18 novembre 2006

des chardons plein les poches:Jean-Paul II statufié en Bretagne!

Des Bretosn d'une petite ville se rebellent contre leur maire, et le ur conseil muinicipal qui ont décidé d'élever un statue à la gloire de Jean-Paul II.
"C'est un des plus grands hommes du XXème siècle" se défend le Maire de Plouermel
Difficile à accepter pour les défenseurs de la laïcité, ils sont nombreux en Bretagne, qui pour beaucoup d'entre eux sont catholiques mais refusent cette appropriation de la sphère publique
Cette statue gigantesque est offerte par un "artoste" Georgien, mais pour autant rien que le socle de cette oeuvre monumetale coutera 8000 euros aux contribuables.
Il faut dire que ce Maire a eu  le regrettable exemple de delanoé qui ne trouva rien de mieux, avce le soutien de  l'UMP au Conseil de Paris, de rebaptiser le Parvis de Notre Dame Parvis Jean-Paul II.
Et pourtant les raisons pour refuser d'honorer cet homme sont nombreuses. Carol Wojthila, en effet a promu l'abstinence, plutôt que la contraception et le fait de se protéger du SIDA en Afrique, alors que ce continent se meurt.
Je parle de l'homme puisque je ne peux penser qu'un Maire socialiste de Paris puisse honorer le chef d'une Eglise!

Des chardons plein les poches:marketing politique sur le web

Samedi 18 novembre 2006
 
Dans l'article qui suit, vous découvrirez  la stratégie des plus grandes radios nationales concernant la prochaine présidentielle.
Cette election se jouera t'elle sur le net? peut être, puisqu'on leurre l'électorat en lui disant qu'au travers des nouvelles techniques de l'information et de la communication ils vont avoir la main, et qu'ils pourront infléchir les contenus politiques. On est dans le marketing en plein. Un outil de communication reste un outil, quand l'outil de communication induit des modifications sur le fonds c'ets que la démocratie est vraiment en danger, ce qui est bien le cas. Alors, oui, blogs, et autres émissions du type "kes auditeurs ont la parole", ou "interactive", joueront un grand rôle pour la prochaine élection majeure française, pas tant de le résultat que dans le contenu programmatique des candidats qui tenteront de capter  la vox populi.

Echos de campagne: PS Prodigieuse Ségolène:

SÉGOLÈNE ROYAL INVESTIE PAR LES MILITANTS SOCIALISTES
 
Avec une participation historique de 180 558 votants, Ségolène Royal a été investie à la présidentielle par les militants socialistes avec une large majorité.
 
Ségolène Royal remporte 108 807 voix soit 60,65 % des suffrages, Dominique Strauss-Kahn obtient 37 118 voix soit 20,69 % des suffrages et Laurent Fabius
33 487 voix soit 18,66 % des suffrages.
 
Télécharger les résultats
 
LES DÉCLARATIONS
 
Déclaration solennelle de Ségolène Royal à Melle, le 17 novembre 2006
 
"Nous allons gravir la montagne jusqu’à la victoire"
 
Pour que la France saisisse toutes ses chances,
et réalise le progrès pour tous, le respect pour chacun
 
Lire la déclaration de Ségolène Royal
 
Déclaration de Dominique Strauss-Kahn
 
" Ségolène Royal a été désignée. Elle est désormais la candidate de tous les socialistes. Je la félicite de son beau résultat et je lui souhaite bonne chance.
Le PS est d’ores et déjà rassemblé."
 
Lire la déclaration de Dominique Strauss-Kahn
 
Communiqué de Laurent Fabius
 
"Je salue Ségolène Royal et je la félicite pour son succès."

Revue de presse:les radios entrent en campagne

article publié dans La Croix
du 17novembre 2006
 
Présidentielle : les radios entrent en campagne
 
Six mois avant l'élection à la présidence de la République, les radios veulent faire de la politique «autrement» et favoriser l'interactivité avec leurs
auditeurs
 
«Déblayer le terrain pour l’auditeur citoyen qui risque d’être submergé d’informations, voilà ce que nous souhaitons », explique Pascal Delannoy, directeur
de Radio France Multimédia. Alimentée par les différentes antennes du groupe, la « webradio présidentielle », en ligne depuis début novembre, doit permettre
à l’internaute à la fois de connaître l’actualité la plus récente (sondages, déclarations et programme des candidats…), et surtout d’approfondir les sujets
de son choix pour se forger une opinion.
 
« Nous voulons éviter deux écueils : transformer l’élection en un concours de beauté, et ne donner la parole qu’aux puissants », scande Patrice Bertin,
directeur de la rédaction de France-Inter. Telles sont en effet les deux principales problématiques des principales radios, au moment d’élaborer leurs
plans de bataille pour couvrir la campagne présidentielle.
 
« Syndrome du référendum » (celui du 29 mai 2005 sur la Constitution européenne) ou tendance lourde, les responsables d’antenne s’accordent sur la nécessité
de « parler des Français et de leur donner la parole ». Leur arme de prédilection : le blog (1). Radio France Multimédia, Europe 1, Europe 2, RTL ont ouvert
leur blog politique.
 
