20 février 2007

Portrait:Haut fonctionnaire zélé ou salaud?

Dimanche 18 février 2007
Si je t'intitule ce portrait ainsi, c'ets pour prendre acte de la complexité de la position de Papon, et pour éviter tout risque de poursuite. je ne voudrais pas donner l'occasion à ses défenseurs de récupérer du fric à bon compte parce qu'on aurait sali l'honneur d'un mort.
La Justice a semble t'il en partie répondu à cette question. En partie seulement parce que mystérieusement Ce Préfet zélé, ne fut poursuivi que pour la déportation des 1690 hyufs dont il eut à prendre la décision de les envoyer en déportation à la demande des nazis. La legislation sur l'imprescritpibilité des crimes contre l'humanité dont est caractéristiques cette déportation a permis plus de cinquante ans aprés les faits de lui demander des comptes et de faire juger au travers lui, la collaboration d'une partie de l'administration française. Il ne faut pas générlaiser. Il y eut des préfets aussi comme Jean Moulin.
Papon, lui en fonctionnaire zélé et discipliné a suivi le mouvemetn, toujours le mouvement, du coté du manche. Il ne fut jamais un homme libre, il ne sut jamais dire non à l'ignominie de ce que le sordres qu'il recevait lui imposaient de faire. Fonctionnaire ne signifie pas que l'on dut applliquer l'ignoble, et l'indicible, cela suppose que l'on serve l'Etat quelque soit son orientation philosophique ou politique. Mais le jour où l'Etat n'ets plus la République et qu'il entend appliquer des lignes qui sont contraire à l'esprit même de la République, de ce que les valuers immuales de la Révolution Française, des Droits de l'Homme impose, il faut savoir dire non, et être en discidence.
Il y a toujrous eu des Papon, et en nombre plus nombreux que des Jean Moulin, c'ets la nature humaine. Mais luif ut particulièrement zélé et servile. Il ne se contenta pas d'avoir deshonoré sa fonctione n 42, en déportant 1690 hommes, femmes dont 225 enfant,s pour le seul fait qu'ils furent juifs, il récidiva en se rendant coupable d'autres exactions abrité qu'il fut derrière l'ordre de sa fonction. Préfet à Cosntantine, il fut d'une redoutable violence pour réprimer les troubles des événements en Algérie, comme on disait à l'Epoque, puis il fut le puissant préfet de paris en 1959. Les Algériens de la capitale et les communistes s'en souviennent, beaucoup le payèrent de leur sang, et plusieurs centaines de leur vie, quand il les fit bastonner et jeter à la Seine. Cet homme d'ordre fut prét à tous les dérapages, non pour la République, mais pour lui, pour sa carrière.
Ce en fut pas un fonctionnaire zélé et borné, par bétise, non par amition d'être reconnu. Ce serait faire injure à son intelligence que de penser qu'il était bestial et con, il était simplement cynique et ambitieux, et il fut pret à tout, à tous les aavilissements pour plaire au pouvoir qui l'a engendré et alisser prospérer,. des serviles comme Papon, c'ets tellement pratique. Ils font le sale boulot et en plus ils assument, en renie jamais rien, ne dise rien.
Cette séquence qui est rediffusée, où on el voit face à un jorunaliste qui l'interroge en 83, pour savoir si il regrette certaisn de ces actes, alors que l'on sait déjà, et lui de rpéondre, que rien il ne regrete rien.
et qu'il referait tout de la même manière. cette réponse peût paraître choquante, por beaucoup, de s alogique à lui, certianement pas, puisque ce comportemnt lui permis de parvenri à ce qu'il a voulu, être un homme puissant peu importe les moyens utilisés pour cela...
Il faut rappeler qu'il a terminé sa brillante carrière de commis de l'Etat, comme Minsitre du Budget sous Giscard.
Le plus salad dans l'histoire c'ets peut êter justement cet Etat qu'il a fallu presque violé pour parvenir aux six mois de procés à Bordeaux en 98. Pourquoi fut il protégé si longtemps, pourquoi a t'on du attndre prés de 56 ans, pour voir justice rendue? Cela il n'en est pas comptable, lui a tenté d'échapper à son jugement, pour éviterle deshonneur.
heureusemnt, la détermination de quelqu'uns ont permis ce procés exemplaire, mais bein tardif. Et Papon, fut condamné en tant que fonctionnaire pour ce qu'il a fait, pour ce qu'il a ordonné, et laissé faire. Il n'eut de compte à rendreque pour les déportations, mais c'ets déjà cela. dommage qu'il n'ait pas eu à rendre compte sur tout ce qu'il a fait.
Au travers de lui, c'ets aussi l'Etat Français qui fut jugé, et la république la quatrième et la cinquième qui sou couvert de réconciliation natioanle jeta un regard pudique, sur son histoire feignant de croire que tous les Français furent des résistants. il est douloureux de se souvenir collectivement qu'il y eut aussi des salauds.
Papon, le deshonneur, parceque plutôt que d'affornter, et peut êter de faire repent ance de ce qu'il fit, nia, ne reconnut rien, et ne demanda en rien pardon, se réfugiant derrière la responsabilité de Sabatier Préfet de la Gironde de l'Epoque. et pour éviter de devoir assumer financièrement les conséquences de ses actes, se rendit insolvable en se dessaisissant par avancemetn d'hoyrie, de tous ses beins au profit de ses enfants. Pour finir, il continua à porter la légions d'honneur, à laquelle il n'avait plus droit, depuis sa condamnation à dix ans de réclusion criminelle en 98. Peine qu'il n'assuma même pas, puisqu'il se fit passé poru malade, avec le regard complaisant de quelques médecins du à son age, et il sorti de prison à l'automne 2002.
Rien il n'assuma rien, et cette loi qui fut prise par humanit épour des détenus qui se meurent en priosn, fut détournée de son objet, et permit à cet homme sans complaisance de bénéficier une fois de plus des largesses de la République et del'indulgence de l'Etat.
Effectivement on comprend qu'il fut un fonctionnaire zélé, compte tenu de la reconnaissance qu'il en obtien, même si cela l'amena à être un vrai salaud!