14 avril 2007

Echos de campagne:la faillite des gouvernements de droite depuis 2002!

Dimanche 8 avril 2007
 
La faillite des gouvernements Raffarin-Villepin-Sarkozy sur le front de l'emploi est patente !
 
Martine AUBRY, Secrétaire national du PS à l'emploi et aux affaires sociales et Jean-Marc GERMAIN, délégué national à l'emploi, ont publié le communiqué
suivant le 29 mars 2007.
 
Alors qu'une nouvelle fois, des fuites orchestrées annoncent avant la parution des chiffres officiels une baisse du chômage, le Parti socialiste tient à
dénoncer fermement le décalage croissant entre les chiffres dont se targue le gouvernement et la réalité du chômage.
 
Il rappelle que selon des administrateurs de l'INSEE, le report à l'automne de la publication des vrais chiffres du chômage, tel qu'imposé par le Ministre
de l'économie, n'est destiné qu'à masquer un taux de chômage qui s'élèverait à 9,5 % de la population active, et non 8,4 % comme le prétend maintenant
le gouvernement.
 
Ainsi, même la très sérieuse agence de statistique européenne Eurostat se refuserait dorénavant à utiliser les chiffres du Ministère du travail, leur préférant
ceux de l'INSEE, jugés plus fiables.
 
La baisse du chômage n'est pas avérée durant le quinquennat. Aujourd'hui, les Français(e) paient au prix fort l'incapacité de cette majorité à mener une
politique en faveur de la croissance - avec 2% en 2006, la France est devenue la lanterne rouge de la zone Euro alors qu'il y a cinq ans elle en était
la locomotive - et de l'emploi, seule à même d'engendrer une baisse durable du chômage.
 
La faillite des gouvernements Raffarin-Villepin-Sarkozy sur le front de l'emploi est patente.
 
De telles pratiques, exclusivement destinées à maquiller la réalité, sont incompatibles avec notre conception de l'État républicain et témoignent d'un mépris
des Français qui ont le droit de savoir la vérité. Elles attestent que l'État UMP est aujourd'hui en marche, au service d'intérêts particuliers et de son
candidat.

Sarko?STOP!parce que la France est une et indivisible!

Samedi 7 avril 2007
 
Je ne peux me résoudre à ce que Sarkozy Préside la France
parce que il ne le fera pas pour tous les Français
Il n'envisage le monde que les uns contre les autres
Il a une vision binaire du monde, économique, du monde social
il a une aporche mécianique dela morale
il n'appréhende pas le gris, ni clair ni foncé,c omme le décrivait Goldmann, mais lui voit du noir et du blanc, le bien et le mal
 
Je ne veux pas d'un président qui n'ose pas aller en Banlieue de peur de se faire chahuter
Je ne veut pas d'un Président qui stigmatise une partie de la France que l'on maintient dans des quartiers pourris en les traitant de racaille
tout comme je n'acceptais pas de la part de Chevènement ses dérapages autour des sauvageons, même si le terme étati moins violent
 
Il faut un Président ou en ce qui  me concerne une Présidente , qui incarne la concorde nationale, parvienne à rassembelr le pays pour aller de l'avant ,
pour que la France n'aiut plus peur
Avec Sarkozy on va au contraire rendre la France encore plus frileuse,c ar ce sera le moyen de conserver le pouvoir, et elle se recroque villera encore pus sur elle-même
La Franc edoit entrer décomplexée dns le XXIème siècle, parce qu'elle a des atouts
et c'est en étant plusjuste qu'elle sera plus forte
c'ets pourquoi je voterai dèsle 22 avirl Ségolène Royal, parce que c'ets le meilleurs moyen de faire barrage à Sarkozy
car au delà des stratégie, il est important d'opposer une alternative politique!

Echos de campagne:Sarkozy aux Français de l'éreanger!

Samedi 7 avril 2007
 
Il y a une chose que l'on ne pourra pas reprocher à Sarkozy c'ets son manque de professionalisme,il ne laisse rien au hasard,
il sait mener une campagne n'oublier perosnne, à part peut être...
les Français qui vivent en France, mais pas dans les beaux quartiers...
 
 
Aprés son voyage à Londres
il s'adresse aux Français établis hors de France
C'est Seguin qui s'est occupé d'eux en 2002
 
Objet : Message de Nicolas Sarkozy aux Français de l'Etranger
 
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Chers compatriotes établis hors de France,
 
Si j'ai souhaité m'adresser à vous directement c'est que je sais l'attention que vous portez aux affaires de notre pays comme le montre le nombre sans précédent
des inscriptions sur les listes électorales consulaires. Je mesure aussi combien les nouvelles qui parviennent chaque jour sur la campagne des élections
présidentielles peuvent nourrir des attentes et de la désinformation.
 