Le blog est un vecteur d'information
Comme l’explique Jérôme Dorville, directeur adjoint de la rédaction d’Europe 1, plutôt que de « confier les clés de la maison aux auditeurs », qui participent
déjà à un certain nombre d’émissions, il faut profiter de cette tribune d’un nouveau genre : baromètre certes partial, elle permet de saisir certaines
inquiétudes ou attentes des internautes. « C’est peut-être la première campagne présidentielle qui va se jouer sur le Web », estime-t-il.
 
Plus qu’un effet de mode, le blog est un vecteur d’information qu’il serait absurde d’ignorer : tous les responsables d’antenne sont d’accord là-dessus.
« C’est même une soupape de sûreté pour que les gens ne se confortent pas dans l’idée qu’on les prive de parole », assure Jacques Esnous, directeur de
l’information de RTL. Sondages « exclusifs » et baromètres complètent en général le dispositif.
 
Entre les « dix urgences des Français » recensées par France-Inter, les « vingt thèmes majeurs de la vie des Français », les « vingt thèmes en vingt semaines
» abordés sur France-Info, les radios ont cherché à établir des repères clairs pour leurs auditeurs. Selon qu’elles prennent le départ en octobre ou plutôt
en janvier, elles ont bâti un planning aux allures de palmarès à partir de grands sujets qui nous sont chers.
 
"Famille, éducation, respect de la vie"
Les radios catholiques marquent leur différence en mettant l’accent sur des sujets plus humains. « Famille, éducation, respect de la vie, nous voulons que
ces sujets soient présents à l’antenne », insiste Aymeric Pourbaix, directeur de l’information de Radio-Notre-Dame, se référant à la déclaration du cardinal
Ratzinger en 2002 sur « l’engagement des chrétiens en politique ». « Notre spécialité sociale et humaine nous conduit à parler de sujets comme la fin de
vie ou le statut de l’embryon. »
 
Dans un souci de proximité avec son public, pour «faire la part belle aux forces vives du pays», Europe 1 organisera, elle, des «Journées spéciales en province»,
d’où elle rapportera un «Portrait de France», diffusé le matin à 6 h 45 : un professeur, un patron de PME, un paysan, explique Jérôme Dorville, tandis
que Patrice Bertin, directeur de la rédaction de France-Inter, insiste sur la nécessité de « s’ouvrir vraiment sur la France d’en bas ».
 
« Le vote est beaucoup plus complexe que par le passé », estime Pascal Delannoy. Aux commandes de la « webradio présidentielle » de Radio France, il a conçu
cette dernière comme un « temps d’arrêt pour entrer dans cette actualité » particulière en opposition avec la tentation envahissante du « zapping ». Une
demi-heure suffit pour parcourir (et écouter notamment les reportages de sept minutes consacrés au sujet de la semaine) l’ensemble d’un dossier, sur ce
site très documenté et très complet. France-Inter mise sur la jeunesse de ses intervieweurs politiques : Nicolas Demorand, 34 ans, aux commandes de la
matinale, et Hélène Jouan, 38 ans, chef du service politique.
 
"Une stratégie d'explication"
« Ce n’est pas un hasard si les deux piliers de notre service politique sont trentenaires. C’est une vraie volonté de la maison de placer à la barre des
jeunes, dans une période cruciale. Nous comptons sur eux pour donner un traitement rafraîchissant de l’information », vante Patrice Bertin. Mode de traitement
qu’a également choisi France-Info, en distillant « du mouvement et du collectif » dans sa grille habituelle.
 
RTL choisit, pour sa part, « une stratégie d’explications données par la “dream team” (équipe de rêve) des éditorialistes politiques », selon Jacques Esnous
(Alain Duhamel, Serge July, Franz-Olivier Giesbert, voir Repères). Face à ces antennes bien rodées, Europe 2 a cherché une garantie de sérieux, et noué
un partenariat avec Le Journal du dimanche. « La démarche a surpris en interne aussi », concède Marc Dedonder, directeur de la rédaction de cette radio
musicale.
 
« Nous allons traiter la campagne à notre niveau, avec nos moyens, mais je crois que nous avons une expertise certaine sur les 18-35 ans (notre public).
D’autre part, la jeunesse a des choses à dire, et devient excédée (crise des banlieues, manifestations contre le CPE) si on ne lui propose pas de tribune.
Il est donc de notre rôle de média de prendre place dans ce débat », se justifie-t-il.
 
Autant d’initiatives bienvenues au seuil de deux années de forte actualité politique : élections présidentielle, puis législatives et municipales.
 
Sophie CONRARD
 
(1) Le blog est un site Web personnel tenu par un ou plusieurs « blogueurs » qui s’expriment, sous la forme d’énoncés datés, comme dans un journal de bord.
Chaque nouveau billet ou nouvelle note est enrichi par des éléments multimédias et les commentaires que peuvent laisser les lecteurs.

