'autres... Mais espérons que nous connaitrtons un vrai chanegemnt en voyant arriver au Chateau une Présidente, pour voir uen autre pratique du pouvoir
Ainsi nous pourrons peut-être croire qu'il est possible de Président Autrement!
Ah, non il est vraiq ue ce slogan navrant  fut celui de Jospin en 2002

Echos de campagne:Sarko à la Mutualité

Lundi 12 février 007.
 
Avant d'écouter Royal présenter son pacte présidentiel, j'ai écouté Sarko, l'homme zen et neuf, qui a changé parler à ses troupes,a ux ralliés, de la première et dela dernière heure, à tous les ex groupies chiraco trotskistes, aprés avoir été un peu avant tontonmaniaques en gravissant Solutré. Hanin et Svran en sont certainemetn les ambassadeurs les plus éclatants, navrants valets du pouvoir, bouffons du roi, qui crient, vive le Roi, alors même qu'il n'ets pas encore mort, là est peut être leur indécence.
Ils tentent de se justifier, sur les plateaux de télé, pour expliquer qu'ils n'ont pas trahi, et que Sarko est le digne fils de leurs ami passé, et qu'en le soutenant ils sont fidèles à leurs idées. Oui peut êter, ils osnt fidèles à leur besoin d'être proche du pouvoir, parce que cela est grisant, de déviser de l'avenir du monde, et de leur devenir professionnel... Pourtant leur carrière est faire, plutôt glorieuse, et ils n'ont pas vraiment eu besoin des puissants pour se réaliser, alors A quoi bon, se ridiculiser à courir aprés la palce sur la photo?
Parceque Hanin, veut redescendre les Champs Elysées la Rose à la main, comme en 81, quand le 21 mai, Mitterrand avant d'aller àl'Elysée est allé déposer une rose sur le tombeau de Jaures...
Dalida n'est plus, là, Roland Dumas a bein veilli, et les ambitions du peuple de gauche se sotn envolées depuis 83... Alos qu'espérer , peut être l'illusion pour ses saltimbanques d'être utiles à ses hommes et femmes de pouvoir,e t qu'il vaut mieux être du coté du manche, parce que c'ets plus confortable.
Où ètes vous Signoret et Montand, réveillez les!
Vous au moins vous osiez, quitte à vous trompez prendre des risque,s mais eux vont du coté du vent,.
Peut être que ces artistes veillissant, ces intellectuels de gauche, plutôt soixante huitards, d'ailleurs se rallient les uns aprés les autres à Sarko, car il les rassure, car ils savent qu'avec lui, ils pourronc ontinuer à profiter de leur part du gateau.
Lors de son allocution fourre tout à la
utualité, il les a rassuré. Tous pouvait trouver une bonne raison pour voter pour lui.
 
C'ets peut être cela la vraie fracture de cette élection, Royal propose un autre projet de société, un projet plus collectif, où l'Etat, l'interet général, la chose publique seraz prioritaire à l'interet individuel. Elle part du principe, que l'interet individuel ne peut être l'alpha et l'oméga du bonheur. D'autres voies sont possibles. De ce poitn de vue c'est elle qui innove et est en réélle rupture. Sarko, lui est dans la continuité de la politique de casse sociale menée depuis cinq ans, et surtout en continuité quoi qu'il dise de la politique menée depuis de nombreuses années. il n'entend nullement inverser les priorités de notre société pour tenter autre chose. Et les artistes et intellectuels établis qui sont le spurs produits de 68, mais qui n'en ont tiré que l'illusion de l'égoïsme social comme avenir.
Alors que ces gens aillent faire la claque au pouvoir sortant, leur appui n'ets pas indispensable pour gagner, l'essentiel est ailleurs
gagnera celui ou celle qui parviendra àmontrer au pays ce qu'iul entend faire de la France dans vingt ans.
A ce moemtn les Français se mobiliseront pour l'un ou l'autre, avant ce n'ets que des sondages d'opinions fluctuants
Maintenant il est temps d'abattre les cartes!