J'ai une claire conscience de la dimension planétaire des problèmes qui se posent au monde contemporain et auxquels vous êtes souvent les premiers confrontés.
Vous êtes les sentinelles de notre pays et j'ai toujours pris beaucoup de plaisir et d'intérêt à m'entretenir directement avec vous lors de mes déplacements.
 
J'aimerai vous faire part de l'intérêt que je porte aux Français de l'Etranger. Vous êtes une richesse pour notre Nation comme pour le pays qui vous accueille.
J'ai eu souvent l'occasion de vous rencontrer ces dernières années et je ne vous oublie pas. J'ai écouté vos problèmes et je me suis engagé personnellement
à les résoudre. C'est ainsi fait pour l'allongement des délais de déclaration et de paiement des impôts.
 
Mieux que tout autre, vous savez que la mondialisation des échanges et de l'économie, si elle est maîtrisée et contrôlée, est une chance et un atout. Cette
idée guide ma réflexion dans le domaine de la politique étrangère.
 
A tous ceux qui ont quitté notre pays car ils avaient le sentiment que plus rien ne pouvait se faire, je veux donner l'envie de revenir. L'expatriation
doit être un choix et non la conséquence de lourdeurs, d'archaïsmes, de difficultés structurelles purement françaises. A ceux qui désirent créer, innover,
travailler comme ils le souhaitent et qui ont du s'expatrier pour cela, je dis que tout peut redevenir possible en France.
 
*
 
Vous le savez, je suis candidat à la Présidence de la République. Vous me connaissez. Vous savez que j'aime dire les choses clairement et simplement. Le
programme que je développe pour la France et les Français vous intéresse au premier plan. J'ai eu l'occasion de développer ma vision dimanche 14 janvier
lors de mon élection comme candidat de l'UMP à l'élection présidentielle. Mais à vous qui vivez à l'étranger, permettez-moi de vous exprimer mon engagement
à votre égard.
 
J'affirme, tout d'abord, qu'il n'est pas normal qu'un enfant français soit exclu de notre système d'enseignement soit pour des raisons financières, soit
pour des raisons géographiques. C'est pourquoi je souhaite que dès la rentrée scolaire 2007, le coût des études de vos enfants dans les lycées français
à l'étranger à compter de la classe de 2nde soit intégralement pris en charge par la collectivité nationale. C'est un geste fort que je souhaite que l'on
fasse en votre direction.
 
Je souhaite également que les coûts d'inscription de vos enfants au primaire et au secondaire soient fortement diminués grâce à une augmentation des bourses
: l'Etat doit assumer son rôle et vous permettre d'offrir à vos enfants les meilleures études possibles. De la même manière, dans les prochaines années,
il sera nécessaire d'augmenter l'offre pour présenter une meilleure couverture géographique de notre système d'éducation à l'étranger.
 
Notre solidarité nationale ne peut, en effet, s'arrêter aux frontières géographiques de notre pays. Pour ceux qui vivent dans les régions les moins stables,
je veux dire que je comprends votre crainte pour vos proches et pour vos biens. Ainsi, certains de nos compatriotes ont tout perdu, récemment au Proche-Orient,
en Asie du Sud-Est ou encore en Côte d'Ivoire. C'est pourquoi je souhaite la création d'un fonds « assurance indemnisation des Français spoliés » lors
de conflits survenus dans votre pays d'accueil.
 
D'une manière générale, vous le savez, les questions qui touchent à votre sécurité me préoccupent particulièrement. L'excellence de nos forces armées en
matière de préparation, de vigilance, de réactivité et de projection est reconnue : nos efforts doivent être poursuivis.
 
J'ai une pensée toute particulière pour nos compatriotes récemment assassinés en Arabie Saoudite pour le seul fait qu'ils étaient français. En effet, au-delà
des crises ouvertes comme fut celle du Liban l'année dernière, nous devons vous protéger par une plus grande coopération avec les services de sécurité
et les services judiciaires étrangers. C'est ce qui a justifié mes nombreux déplacements en tant que Ministre de l'Intérieur. La France a d'ailleurs eu
ces dernières années un rôle moteur sur cette question. Cette coopération doit bien évidemment concerner également la protection sanitaire de notre population
expatriée face notamment à de possibles crises sanitaires.
 
Ce renforcement du lien entre la République et nos expatriés doit s'opérer dans tous les domaines de la vie quotidienne : notre réseau doit davantage être
à votre service et vos démarches simplifiées pour que vous puissiez plus aisément faire valoir vos droits. Les consulats doivent véritablement devenir
vos mairies. Dans le cas où vous feriez le choix du retour en France, ceux-ci doivent faciliter votre réinsertion sur le territoire national. Pour une
communication moderne entre l'administration et les citoyens français à l'étranger, l'utilisation d'Internet devra être généralisée. Les consulats doivent
utiliser cette technologie pour informer très régulièrement la communauté de leur ressort.
 