17 novembre 2006

Echos de campagne:UMP, sur un ère de division

Hier, l'UMP a présenté officiellement son programme législatif
ultr libéral, suppression des droits de succession, hyper pénalisation de  la jeunesse, dérégulation  du marché du travail, un contrat unique de travail...
 
MAM, consciente peut être du décalage et des risques mortifères pour al France et la république de cette orientation mécianique, a tenté de faire entendre une autre voix, mal lui en a pris, puisqu'elle a été huée, sifflée
Sarko en revanche fut avantageusement applaudi en reprenant sa lithanie sur la discrimination positive. On peut vraiment se demander ce que ce  monsieur faisait au RPR, tant il est décalé par rapprot aux Gaullistes
 
l'UMP  en a profité également pour rpésenter sa liste de candidats aux elections legislatives
Il ne sera pas possible de dépasser les 30% de candidates femmes, car tous les sortants hommes sont reconduits, à part peut eter Christian Philippe, à qui il est demandé de céder sa palce à perben, qui souhaite conquérir lyon.
Alors le Ministre des transports, ex Garde des Seaux gardin de la Justice lui a proposé la Présidence de RFF, Réseaux Férrés de France, il n'ets même plus la peine de commenter qudn l'Etat est utilisé à ce point pour ses intérets propres env iolation de tous principes éthiques élémentaires. Il est  heureux de voir que Ce Député a refusé, l'intimidation pour le moment et a dénoncé publiquement ces intimidations
pour en revenir à la parité à l'UMP. valérie pécres nous a fait croire que prés de 100 femmes pourraient être élues en 2007, alors même que tous les sortants sont reconduits,. ou alors c'ets vraiment que l'UMP pense gagner toutes les circonscriptions de France, ou alors qu'elle nous prend pour ces crétins.
Et puis comme il faut faire "in", il y a aussi les minorités visibles, l'UMP leur a laissé quelques circonscriptions dont celle de  Daniel Vaillant dans le 18ème arrondissement de Paris, Maire de l'arrondissement, qui c'ets certain est trés prenable...
Effectivement peut être nous prend ton pour des crétins!

Des chardons plein les poches:A quand l'exclusion

Le Maire de Montpellier a une nouvelle fois dérapé. Tout comme Le pen qui commmentait en 98 aprés la victoire des bleux , le fait qu'il y avait trop de joueurs qui n'étaient pas français d'origine au sens du Front National, le Président de languedoc-toussillon trouve que "9 blacks sur 11 joueurs c'ets trop, il devrait y en avoir 3 ou 4, cela prouve que les blancs sont nuls".
Il ne faut plus être dans l'incantation et le rappelle à la décence, la dignité humaine, il faut maintenant trancher. Ce baron a t'il encore sa place au sein du pS? Sa présidence de régions est elle une  immunité pour tous ses dérapages qui font la honte du PS?
Les exclusions rappellent il est vrai d'autre stemps, d'autre pratiques  peu compatibles avce nos règles démocratiques, la liberté d'opinions et d'expression, mais  pour autant peut on laisser tout dire, même le plus choquant.
Alors que le PS s'honore en tranchant dans le vif, cela permettra de rappeler à tout le monde que tout ne peut pas se dire, même si l'on est un élu.

Echos de campagne:Royal, Souveraine!

Vendredi 17 novembre 2006
 
Ségolène Royal est arrivée en tête, jusque là peu de surprises. Il était acquis qu'elle gagnerait, il était peu probable qu'elle ne l'emporte pas. la querstion était de savoir si elle serait élue au premier ou au second tour. 
Elle a remporté son pari d'être élue au premier tour
Hier soir aprés 22h30, une fois que les premiers  dépouillements furent annoncés, la question était de savoir si elle ferait plus ou moins 60%.
 
Devant un tel score, on ne peut que s'incliner
Reconnaître sa victoire, c'ets la moindre des choses et se mettre en ordre de bataille pour mener la camapgne du PS et de la gauche
Roe, a cja,hé ^pir me ùpùe,t; et saif à ce  qu'elle infléchisse radicalement certaines de ses propositions, il est  peu probable qu'ele me devienne sympathique et que j'adhère au discours et à la personne. Contrairement à beaucoup elle ne me parait enrien sympathique. Mais finalement totu cela n'a que peu d'importantces, ce que l'on attend d'elle est de mener la gauche et la France à al victoire, et de réformer profondémment la France, de la rendre plus juste, 
    Alors rassembler, il faudra rassembler, tous les socialistes, et toute la gauche si nous voulons que ce 16 novembre ne soit pas une occasion ratée.
 
60,62%, cela engage
et comme l'a dit Ségo, elle doit s'imposer de "ne pas décevoir".

16 novembre 2006

Des chardons plein les poches:

Au delà de la désignation du candidat, la bataille qui a cours actuellement au sein du pS, est une jeu à quinze bandes. le controle de l'appareil a un interet pour la suite, pour lesdéisgnations aux différentes échéances électorale,s les Municipales, les cantonnales et sénatoriales se profilent. A la suite de cette élection, que le PS l'emporte ou non,il y  aura un congrés, et l'élection d'un nouveau Premier Secrétaire,cela induit des ambitions forcémment nourries.
 
