03 avril 2007

Sarko? STOP§! parce que 5 ans de droite libérale c'ets bien assez!

Vendredi 30 mars 2007
 
On peut voter Sarkozy, si on est satisfait de la politique menée depuis 5 ans en matière économique et sociale
Mais sur ce point les socialiste et la gauche plurielle firent mieux , la réduction du choamge fut plus massive, les comptes publiquec étaient en meilleurs état, et la balance du commerce extérieure était excédentaire ce qui n'ets plus le cas
 
 
On se doit de voter Sarkozy
si on est satisfait par le bilan en matière d'insécuritéMais là, sauf à vivre dans le monde merveilleux de Oui Oui, je ne vois pas comment on peut être satisfait d'une mopntée des violences faites aux perosnnes, des destrcutions de biens...
Comment accepter les controles au faciès tels qu'ils sont opérés?
comment accepter que la police soit crainte par la population?
Si à toutes ces questions, vous répondez que cela n'a que peu d'importances alors, il ne faut pas hésiter et votrer Sarkozy
Mais sur ce point encore bien que les médias soient amnésiques le bilna de la gauche était meilleurs, sauf sur un point, il faut le reconnaitre c'ets le trés bon bilan des gouvernements de droite en matière de prévention routière
 
alors  à vous de voir si vous devez voter Sarkozy

01 avril 2007

Revue de presse:le mirage centriste

Vendredi 30 mars 2007
 
La chronique de Jacques Julliard
Le mirage centriste
#reaction
Le centre comme appoint d'une majorité de gauche, pourquoi pas ? Mais l'inverse est impensable
 
Tous ceux qui ont gardé quelque souvenir de l'histoire de France depuis la Libération sont littéralement tombés de leur chaise en entendant François Bayrou
se réclamer de Pierre Mendès France (par exemple à Evreux le 12 mars). Car enfin, s'il est une famille politique qui a toujours poursuivi PMF d'une haine
farouche, à la limite du rationnel, c'est bien celle à laquelle appartient François Bayrou, qui s'est appelée MRP (Mouvement républicain populaire) sous
la IVe République, Centre démocrate à partir de 1966 et aujourd'hui UDF.
C'est le 4 février 1955 qu'eut lieu ce que les historiens, tels Jean Lacouture et Eric Roussel, ont appelé la « mise à mort » du président du Conseil, qui
incarnait alors l'espoir d'une rénovation de l'esprit et des moeurs de la République, avec un président du groupe MRP, Pierre-Henri Teitgen, qui aurait
déclaré, comme dans les romans d'Eugène Sue ou de Ponson du Terrail : «C'est ce soir ou jamais!» Entre Mendès et le MRP, deux cadavres en effet : la guerre
d'Indochine et la Communauté européenne de Défense (CED) ; et une menace : le projet prêté au premier de rétablir le mode de scrutin majoritaire, qui signifie
presque toujours la mort des partis centristes.
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On impute généralement au sectarisme socialiste le refus de collaborer avec le centre, qui, lui, ne demanderait pas mieux. La vérité est beaucoup plus complexe.
Déjà une première fois, la tentative de gouvernement de « troisième force » (1947-1951) vola en éclats quand le MRP rejoignit les gaullistes dans leur
projet de subvention aux écoles privées (loi Barangé).
On oublie en outre que l'intention annoncée par François Bayrou de créer un grand parti centriste a connu un premier avatar en 1965. La proposition fut
faite alors par un socialiste, et non des moindres, en l'occurrence Gaston Defferre, candidat à l'élection présidentielle : il s'agissait de créer une
« grande fédération », allant des démocrates-chrétiens du MRP aux sociaux-démocrates du Parti socialiste, en passant par les radicaux et autres centristes.
Or c'est l'opposition conjuguée des chefs MRP et de Guy Mollet qui eut raison de la tentative !
Somme toute, la famille que l'on appelle centriste - en vérité un centre-droit - s'est toujours rêvée plus à gauche qu'elle n'est en réalité, de par la
composition sociologique de son électorat et de par son comportement quand elle exerce le pouvoir. La plupart des élus centristes doivent leur élection
à un désistement de la droite classique. Combinant une sensibilité sociale avancée avec des réflexes politiques conservateurs, le centrisme vit dans un
tiraillement permanent qui faisait dire à Guy Mollet du MRP que c'était «un parti qui ne devrait pas exister» parce qu'il était structurellement incapable
d'aller au bout de ses intentions. Il a toujours été, comme Lâla, la femme idéale de Claudel, «la promesse qui ne peut être tenue».
Tel est le dilemme de François Bayrou, qui est assurément un homme de valeur et de bonne volonté. En attribuant à Pierre Mendès France, homme de gauche
convaincu, une formule d'Edgar Faure, prestidigitateur politique, partisan d'une alliance du centre avec la droite - s'appuyer sur des «majorités d'idées»
-, il a commis un lapsus révélateur. Car avoir des idées en commun ne suffit pas pour gouverner ensemble, en l'absence d'une coalition politique crédible.
Porté par la vague anti-partis, il propose d'en créer un de plus. Hostile à la tyrannie des partis, il veut rétablir la proportionnelle, qui signifie la
subordination totale des élus aux apparatchiks. En annonçant la création d'un grand parti démocrate, il offre aux socialistes le rôle amoindri de force
d'appoint. Lors des négociations inabouties de 1965 dont j'ai parlé plus haut, Jean Lecanuet avait déjà déclaré que les socialistes devaient se contenter
d'«être un apport, non un pivot».
Les « Gracques », ces hauts fonctionnaires de gauche partisans d'une alliance entre Bayrou et Ségolène, commettent la même erreur. L'idée que des centristes
puissent devenir un appoint dans une majorité de gauche ne me choque pas. Mais l'inverse est impensable. De par ses dimensions - entre 6% et 15% du corps
électoral - le centre peut espérer jouer un rôle utile, non un rôle majeur. J'ai rarement vu en tout cas qu'un lieutenant propose à un général de redevenir
colonel et encore moins que celui-ci accepte.
 