L'audiovisuel et Internet doivent être utilisés beaucoup plus vigoureusement pour diffuser notre culture dans le monde mais également pour répondre à votre
souhait légitime d'une meilleure information.
 
Sur le dossier fiscal fondamental de la résidence unique que certains possèdent en France et qui représente un lien solide avec notre pays, le Groupe de
travail Fiscalité (AFE-Bercy) que j'avais mis en place en novembre 2004 a obtenu l'appellation « Habitation Unique en France ». Elle permet l'exonération
de plus-value lors de sa cession. Par souci d'égalité, nous agirons pour que vous soyez soumis à l'avenir aux mêmes impositions et aux mêmes taxes que
les Français de métropole pour votre habitation en France.
 
Non, je ne partage pas l'idée que nos expatriés sont des privilégiés qu'il faut à tout prix chercher à punir. Au contraire, afin d'aider les plus faibles
de nos compatriotes, je souhaite le maintien de l'aide social à son niveau actuel. Par ailleurs, notre dispositif doit continuer de s'améliorer notamment
en ce qui concerne la rigueur de gestion pour améliorer votre prise en charge quand vous en avez besoin.
 
Enfin, en ce qui concerne votre représentation, elle est déjà assurée au travers des conseillers de l'Assemblée des Français de l'étranger et des sénateurs
des Français établis hors de France dont je salue le travail. Cependant, je souhaite que soit étudiée la possibilité d'instituer également des députés
vous représentant.
 
A ceux qui critiquent tout et proposent n'importe quoi, je rappelle que la France est un des seuls pays à faire une aussi large place à sa communauté expatriée.
Vous avez eu le courage de l'expatriation. Ces initiatives que je vous propose, je les souhaite pour vous aider et vous accompagner.
 
*
 
L'attention particulière que je vous porte, je sais qu'elle est légitime au vu de ce que vous apportez à la France. Les deux millions de Français installés
à l'étranger constituent un indéniable facteur d'échange, un atout dans notre monde de plus en plus interdépendant. Vous participez pleinement à l'influence
et au rayonnement de la France.
 
Face aux images d'une France repliée sur elle-même, d'une France qui doute de ses capacités, vous êtes le visage d'une autre France : d'une France qui ose,
qui s'ouvre et qui innove. Vous êtes le visage d'une France que je veux renforcer.
 
La France pense à vous comme vous pensez à elle. En améliorant votre vie au quotidien, en vous assurant une protection maximale, en garantissant vos droits,
en renforçant les liens avec la République, je veux que soit pleinement reconnu ce que vous apportez à notre Patrie.
 
Je veux être le Président d'une France qui aura compris que la création demain sera dans le mélange, dans l'ouverture, dans la rencontre. Qu'elle sera dans
le croisement des regards, des cultures, des techniques et des savoirs, qu'elle jaillira de la rencontre de toutes les formes de pensée, de travail, d'innovation.
Vous êtes des acteurs de premier plan dans notre adaptation à ce monde. C'est pourquoi j'attends beaucoup de votre implication dans les débats qui animent
aujourd'hui notre pays et de votre participation à la prochaine échéance électorale.
 
Nicolas Sarkozy

Sarko?STOP!parce que pendant cinq ans... on va souffrir

Vendredi 6 avril 2007
 
Si Sarkozy est élu,
Que vont devenir les sans papiers?
que vont devenir les enfants de sans papiers?
que vont devenir les SDF?
que vont devenir les ressortissants de la CMU?
que proposera t'on aux chomeurs?
que deviendront les plus dépendants qui n'auront pas les moyens de payer le cout social exorbitant de leur prise encharge?
que feront les retraités qui n'auront pas travaillé 45 ans, pour avoir une retraite complète?
Que proposera t'on aux enfants de ZEP, dont on aura baisser les moyens d'accompagnement?
Que mettra t'on en place pour accompagner les détenus, et éviter les récidives?
que fera t'on pour tous ceux qui ne gagnent pas 4000 euros nets par mois, qui n'ont pas de PEA, pour assurer leur retraite, ne sont pas propriétaires de leur apprtement, ne vont pas recevoir 300 000 euros de successions de leurs grands parents par avancement d'oirie...
 pour tous ceux qui ne bénéficieront pas directement de la politique de classe de Sarkozy, comment pourront ils jouer un rôle dans la France de demain, qu'il nous propose, et nous promet!

Revue de presse:Bécassine n'ets pas là où l'on croit!