 
L'article du Nouvel Observateur
nous ouvreutilement les yeux
Il faut donc aussi tenri compte de cela pour se décider dans l'election qui se joue, pour savoir à qui on laisse les clés du PS!
 
 
 Décryptage
PS : la bataille d'après
Les socialistes n'ont pas fini de faire parler la poudre. La bataille pour l'investiture s'achève à peine que déjà une autre se profile : celle pour le
contrôle d'un parti profondément modifié par les primaires et l'arrivée de 75 000 nouveaux adhérents. Officiellement, bien sûr, unité et rassemblement
contre la droite seront de mise jusqu'au mois de mai. Mais en coulisse les écuries préparent dès aujourd'hui le prochain congrès prévu pour l'automne...
2007 !
Pourquoi s'y prendre aussi tôt ? D'abord parce que le jeu est ouvert : François Hollande, qui règne en alchimiste sur le PS depuis une décennie, a annoncé
il y a un an qu'il ne rempilerait pas. Ensuite parce que la donne a changé : les équilibres internes n'ont plus grand-chose avec voir avec la synthèse
obtenue en novembre 2005 à l'issue du congrès du Mans. Enfin parce que les cartes seront nécessairement rebattues en fonction du résultat de l'élection
présidentielle.
Après les primaires, Ségolène Royal et DSK, tous deux signataires de la motion majoritaire au Mans, connaissent désormais leurs poids respectifs dans l'appareil.
Strauss-Kahn a profité de la campagne interne pour structurer ses partisans, à l
 
cadre sans nom 1
fin du cadre sans nom 1
'image de ce que fait Fabius depuis vingt-cinq ans. De leur côté, plusieurs poids lourds du parti, comme Pierre Mauroy ou Daniel Percheron, espèrent encore
que François Hollande reviendra sur sa décision, en particulier si la gauche perd. Le premier secrétaire lui-même a décidé de prendre ses précautions en
demandant à plusieurs de ses proches - une première ! - qu'ils s'organisent en courant. Enfin, le prochain congrès devrait voir renaître un courant jospiniste.
En embuscade, les soutiens de l'ex-Premier ministre, qui se sont gardés de prendre collectivement parti pendant les primaires, espèrent bien prendre leur
revanche sur l'appareil. Le retour des éléphants ?
 
Matthieu Croissandeau
Le Nouvel Observateur

Revue de presse:la méthode socialiste au banc d'essai

La croix nous montre au travers d'un article critique que le débat socialiste, même si il épuise Mme Royal est plutôt apprécié par les adhérents du PS, et par les partenaires de la du pS. C'ets exercice démocratique est interressant en soi, même si il aurait pu êtremener plus largement
 
 
La méthode socialiste au banc d'essai
 
Adversaires et alliés du PS tirent un bilan assez positif de la manière dont les socialistes ont organisé le choix de leur candidat. Les militants votent
jeudi 16 novembre au soir
 
Les trois candidats à l'investiture socialiste, Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius et Ségolène Royal, à Labège, près de Toulouse, le 9 novembre 2006
(Photo Bonaventure/AFP).
 
L’exercice était inédit. Pendant près de six semaines, les candidats à la candidature socialiste pour 2007 se sont affrontés en direct sous les yeux des
Français. Au final, ce sont un peu plus de 200 000 militants qui les départageront aujourd’hui dans les urnes.
 
Mais pas un échange, pas un argument, pas même un coup bas ou un propos acide qui n’ait échappé au public. « Un bel exercice de démocratie », avaient entonné
en chœur les commentateurs à l’issue du premier débat télévisé.
 
À la veille du scrutin, et quelques vidéos volées plus tard, les certitudes semblaient basculer dans le camp socialiste. Réservé dès le départ sur le principe
du débat interne, Henri Emmanuelli s’est dit « soulagé de la fin du barnum ».
 
Même le premier secrétaire, François Hollande, arbitre des débats, affichait ouvertement ses doutes en début de semaine, jugeant la campagne un peu «longue»
et suggérant d’autres solutions pour l’avenir.
 
Les primaires, une "avancée démocratique" pour les responsables
Le bilan des primaires socialistes serait-il donc si « mauvais », comme le constatait en début de semaine l’une des porte-parole de l’UMP, Valérie Pécresse
? Ce n’est pas le sentiment de nombreux responsables politiques, unanimes à juger que ce débat a constitué une « avancée » démocratique. Pour la première
fois, le processus concernait une élection et une formation majeure et a fait l’objet de débats télévisés.
 
Certes, dans la forme, ces derniers ont été jugés un peu raides, un peu contraints et manquant parfois de profondeur. Peu familiers de ce genre d’exercice,
les candidats ont dû apprivoiser ce mode d’expression avec parfois quelques «ratés».
 
« Cela sentait un peu la récitation de fiches apprises à l’avance », regrette ainsi Hervé Morin, président du groupe UDF à l’Assemblée nationale. De même,
le dispositif « à l’américaine », qui exclut toute confrontation directe entre les candidats, a été jugé frustrant. « C’est dans la confrontation qu’on
exprime réellement ses convictions », est convaincue l’éphémère candidate des radicaux de gauche, Christiane Taubira.
 