Jacques Julliard
Le Nouvel Observateur

Revue de presse:Les Français et le travail!

Vendredi 29
 
Ce que les Français pensent du travail
 
Le travail n'est plus tout dans la vie... C'est en tout cas ce dont témoignent les sept personnes que "La Croix" a interrogées
 
Des ouvriers sur le chantier du viaduc de Millau, le 28 mai 2004 (Photo Cabanis/AFP).
 
Alors que la thématique de la valeur travail s'est imposée dans les discours des présidentiables, fonctionnaire, chômeur, retraité, chef d'entreprise… témoignent
de ce que le travail représente pour eux.
 
« Je ne compte pas mes heures »
 Maryline, 48 ans, inspectrice des impôts, vit en région Centre
 
« Compte tenu du fait que j'ai arrêté de travailler pendant quinze ans, d'abord par choix pour élever mes enfants puis par obligation, le travail, pour
moi, c'est l'outil de l'insertion sociale : sans travail, vous n'êtes rien socialement, vous n'avez pas d'identité. C'est aussi le seul moyen que je connaisse
de subvenir à ses besoins avec en plus la dignité de pouvoir le faire seul. Dans mon cas, la valeur service public, c'est-à-dire le fait de travailler
pour le bien commun (même si les gens que j'inspecte n'ont pas l'impression que je travaille pour eux !) donne un supplément d'intérêt à ce que je fais.
 
De façon générale, je ne pense pas que le travail soit dévalorisé. On n'a pas forcément envie d'y passer tout son temps, on veut aussi du temps pour la
famille et les loisirs mais, dans mon entourage, je vois bien que les gens ont, comme avant, une conscience professionnelle, ils veulent que le travail
soit bien fait et dans les temps. Les 35 heures n'ont pas changé ça. Moi je suis censée travailler 38 h 40 avec 45 jours de RTT et de congés mais, quand
je suis en inspection, je ne compte pas plus mes heures maintenant que lorsque j'étais dans le privé. »
 
« La fierté de gagner sa croûte »
 Pascal, 55 ans, vendeur de journaux, dans un kiosque à Paris
 
« Je crois que toute personne qui a un travail peut se regarder en face, il a un peu d'orgueil dans sa vie. Le travail, c'est la fierté de gagner sa croûte
et de ne rien devoir à personne. En plus, quand on aime ce qu'on fait, on a une identité, on est quelqu'un. Avec les 35 heures, on a vraiment fait une
grosse erreur. On est parti de l'idée qu'on allait partager le travail et, en fin de compte, il n'y a pas eu beaucoup d'emplois partagés. À l'inverse,
on a créé des mentalités de fainéants.
 