Vendredi 6 avril 2007
 
 La chronique de Claude Weill
Cassez les dogmes !
La « Bécassine » de Laurent Joffrin, ce n'est pas Ségolène, c'est le PS
 
Et si le moment était enfin venu, pour la gauche, de mettre sa pensée en accord avec ses actes ? Si elle se décidait à jeter les oripeaux de l'orthodoxie
pour prendre à bras-le-corps les problèmes de notre temps ? C'est à quoi l'invite Laurent Joffrin, dans un essai alerte et vivifiant, « la Gauche Bécassine
» (1). Dissipons aussitôt le malentendu : la Bécassine dont il s'agit ici, ce n'est pas Ségolène Royal, qui elle-même n'a pas craint, à sa manière, de
donner des coups de pied dans les totems - et jusqu'ici, cela lui a plutôt bien réussi. C'est une gauche en panne de logiciel. Entravée par ses dogmes
(ou le poids des corporatismes), et pour qui la culture de gouvernement reste toujours vaguement suspecte. Une gauche « schizophrénique », « trop à gauche
dans l'opposition et trop à droite au pouvoir ».
Au départ de ce livre, il y a la colère de l'auteur devant la désinvolture avec laquelle fut traité le projet du Parti socialiste, sitôt rédigé sitôt oublié,
négligé par ses auteurs mêmes. Plus qu'un programme pour la France, ce projet était un symptôme : des hésitations stratégiques du PS et de ses divisions.
Un moratoire idéologique. Pour n'avoir pas à choisir entre une doxa dépassée et une social-démocratie décomplexée, les socialistes ont préféré repousser
un aggiornamento qu'ils savaient inéluctable. Et câliner les vaches sacrées. Le directeur de « Libération », lui, veut leur tordre le coup. Parce que les
illusions d'aujourd'hui sont les déconvenues de demain et les défaites d'après-demain.
 
cadre sans nom 1
fin du cadre sans nom 1
Non, l'école ne souffre pas seulement d'un manque de « moyens », comme le chante la ritournelle, mais aussi d'un rendement insuffisant, et les remèdes qui
marchent, qui ont marché ailleurs, se nomment (horreur !) : autonomie, responsabilité, reconnaissance du mérite. Non, le capitalisme (pourvu qu'il soit
contrôlé !) n'est pas l'enfer et il y a des vertus dans la recherche du profit, tant il est vrai que, comme le disait Adam Smith, « j'attends avec plus
de sérénité mon pain de l'égoïsme de mon boulanger que de son altruisme ». Non, ce n'est pas en rigidifiant le marché du travail que l'on crée des emplois,
et s'il suffisait de multiplier les obstacles aux licenciements pour réduire le chômage, il y a beau temps que la France en serait venue à bout. Non, la
réforme de l'Etat n'est pas une invention diabolique des méchants libéraux ; sauf à creuser les déficits, il faudra en passer par là si l'on veut retrouver
des marges d'action, répondre aux nouveaux besoins de la société et rendre au public le service qui lui est dû.
Qui aime bien châtie bien. Joffrin aime beaucoup la gauche... Le diagnostic est sans complaisance. Sera-t-il entendu ? Les circonstances, en tout cas, ont
rarement été si propices. La méfiance à l'égard de la droite et de la gauche « classiques », la percée de Bayrou, le succès du ségolénisme, l'éclatement
du camp antilibéral : tout dans cette campagne démontre - et notre sondage (p. 56)le confirme - que les lignes sont en train de bouger. Les dogmes s'effondrent.
Les vieux clivages craquent. Pour la gauche, qu'elle gagne ou qu'elle perde, c'est l'heure !
 
(1) Robert Laffont.
 
Claude Weill
Le Nouvel Observateur
 
 

Sarko?STOP! parce que je reste de gauche!

Jeudi 5 avril 2007
 
Je ne peux accepter de résoudre à ce que Sarkozy soit Président de la république, car avec lui c"'est l'assurance que ce à quoi je crois, ne puisse en rien progresser pendant cinq ans
je ne peux me résoudre à ne pas totu faire pour faire battre Sarkozy, parce que tout ce que je porte au travers de mes engagements sociaux, syndicaux associatifs et politiques sont en opposition avce ce qu'est et incarne cet homme
Il n'ets pas seulement de droite
Pour cela, on a Bayrou!
J'ai voté une fois pour un homme de droite, que je n'aimais pourtant pas, Chirac en 2002
Mais Sarkozy, il est au delà de cela
Il représente une certaine droite, extrème, revancharde, et qui a por ambition de ne pas perdre le pouvoir une fois qu'elle l'aura gagné
Elle détient déjà les leviers économique,s médiatiques, et financiers
elle entend par lui, qu'elle s"est choisi, parvenir à s'emaprer du pouvoir politique, sous des dehors démocratiques pour mieux imposer sa domination au reste de la société
Cette droite ne veu tplus être freinée, modérée
Il y a eu une pause depuis 45, car il fallait refonder le pays, le reconstruire, aussi il y eut un pacte sociale, dont l'illustration la plus grande est la sécurité sociale pour notre pays
Puis ensuite de par la peur du bloc de l'Est, il y eut un accord objectif pour que la société évolue dans son ensemble, pour éviter que de torp nombreux n'aient la tentation de se tourner vers l'hydre sovétique
Et puis depuis 89, enfin le mur est tombé, le bloc de l'Est s'ets effondré. On ne peut que s'en réjouir, mais en Face l'autre camp, qui attendait tapit dans l'ombre n'avait plus d'adversaire, aussi la Droite libérale, mécianique a pu développer une nouvelles stratégie, un nouvelle donne, pour asseoir sa domination et repndre le pouvoir
En dehors de l'Amérique Latine elle a gagné quasiment partout
 