« Il y aura un avant et un après-débat PS »
À ces quelques réserves près, le débat devrait, selon eux, faire date dans l’histoire de la communication politique. « Il y aura un avant et un après-débat
PS », affirme Yves Cochet, pour qui « c’était mieux que n’importe quelle émission politique traditionnelle où on est interrompu sans arrêt. Pour exprimer
une pensée politique, il faut quelques minutes, pas trente secondes. »
 
Un enthousiasme partagé par Michel Barnier, conseiller politique de l’UMP. «L’idée de primaires portée encore plus loin par Romano Prodi en Italie est une
idée moderne et neuve. À l’UMP nous y sommes tout à fait prêts.»
 
Cette forme de débat public présente à leurs yeux plusieurs avantages. D’abord, et à la surprise générale, il a intéressé les Français. Ce qui n’était pas
évident au départ. Ensuite, il a permis d’instaurer un lien direct entre les postulants et l’opinion.
 
« Incontestablement, le PS s’est placé au centre de l’intérêt médiatique », observe Patrick Braouezec, député-maire PCF de Saint-Denis et partisan d’un
rassemblement de la gauche antilibérale. Nicolas Sarkozy l’a d’ailleurs bien compris, qui a tenté d’allumer des contre-feux en calant son propre calendrier
d’adoption du programme de l’UMP sur celui du vote socialiste.
 
"Un choc des ego"
Résultat : le candidat du PS aurait ainsi pris une longueur d’avance dans la course présidentielle et devrait ressortir renforcé de l’exercice. À condition
toutefois que les deux perdants se rallient sans réserves à celui qui aura été désigné. « Si le soutien est prononcé du bout des lèvres, cela peut avoir
des effets ravageurs car les militants savent interpréter les nuances », fait remarquer Christiane Taubira.
 
Seul le Parti communiste semble moins convaincu par le résultat, qui a surtout donné lieu « à un choc des ego », selon un de ses porte-parole, Olivier Dartigolles.
« On a assisté à une star-académisation de la politique. C’était un peu : pour Ségolène Royal, tapez 1, pour Dominique Strauss-Kahn tapez 2, etc. »
 
Au petit jeu du « qui perd gagne », les principales formations politiques se gardent bien de formuler un avis, estimant qu’aucun d’entre eux n’est parvenu
à creuser l’écart. Néanmoins, face à deux concurrents redoutables et expérimentés, certains jugent que la présidente de Poitou- Charentes a été «un ton
en dessous».
 
DSK, "le seul qui a tiré les leçons de l’échec de Lionel Jospin"
Laurent Fabius, lui, est considéré comme un candidat « redoutable » mais qui souffre d’un problème de sincérité. Finalement, c’est Dominique Strauss-Kahn
qui s’en sort le mieux, perçu comme le plus sincère. « Il a joué franc-jeu et ne cherche pas à couvrir un champ politique qui ne lui est pas naturel. C’est
le seul qui a tiré les leçons de l’échec de Lionel Jospin en défendant un projet socialiste destiné à rassembler les socialistes », analyse Patrick Braouezec.
 
Sans surprise, les candidats ont été jugés par leurs adversaires politiques moins convaincants sur leurs orientations. À commencer par leurs alliés naturels
à gauche. Les communistes regrettent un recentrage à droite du discours qui selon eux augure mal d’un rassemblement de la gauche. « Les thématiques étaient
imposées par Ségolène Royal et il a été plus question d’ordre que de justice. La grande absente de ce débat, c’est la dimension populaire », résume Olivier
Dartigolles.
 
Alors s’il juge inévitable de se mobiliser au second tour pour faire battre la droite, « cela ne présage pas d’une participation à un gouvernement ou à
une majorité parlementaire ».
 
Des regrets
Même insatisfaction chez les Verts, où l’on juge que les questions environnementales ont été traitées « légèrement ». « On sent bien chez les socialistes
que l’écologie doit être traitée au mieux à la marge. Au pire, ils laissent ça aux Verts », regrette Yann Wehrling qui estime n’avoir eu aucune réponse
sur les questions essentielles à ses yeux de l’énergie ou du climat.
 
« Ils restent ancrés sur de vieux schémas selon lesquels c’est l’économie qui détermine le reste », renchérit Yves Cochet. Il n’y aurait donc pas selon
lui de candidat plus « écolo-compatible » que les autres. De son côté, Christiane Taubira a jugé « faibles » les débats. « Aucun n’a développé une vision
moderniste des grands enjeux de la société française et de la construction européenne », explique-t-elle.
 