Quand je vois des gens qui, dès le lundi, commencent à attendre le week-end, c'est qu'il y a un problème. De façon générale, le travail, l'effort, les compétences
ne sont pas assez récompensés. Moi je voudrais que la dame que je connais et qui se lève tôt tous les matins pour aller faire des ménages ait plus d'argent
en travaillant que si elle décidait de se mettre au chômage. »
 
« Mon entreprise à l'esprit du matin au soir »
 Frédéric, 36 ans, co-président de Webhelp, entreprise qui gère des centres d'appels à Caen, au Maroc et en Roumanie
 
« Pour moi, le travail est quelque chose de naturel. Que ce soit en tant qu'étudiant, puis en tant que salarié et enfin comme patron, j'ai toujours beaucoup
travaillé. Peut-être parce que je suis célibataire sans enfant. Le thème de la durée du travail représente à mes yeux une question de société certes intéressante,
mais sans véritable répercussion dans ma vie personnelle. Hormis le week-end et pendant les périodes de vacances, je garde mon entreprise à l'esprit du
matin jusqu'au soir. Même au moment de me coucher, je pense aux dossiers qui m'attendent le lendemain.
 
Je suis toujours choqué quand j'entends des gens de mon âge compter les heures… Même si je peux comprendre qu'il existe souvent un décalage entre les aspirations
– ou les qualifications – et les tâches que l'on doit effectuer, je crois qu'on a trop tendance à parler du travail en termes de pénibilité, sans mettre
en valeur l'épanouissement et l'ouverture sur le monde qu'il peut procurer. Sans mon boulot, je n'entrerais sans doute pas en relation avec des personnes
d'origines sociales et culturelles aussi variées. »
 
« Le fait d'avoir du temps libre a changé le regard »
 Marie-Sophie, 36 ans, juriste, Paris
 
« Le rapport au travail a changé c'est sûr. L'épisode RTT y a été pour quelque chose. Le fait d'avoir du temps libre dans la semaine a modifié le regard
des gens. Avant, pour être digne et respectable, il fallait avoir un travail salarié qui occupe huit heures par jour. Maintenant, avec la précarité, les
gens se sont rendus compte que le travail peut disparaître et, du coup, ils ne mettent plus tous leurs œufs dans le même panier : ils cherchent à donner
du sens à leur vie autrement.
 
Ce que j'ai remarqué dans mon microcosme, c'est que le travail payé n'est plus la seule chose sur laquelle on concentre ses efforts. Beaucoup de gens font
œuvre d'utilité sociale en écrivant ou en militant pendant leur temps libre. »
 
« Participer à un groupe humain »
 GUY, 68 ans, retraité, Bouches-du-Rhône
 
« Pour moi, le travail, c'est participer avec un groupe humain à une œuvre commune, c'est partager des richesses. Or je constate à regret que l'écart de
la répartition du PIB entre la rémunération du travail et celle du capital s'est accru depuis 1982 au désavantage du premier pour atteindre 12 % du PIB
! Le travail n'est pas une valeur en soi. Il n'a de sens que s'il permet de vivre décemment et surtout de s'épanouir.
 
Travailler plus pour gagner plus, comme le propose Nicolas Sarkozy, est une bêtise phénoménale. Cela flatte l'ego de chacun et encourage l'individualisme.
Certes, travailler plus permettrait peut-être d'obtenir une plus forte croissance, mais encore faut-il se demander quelle croissance on souhaite. Essayons
plutôt de donner un emploi à tout le monde. Et arrêtons de stigmatiser les chômeurs qui soi-disant profitent du système alors que dans bien des cas, ils
sont psychologiquement cassés par l'échec. »
 
« Gagner de l'argent, et le respect qui va avec »
 AMINA, 23 ans, demandeuse d'emploi, Marseille
 
« Travailler plus pour gagner plus, je suis d'accord si ça permet vraiment de gagner plus. Moi, quand j'étais conseillère commerciale, j'ai d'abord travaillé
25, puis 39 heures. Mais les 200 à 300 € que je gagnais en plus, je les perdais dans la baisse de mes allocations logement et l'augmentation des impôts
! Je ne m'en sortais plus. Du coup, j'ai démissionné pour reprendre des études d'infirmière et avoir un vrai métier. Car ce qui valorise le travail, c'est
d'avoir un vrai boulot qu'on aime et qui permette de vivre correctement.
 