Si nous voulons comme certians pays européens résiter,
si nous voulons que la France ne soit pas à Contre courant de l'Europe, il faudrait donner un signe et voter à gauche
Car même si Ségolène Royal n'est pas la candidate de coeur de beaucoup, parce qu'elle reste à gauche, elle est préférable à toute aventure Sarkozienne
à prés si certians veulent assumer de choisir une politique de droite avce Bayrou, libre à eux
mais il ne faudr aps ensuite dire que l'on ne savait pas

Societatis:la Droite et la Gauche!

Jeudi 5 avril 2007
 
 Un sondage Sofres-Fondation Jean-Jaurès-« le Nouvel Obs »
Que reste-t-il de la droite et de la gauche ?
#reaction
Alors que les clivages s'estompent, le visage d'une nouvelle France apparaît. Des libéraux autoritaires aux centro-bobos, voici les six familles qui décideront
du résultat du 22 avril
 
Quand Sarkozy part en campagne sous l'invocation de Jaurès et Blum, et que Ségolène Royal invite tous les Français à avoir un drapeau tricolore chez eux,
on sent bien qu'il y a, dans cette campagne, comme un brouillage des valeurs et des repères. Mais ce n'est pas seulement le fait des candidats, de leur
positionnement idéologique ou de leur habileté rhétorique. Cette enquête de la Sofres le démontre : c'est le corps électoral tout entier, ses choix, ses
représentations politiques, qui échappent de plus en plus aux grilles de lecture traditionnelles. Le bon vieil axe gauche-droite n'a pas disparu. Mais
il ne permet plus de rendre compte de la diversité et des évolutions d'une opinion tourneboulée par vingt-cinq ans d'alternances à répétition.
Dès lors que la majorité des citoyens estiment que les notions de gauche et de droite sont dépassées (lire p. 59 l'article de Robert Schneider), il ne suffit
plus de savoir de quel parti ils se sentent proches. Il faut se demander à quoi croient les Français et ce qu'ils veulent. Les réponses à ces deux questions,
mises en scène dans le graphique ci-contre, dessinent un paysage politique insolite, complexe, et singulièrement éclairant sur les forces qui travaillent
la France en ce printemps 2007. Voici le jeu des six familles.
 
cadre sans nom 1
fin du cadre sans nom 1
Les libéraux autoritaires (12% de l'échantillon). Plus âgés que la moyenne, appartenant plutôt aux catégories aisées, ils sont à 59% sympathisants de l'UMP
et ont voté oui au référendum européen. Ils ont deux credo : l'ordre et le libéralisme. Ils croient au mérite, au travail, à la nation, à l'autorité. Ils
approuvent sans complexes les mesures d'inspiration libérale, la remise en question des « avantages acquis » (régimes spéciaux, instauration du service
minimum, etc.) et la mise en place d'un bouclier fiscal. Chez eux, Nicolas Sarkozy est en terrain conquis. 60% des intentions de vote au premier tour !
Le reste se partage entre Bayrou et Le Pen. Gauche, connais pas.
Les étatistes autoritaires (20%). S'ils partagent les valeurs d'ordre - et l'âge - des précédents, ils s'en distinguent socialement : peu diplômés, disposant
de revenus beaucoup plus faibles, ils ont le sentiment d'appartenir à la classe moyenne inférieure. Ils se méfient du libéralisme, sont plus attachés au
service public et au protectionnisme. Ils ont une vision disciplinaire de l'action publique (centres d'éducation renforcée, suppression des allocations
pour les mauvais parents, contre la régularisation des sans-papiers). Ils n'aiment pas le profit, guère le bouclier fiscal, et sont carrément contre la
remise en question du Code du Travail. Ils ont voté non au référendum européen. A la présidentielle, bien que moins à gauche que l'ensemble des Français,
ils sont plus enclins à voter Ségolène. Manifestement son discours sur «l'ordre juste» les touche.
Les centro-bobos (15%). Très libéraux en matière de moeurs, favorables au mariage gay et à l'adoption, ils sont les champions de l'économie sociale de marché
: pour l'entreprise, la concurrence, le mérite, le profit, mais aussi pour la solidarité, la redistribution. Ils croient à la réforme, au progrès, et au
rôle de l'Etat pour humaniser le libéralisme. Plutôt jeunes, diplômés, souvent cadres ou indépendants, assez aisés donc, ils ont voté oui au référendum.
Ils s'intéressent de près à la politique et pensent que les notions de gauche et de droite sont dépassées. Aujourd'hui, bien qu'ils se sentent plus proches
du PS que de l'UDF, ils penchent très fort du côté de Bayrou.
Les distanciés (15%). Proches des précédents sur le plan des valeurs humaines (tolérance, ouverture), ils sont socialement moins favorisés. Très jeunes,
peu diplômés, plutôt salariés du privé, ouvriers ou chômeurs, ils aiment bien l'entreprise, mais aussi le libéralisme, le socialisme, la mondialisation,
le protectionnisme et même la révolution et l'assistanat (ils sont bien les seuls). En fait, ils aiment tout. Ils sont cools. Ils s'intéressent d'ailleurs
peu à la politique et se sont majoritairement abstenus au référendum. Cette fois, ils voteront pour Royal ou Sarkozy, ou peut-être pour Bayrou ou l'extrême-gauche.
S'ils votent...
Les gaucho-bobos (12%). Très politisés, à gauche ou à l'extrême-gauche, ils sont majoritairement diplômés du supérieur, souvent salariés du public. Plutôt
urbains, plus aisés que la moyenne et conscients de l'être, ils ont un fort sentiment de déclassement par rapport à leurs parents et sont très inquiets
pour leurs enfants. Ils ont voté non au référendum. Ils sont comme un seul homme pour le socialisme, la laïcité, la redistribution, le service public.
Majoritairement pour le mariage gay et l'adoption, la dépénalisation du hasch, la généralisation des 35 heures, la renationalisation d'EDF-GDF. La révolution,
pourquoi pas ? Pour eux, les notions de gauche et de droite ne sont pas du tout dépassées ; la moitié s'apprêtent à voter Ségolène, un gros tiers pour
l'extrême-gauche. Sarko ? Plutôt mourir !
Les défiants (25%). C'est le groupe le plus nombreux, et c'est le plus insaisissable. Ils détiennent sans doute la c
 