C’est également le reproche adressé aux candidats socialistes, à droite et au centre de l’échiquier politique. « Le projet du PS est consternant, assène
Hervé Morin pour l’UDF. Renationalisation d’EDF, abrogation de la réforme des retraites : honnêtement, si on est réellement social-démocrate, on se retrouve
davantage dans le discours de François Bayrou. »
 
Très attaché à la construction européenne qui est « menacée et fragile », Michel Barnier regrette pour sa part que les socialistes n’aient pas réaffirmé
clairement leur engagement dans ce sens. « On a assisté à un débat de personnes plus que d’idées, conclut l’ancien ministre des affaires étrangères. Or,
le peuple est intelligent, il a été déçu par beaucoup de promesses. Il demande qu’on le respecte. »
 
Céline ROUDEN
La Croix:14 novembre 2006

Echos de campagne:Angoisse!

Jeudi 16 novembre 2006
 
deux raisons d'être angoissé aujourd'hui
le Beaujolais nouveau est sorti,
je ne l'ai aps gouté, et j'ai peur qu'il soit dur à avaler
 
Ce soir nous aurons les résultats de la désignation du PS,
j'ai peur que le résultat soit dur à avaler,
alors il faut aller voter, DSK, bien sur!

Echos de campagne:le coup de force

Mercredi 15 novembre 2006
 
dernier jour de campagne avant le vote demain, pour a désignation du candidat socialiste pour la Présidenteille 2007. Tous les coups sont bons pour tenter de faire bouger les lignes, de ramerner à soi les indécis.  bon nombre d'adhérents socialistes ne savent pas encore ce qu'ils feront ce jeudi 16 novembre. Car ils hésitent entre une analyse de fonds sur ce que devrait porter et incarner le PS, pour la gauche, pour la France, et leur impérieuse nécessité de ne pas revivre 2002, il ssouhaitent gagner en 2007.
De ce fait la dictature des sondages prend tout son sens, toute sa force. Bien que ces sondages n'aient aucun sens, puisqu'ils donnent des indications de vote sur un échantillon qui n'a rien à voir avce  ceux qui votent. C'ets un peu comme si pour faire voter les Français on faisait un sondage au niveau de l'Union Européen. Pression pour infléchir la position de ceux qui voteront, jeudi. est ce cela la démocratie?
 
Alors les trois candidats tentent de convaincre une dernière fois,  pour faire valoir leurs arguments et appellent au vote, leurs aprtisans car chaque voix comptera
Strauss Kahn peut encore gagner si il va jusqu'au second tour, alors il est nécessaire qu'il fasse le meilleurs score au premier tour, pour sortir en seconde position, voir pourquoi pas en première, même si compte tenu du battage médiatique, c'ets peu probable. Alors, si on veut fair eun pied de nez à la politique spectacle et porter une ambition de gauche réaliste, sincère et crédible, il faut voter pour lui. Sinon, ce sera Royal, avec tout ce qu'elle peut incarner d'artificiel compte tenu des motivations de cuex qui se sotn ralliés à sa candidature. N'oublion spas que ce qui a fait que Jospin n'ets pas allé au second tour en 2002, c'ets une camapagne catastrophique menée apr le candidat, mais aussi l'incapacité à rassembler une partie de la gauche dès le premier tour. Comment Royal rassembelra au premier tour compte tenu de ses prises de positions en matière notamment sociétale.
Alors ne cédons pas à son appel, par mails  où elle appelle les électeurs à l'élire dès le premier tour, pour éviter un second tour en face à face, où elle sait pertinemment qu'il sera plus difficile de faire illusion, surotut si c'est face à DSK.
 Alors elle essaie comme Sarkosy pour la candidature de Balladur en 95 de faire croire à la possibilité d'une élection dès le premier tour.
 On se souvient de la suite...
Alors si vous ètes adhérents du parti socialiste, n'oubliez pas d'aller voter,
n'ayez pas peur de voter pour le candidat  qui porte vos aspirations, et ne choisissez pas le candidat à l'élection présidenteille commme on choisit le slogant pour une camapgne marketing, les Français ne sont pas idiots et ils nous le feront payer.
2007 doit être une vraie alternative, on doit proposer aux Français un vrai choix de société, si on veut qu'ils votent et surtout qu'ils votent pour nous, et pas seulement contre Sarkosy, c'ets le meilleurs moyen de ne pas perdre.

15 novembre 2006

Réflexions:Santé de la Prison de la Santé

Mardi 14 novembre 2006
 
Il était une fois une médecin, Mme Le Dr Véronique Vasseur, qui a écrit un livre sur l'état de santé de la Prison de la Santé. C'était le dernier jour du siècle dernier. Autant dire autre fois. depuis 1999, une commission d'enquête parlementaire s'ets réunie, a fait un rapport sur l'incarcération, le sens social de la peine... Ce rapport sur le Bureau de Mme Lebranchu, Garde des seaux de l'époque finit dans un tiroire, parce que élection présidenteille arrivan,t le Sieur Lionel Jospin préféra ne prendre aucun risques. bien lui en a pris, on a vu la suite.
 