Dans ce cas-là, c'est facile d'avoir envie de travailler. C'est gagner de l'argent et le respect qui va avec. Même si le respect, on peut aussi le gagner
en faisant des choses pour les gens, dans des associations par exemple. »
 
« Ça me change les idées, je vois du monde »
 SANDRINE, 34 ans, préparatrice dans la restauration, Alsace
 
« Le travail, c'est d'abord le gagne-pain mais maintenant, de plus en plus, il ne suffit plus et c'est un sacré problème. Dans ces conditions, je n'ai pas
envie de me tuer au travail surtout que quand je rentre à la maison, il y a encore beaucoup à faire.
 
Maintenant, ça ne veut pas dire que je n'aime pas mon travail. J'ai été de nombreuses années à la maison et je finissais par en avoir assez. Depuis huit
ans je retravaille et ça me change les idées, je vois du monde. Il n'y a pas un matin où je n'ai pas envie d'y aller. J'espère que ça sera pareil pour
mes enfants. Parce que j'ai l'impression que les jeunes ont perdu l'idée que le travail est nécessaire pour gagner sa vie. Ils voudraient qu'on leur apporte
tout sur un plateau. »
 
Recueilli par Nathalie BIRCHEM et Denis PEIRON

Sarko? STOP! parce que je refuse l'humiliation et l'intimidation

Jeudi 29 mars 2007        Compte tenu de tout ce qui précède,
compte tenu del'idée que je me fais des Droits de l'Homme tt du Citoyens
Compte tenu de la valeur que je donne à Liberté Egalité Fraternité
 
Jez ne peux qu'être révolté de ce que dit Sarkozy sur l'identité natioanle et de l'immigration
je ne peut êqu'être écoeuré de l'amalgame qui est fait entre imigration clandestine et délinquance
Les approximations les sous entendus son nauséeux et rappellent beaucoup trop Le Pen
Si il peut être  légitime pour la Droite et l'ensemble même de la clase politique de trouver des réponses aux questions que se posent les électeurs du Front National sans tabous
il est en revanche inacceptable d'y apporter les réponses de Le Pen
Sarkozy, acculé, et conscient de la faiblesse de sa politique répressive,
du bialn catastrophique en terme delutte contre les exclusions est dans la surenchère, parce qu'il sait que les électeurs préfèrent l'original à la copie
Il s'ets lui même enfermé dans ce rôle d'intransigeance et d'exclusive
il a oublié l'essentiel ce qui faisait l'ame, les valeurs et l'existence même de la France. Si la manière de faire vivre les Droits de l'Homme et du Citoyens doivent nécessairement évoluer, sauf à être dans la sanctuarisation il est nécessaire de ne jamais rien céder sur les principes
Sarkozy, lui veut nous faire rompre avec ce qui fait notre essence.
 
Parce que Sarkozy n'aspire pas à être le Président de tous les Français, mais à être le leader de son camp, il ne peut être Président de la République
Parce que Sarkozy ne se préoccupe aas de ce qui ne pense pas comme lui, et ne s'envisage que comme chef de clan, il ne peut êrte le Premier des Français
Parce que Sarkozy n'incarne pas les valeurs de la France, et se vit comme le porte parole des itnerets qui le portent au pouvoir, il ne peut briguer décemment la plus haute magistrature
 
Beaucoup de ceux qui le soutiennent le savent, et le craignent
y compris des parlementaires, mais parce que la cinquième République est ainsi faite, surout de puis la navrante aventure du quinquennat, encore une connerie de Jospin, bien aidée de Giscard...
Ils le soutiennent par peur de tout perdre, parce que les sondages le placent en tête, parce qu'il maitrise l'appareil, parce que ce sera plus confortable
 
Alors si vous refuserz la cinquième république dévoyee,
Vous ne pouvez que sanctionner cette dérive de logique de partis
et appeler à faire battre le représentant de l'UMP!