cadre sans nom 2
fin du cadre sans nom 2
lé de l'élection et, pour l'heure, se répartissent à peu près comme l'ensemble de la population - hormis un fort tropisme villiéro-lepéniste. Peu diplômés,
disposant de revenus plutôt modestes, très critiques à l'égard des élites dirigeantes, ils s'intéressent peu à la politique et se sont majoritairement
abstenus au référendum. Ce qui les caractérise plus que tout ? La méfiance. Un scepticisme universel. Seuls entre tous, ils ont une vision négative du
travail, de la solidarité, de la tolérance, de la redistribution, de la morale même, et aussi de l'autorité, de l'ordre, de l'Etat : comme si tous ces
grands mots n'étaient que foutaise. Ni le socialisme ni le libéralisme ne trouvent grâce à leurs yeux. La révolution pas davantage - les réformes, idem
(moins d'un tiers y croit). Ceux-là ne seront pas faciles à convaincre. Même en chantant « la Marseillaise ». La nation non plus ne les fait pas vibrer...
 
Claude Weill
Le Nouvel Observateur
 
 

Echos de campagne:à moins de vingt jours du premier tour!

Jeuri 5 avril 2007
 
 Décryptage à trois semaines du premier tour
Pourquoi c'est dur et comment elle peut gagner
#reaction
 
Points forts
 
Une personnalité « hors norme »
Qu'elle fascine ou qu'elle consterne, Ségolène Royal s'est construit une image et un lien avec les Français qui laisse rarement une impression mitigée.
Audacieuse, intuitive et déterminée, la candidate socialiste a promis qu'avec elle la politique ne serait plus jamais comme avant. Et pour l'instant elle
tient parole. Quitte à bousculer son parti et son électorat traditionnel. De sa proposition d'encadrement militaire pour les jeunes délinquants il y a
un an à son souhait de voir un drapeau tricolore dans chaque foyer le week-end dernier, elle ne craint pas de lever des tabous, ni de chasser sur les terres
de ses adversaires. Depuis sa désignation, elle a su imposer son calendrier, dérouler sa méthode d'écoute participative, tenir le PS à distance, rappeler
les « éléphants », avant de finir par reprendre sa liberté… Tout n'est pas payant, mais son style lui a permis de se distinguer et d'incarner le renouvellement.
 
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Sa popularité reste forte
Après un an d'omniprésence médiatique, Ségolène Royal continue de faire salle comble et de susciter la curiosité. Dans les meetings, on vient encore pour
voir le phénomène. De Dunkerque à Rennes en passant par Dijon, les organisateurs sont souvent contraints de refuser du monde. Même ses scores « canon »
à la télévision témoignent, sinon d'une adhésion, au moins d'un intérêt. Après avoir dominé les sondages l'année dernière, la candidate socialiste a connu
une sérieuse chute en janvier. Mais elle s'est stabilisée depuis – autour de 25% d'intentions de vote au premier tour –, ce qui n'est pas le cas de ses
principaux rivaux. Enfin, Ségolène Royal, qui a fait de la reconquête des couches populaires sa priorité, continue d'enregistrer ses meilleurs scores chez
les jeunes, les employés et les ouvriers, même si son déficit chez les personnes âgées demeure inquiétant.
 