En 2006, la patrie des droits de l'homme, la majuscule serait superflux, où en est on de l'état des prisons et plus particulièrement de celle de la Santé dont tout le monde avait dit que l'on ne saurait voir traiter un être humain même détenu de cette manière
et bien il n'y a toujorus pas l'eau chaude dans les douches, toujorus des condtions d'hygiène, et de promiscuité insupportable et indigne, un mélange des pyschiatriqes et délinquants, plus ou moins graves. La prison reste par essence criminogène, compte tenu de son mode d'organisation
 
un plan est enfin pret pour équiper les prisons d'unvité de visite familiale, mais combien de temps pour les mettre en oeuvre
des cellules aux normes d'hygiène sont testées, mais il faudrait des dizaines d'années pour les déployer.
 pourtant chaque jour dans nos prisons en é006 des gens tentent de se suicider, et chaque année des dizaines y parviennent.
que devons nous faire en tant que ciotyen, en tant qu'être humain?
nous révolter et  interpeller les hommes et femmes politiques
badinter le fait dans LMibération.
 
Le plsu stupide est qu'actuellement il faut que ce soit les syndicats de politiciers qui demandent que l'on mette les pouces dans la surenchère répressive. C'ets un comble. Alors même qu'ils sont en élections professionnelles et où on pourrait penser que la démagogie anti juges  serait reprise, les politicers se rebellent contre leur Ministre "va t'en guerr".Ils demandent une réunion avce les juges, les éducateurs, les enseignants pour construire des solutions, conscients que la politique actuelle ne peut conduire qu'à l'échec, la stigmatisation, l'impasse
Pendant ce temps les parlementaires uMP, s'itnerrogent de savoir si ils doivent suivre l'avis du Premier Minsitre et du Garde des seaux, ou si ils doivent soutenir leur champion dans ses surenchères législatives. Sarkosy, pourne pas être en reste de Ségolène propose en effet des peines plancher pour les récidives. oubliant que le gouvernemetn actuel a fait adopter en 2005, une loi aggravant les règles de la récidive et odnt on ne peut pas encore mesurer l'efficacité. De plus, une lois avec des peines automatiques sans individualisation de la peine est contraire aux principes généraux du droit français, et au droit européen, pour uen fois que le droit communautaire nous sauve.
Donc ils risquent si ils adoptent cette position ultra répressive pour des raisons electorales de mettre le feu aux poudres, de voir un texte inapplicable, d'être sanctionnés par le Conseil Constitutionnel, et surout de mettre encore un peu plus le système acarcérale en difficulté, puisqu'il n'y aura plus de système de gestion de l'application des peines. donc les détenus récidivistes n'ayront plus rien à perdre, le climat dans les priosns sera encore un peu plus déllitté.
A nous de voir quelle société nous voulons
 
Nous aovns abattu la Bastille, peut être serait il temps de nous en souvenir

13 novembre 2006

Des chardons plein les poches: des BBB au BBR

Lundi 13 novembre 2006
 
Dieudonné, ex humoriste, défraye une nouvelle fois la chronique. Aprés avoir incarné le combat communautariste des noirs de France contre les autres communautés, et particulièrement la communauté juive, notamme aux cotés de la "tribu K". Il a assumé dérapages aprés dérapages, une forme d'antisémitisme  nauséeux, puisque trés hypocritement masqué derrière uen critique de la politique d'ISrael. Celle-ci est éminémment criticable,on voit l'imapsse dans laquelle ce pays est acculé vis à vis du Liban et de la Palestine, mais aucun e faiblesse n'est acceptable sur la question de l'antisémistisme.
Nous pensiosn depuis quelques mois que Dieudonné s'était remis à faire l'humoriste, compte tenu du succés obtenu avec le "Divorce de Patrick". Et puis ce weeke dn, on le retrovue à un endroit étonnant.
On aurait pu l'attendre aux Blacks Blancs beurs,  pour promouvoir le vivre ensemble, la lutte contre le racisme sous toutes ces formes, et bei  non on le retrouve à une autre fête celle des Bleu blanc rouge. La fête du FN, lançant la campagne Présidenteille de Jean-Marie Le Pen.
st ce si étonnant?
Communautariste, provocateur, Dieudonné peut il partager un suel combat de Le Pen et ses troupes? Il semble que non, et pourtant, pour fair eparler de lui, ce" qui est réussi, et pour troubler les loignes, imposer le débat, son débat,son combat, il semble qu'il soit prét à tout. Il ne se rend plus compte, qu'en allant là bas, et en discutant avec Le Pen, devant les caméras il lui apporte un soutien, même à l'insu de son plein gré. Je n'ose penser qu'il l'ait fait sciemment, alros je concluerai que ce garçon est simplement incoséquent, et un peu stupide, c'ets la seule excuse que je puiss elui trouver. On ne joue pas à l'apprenti sorcier quand le 21 avril a existé, quand on aspire soi-même à faire de la politique.
l'exposition médiatique et la confusion du discours n'excuse rien,
Dieudonné est soit con, soit un sacré salopard.

Echos de campagne:l'honneur et l'honneteté

Dimanche 12 novembre 2006
 
 
Ségolène se plaint du manque d'honneur et d'honneteté de celui qui a mis en ligne la vidéo de janvier où elle paralit des profs. Mais même si ilne faut êter dupe de rien, qu'est ce qui est le plus malhonnète?
que Jules Ferry de manière non assumé sorte cette vidéo pirate?
ou d'avancer masquée, sans assumer ses convictions, alors même que l'on fait campagne sur le respect de la volotné populaire, de la démocratei participative?
Nous n'avons peut ête pas la même définition de l'honneur, et de l'honneteté.

12 novembre 2006

Des chardonc plein les poches:Elle s'en prend même aux enseignants...

Samedi 11 novembre 2006
 
Depuis hier circule sur le net une vidéo de Ségolène qui date de janvier dans laquelle llle précise ses positions vis à vis des enseignants. Le propos est clair, les enseignants ne travaillent pas assez, ils doivent faire leurs 35h au sein de l'établissemetn szcolaire et pendant ces heures pouvoir être à la disposition des élèves pour y faire du soutien scoalire, de l'appuis pédagogique.
Elle reproche en substance aux enseigantns d'une part de ne pas travailler assez,
et d'autre art de ne pas trouver le temps nécessaire pour suffisamment aider leurs élèves, dans le cadre de la sphère publique, et gratuite et de le trouver pour aller donner des cours à Académia ou Domicourt, les enseignes d'enseignements à domicile ou à distance.
de là à rapprocher aux enseignants de mal faire leur travail pour s'assurer une clientèle dans ces enseignes il nn'y a qu'un pas. Certes elle ne l'a pas franchi, mais la suspiscion est jetée. C'est inacceptable.
Ce qui est encore plus inacceptable une fois de plus c'ets le fait de lancer des formules à l'emporte pièce, sans réflexion de fonds,, des conséquences. Certes il y a un souci pour les plus modestes, de povuoir rétablir l'égalité des chances en leur assurant les mêmes conditiosn d'études que pour ceux qui sont les plus avantagés, mais on n'y arrivera pas en jetant la susupiscion contre les enseignants. C'ets ridicule et contre productif.
Ce qui est encore plus scandaleux, c'est sa conclusion. Cette idée qui semble être uen conviction, pour une fois qu'elle en a une, mais elle doit la taire car les syndicats y seront opposés. Belle idée du respect de la démocratie pour quelqu'un qui défe"nd pourtant la démocratei participative. Elle ne se sent pas, si elle croit rééllement à cette idée de la défendre aurpés des enseignants ou de leurs syndicats. Cela endit long sur sa manière de faire de la politique.  Belle idée conservatrice où l'on ne fera que ce que la majorité voudra. C'ets la démocratie réduite à sa plus simple expression carricaturale, la dictature de la majorité. On ne défend plus une ligne politique cohérente, équilibrée, mais le fait majoritaire, la république sondagière. C'ets bien loin de ce que souhaite la gauche et le PS.
 
Cette idée, si on s-y attarde un peu mérite que l'on s'y arréte tout de même un peu. Un enseignants de collège et Lycée fait 18h devant élève, un professeur des écoles 26h devant élèves. donc pour l'un il lui reste 17h pour préparer ses cours, corriger ses copies, se maitnenir à niveau, se former... on peut considérer qu'il peut quelques heures par semaine être à la disposition des élèves; Mais elle oublie que beaucoup le font déjà ensortie de cours, parce qu'ils souhaitent que leurs élèves réussissent. Mais au delà de cette proposition si on demande aux enseignants d'être présents dans l'établissement  au delà de leurs heures de cours,c ela suppose de leur donner des conditions de travaiul acceptable. C'ets à dire autre chose qu'un coin de table en salle des profs. Cela suppose, bureaux, oridnateurs, connection internet, une base documentaire... Car actuellement, si les enseignants ne restent pas dasn l'établissement scoalire c'ets parce qu'ils ne peuvent pas y rester, ces conditions n'existent pas. actuellementil faut que chez eux ils se crééent ces conditions là, à leurs frais.
pour les enseignants de primaire on voit beinq ue compte tenu deleur grand nombre d'heures déjà effectués, si on veut qu'ils puissent préparer leurs séquecnes pédagogiques, faire les corrections, pouvoir se renovueler pour interresser les enfants, les stimuler au mieux  les quelques heures qui restent ne sont pas de trop, surtout qu'ils doivent au moins uen heure par semaine se coordonner avce le reste des enseignants de l'équipe pédagogique.
 
Alors cette idée peut être entendue, mais elle a un cout, qu'actuelleemnt il est peu probable que le budget de l'Etat serait prét à prendr een charge. Donc par cette vision d'une France contre l'autre sur laquelle Mme Royal comme Sarkosy construit sa popularité on ne peut être qu'opposé par principe, car ce n'ets aps ainsi que l'on redonnera confiance au pays,, d'autant plus que cette proposition a un cout inassimilable et que d'autres priorités existent.
Avant de faire cela proposons plutôt des études surveilées, accomapgnées tous les soirs aux élèves quileur permettra de faire leurs devoirs, dans de bonnes conditions, et de povoir êter aidés le cas échéant. Là, c'ets concret, gérableet on rétablit l'égalité des chances.