Son diagnostic sonne juste
Que s'est-il passé le 21 avril 2002 ? Mieux que d'autres au PS, Ségolène Royal a compris qu'en 2007 le candidat socialiste ne pourrait se contenter d'une
réponse traditionnelle (à gauche toute !) ou hors sujet (la social-démocratie sinon rien). En revisitant sans complexes le petit livre rose, elle n'a pas
hésité à trancher des débats que son parti avait soigneusement évités. Défiance à l'égard des élites (politiques comme patronales), sentiment de déclassement,
aspiration à l'ordre, elle a mis des mots sur les doutes et les peurs des Français et proposé des concepts pour y remédier : démocratie participative pour
répondre à la crise politique, logique du donnant-donnant pour endiguer la remise en question des solidarités, équité justifiée pour compenser les manques
d'un égalitarisme forcené. « Ordre juste, sécurité durable », « égalité pour tous, respect pour chacun »… ses premiers slogans ont fait mouche.
 
Points faibles
 
Une crédibilité encore fragile
Est-elle taillée pour le job ? Cinq mois après sa désignation par le Parti socialiste, la question reste posée. Victime de ses propres erreurs, d'un vieux
relent machiste, et de la dureté de la campagne interne, Ségolène Royal n'a pas su passer du statut de candidate souhaitable à celui de présidente crédible.
Ses approximations, son esquive des sujets économiques (retraites, fiscalité), ses excursions ratées sur la scène internationale ont semé le doute et fourni
des armes à ses adversaires. La publication de son pacte présidentiel début février a certes fait taire ceux qui lui reprochaient de ne pas avoir de projet.
Mais son brouillage idéologique et ses accents populistes continuent de désorienter une partie de son électorat, en particulier chez les cadres et les
diplômés. Allergique à toute forme de contrainte, Ségolène Royal, qui peut exceller dans les figures libres, est beaucoup moins à l'aise pour les figures
imposées : ses discours publics pèchent souvent autant sur le fond que sur la forme.
 
Une force de frappe trop molle
Cogner l'adversaire, rendre les coups, décocher des petites phrases ? Sûre de sa force, Ségolène Royal s'y refuse depuis toujours. La semaine dernière à
Marseille, elle a même interdit à ses partisans de huer le nom de ses rivaux. Ne parler que de soi, jamais de l'autre. La méthode lui avait plutôt réussi
dans la campagne interne, quand le combat tournait pour l'essentiel autour de ses propositions. Mais dans la confrontation présidentielle, c'est une autre
affaire. Faute de ripostes ajustées, elle a laissé Nicolas Sarkozy s'exonérer du bilan gouvernemental. Et à force de ne pas attaquer François Bayrou, elle
l'a laissé monter dans les sondages. Frustrante pour les militants, cette incapacité à porter le fer se double d'une impuissance à exploiter durablement
les dossiers d'actualité : l'affaire Airbus ne lui aura permis de reprendre la main que pendant trois jours. Quant à l'escamotage des chiffres du chômage
par le gouvernement, elle ne l'a même pas relevé…
 
cadre sans nom 1
fin du cadre sans nom 1
 
Un discours à géométrie variable
Elle parle, ils expliquent… C'est devenu un rituel chez les socialistes. Ségolène Royal réduira-t-elle la part du nucléaire dans notre production d'énergie
à 50% d'ici à 2017 ? Refusera-t-elle d'engager la construction d'un second porte-avions ? Convoquera-t-elle dès la prochaine législature une assemblée
constituante ? Régularisera-t-elle tous les parents sans papiers d'enfants scolarisés ? La « liberté » que prend la candidate avec son propre programme
donne du fil à retordre à ses porte-parole, qui ont parfois bien du mal à atténuer ou corriger ses propos sans la mettre en porte-à-faux. A mesure que
la campagne avance, de nouvelles propositions jaillissent, comme la VIe République, pourtant refusée par le Parti socialiste au congrès du Mans, quand
d'autres s'évanouissent : l'augmentation du smic à 1 500 euros, mal perçue dans l'opinion selon une étude menée par l'institut Médiascopie, a ainsi carrément
disparu du dernier tract de la candidate.
 
Et maintenant ?
 
Recadrer ou pas ?
100 propositions, c'est sans doute ce qu'il fallait en février pour faire taire les critiques sur l'absence d'idées de la candidate. Mais à trois semaines
du scrutin le pacte présidentiel se révèle presque trop copieux pour faire campagne. Tout se passe comme si la candidate avait brûlé les étapes, sautant
d'un discours sur les valeurs à un catalogue de mesures pragmatiques, sans jamais être passée par la case « projet ». Résultat, les militants ne savent
plus par quel bout prendre le pacte présidentiel. Certaines mesures restent obscures pour l'opinion : qui sait exactement ce que sont les 500 000 « emplois
tremplins » promis aux jeunes ? Comment fonctionnera la Sécurité sociale professionnelle ? Plus embêtant : Royal n'a pas su jusqu'à présent faire tourner
le débat autour de ses propositions, comme Bayrou l'a fait avec la dette, ou Sarkozy avec l'identité nationale. D'où l'idée avancée par certains socialistes
de recadrer son discours autour de quelques mesures fortes qui traduiraient un changement immédiat en cas de victoire.
 
Parler à la gauche ou parler aux Français ?
« Je suis une femme libre, ancrée dans mes convictions de gauche, mais ouverte sur le socialisme du réel et soucieuse de rassembler les Français bien au-delà
des clivages. » En brossant son autoportrait la semaine dernière à Aix-en-Provence, Ségolène Royal a montré qu'elle entendait dépasser dès à présent le
précepte de son mentor François Mitterrand : rassembler son camp avant de rassembler les Français. Depuis le début de sa campagne, la candidate a donné
quelques gages à la gauche, notamment sur le volet institutionnel, mais elle a refusé de se livrer à une surenchère sur le terrain économique et social.
Réaliste et moderne, ce refus des vieilles recettes et des clivages forcés comporte néanmoins un risque : il dilue les effets mécaniques de l'alternance
et cantonne Ségolène Royal dans le rôle de la candidate du renouvellement plus que du changement.
 
Avec qui gagner, avec qui gouverner ?
Depuis le début de sa campagne présidentielle, Ségolène Royal se garde bien de poser la question des alliances. Comme si l'essentiel avait été fait avant,
avec le ralliement automnal du trublion de 2002, Jean-Pierre Chevènement, et celui du Parti radical de Gauche. Le problème, c'est que cela ne suffit pas
: le total d'intentions de vote cumulé par les partis de gauche reste très faible (à peine 40% selon les sondages) et l'irruption d'un candidat centriste
à 20% a rebattu les cartes. « Tous ceux qui se reconnaîtront dans le pacte présidentiel auront vocation à rejoindre le gouvernement et la majorité présidentielle.
Je souhaite qu'elle soit la plus large possible », se contente de répondre la candidate socialiste. Avec qui gouverner ? La question se pose aussi en interne.
En rudoyant les poids lourds du PS, Ségolène Royal a renforcé son image de « femme libre » mais aussi souligné une certaine forme de solitude.
 
Matthieu Croissandeau
Le Nouvel Observateur

Sarko?STOP! parce que l'on ne veut pas d'un Thiers de Président!

Mercredi 4 avril 2007
 
Sarkozy veut un Président présent, actif
Il ne veut pas de la Vème République, mais ne le dis pas, pourne pas heurter les Gaullistes qui le soutiennent malgré tout, et on se demande bien pourquoi
Si De Gaulle rappelait aux journalistes que ce n'était pas à 70 ans que l'on devenait dictateurs le jour où il proposa d'élir le Président àu suffrage universel direct, ce qui reste entre nous une belle connerie qui ambolise depuis 40 ans toute la vie politique Française
Sarkozy lui ne peut     pas en dire autant. La manière dont on prend le pouvoir témoigne de la manière del'exercer
Il faut se souvenir que Sarkozy a pris le pouvoir en se présentant contre un Maire RPR à Neuilly en 83, à 28 ans
C'ets dire sa soif de pouvoir
Il faut se souvenir qu'en 95 il soutient Balladur contre Chirac à qui, pourtant il devait tout
Il a pris l'UUMP à la hussarde, comme on mène uen guerre, blitzkrieg, faisant la nique à Chirac et fut sacré Président dans un délire mégalomaniaque hallucinant
On se souvient tous de sa déclaration de campagne le 14 janvier dernier avce 30 000 militants UMP, et qui a couté au bas mots, 4 millions d'euros.
 
Cet homme a un rapport au pouvoir singulier
il veut aller devant les assemblées pour être seul Maitre à bord
Il a oublié Montaigne et Montesquieu
Il a oublié les Lumières et la révolution Française
Pourtant de droite, il n'a pas du breacoup lire Toqueville et constan
la séparation des pouvoirs est quelque chose de secondaire chez lui
il entend bien imposer au législatif sa manière de voir le monde
il entend bien dicter au législatif ce qu'ils doivent adopter comme loi
 
Si il est élu, fort est à parier qu'il fera controler les contre pouvoirs que sont les associations, les syndicats, le smuteulles, et tous lesgroupes un peu organsiés
Sarkozyaimerait une société où chaque Français serait en rapport direct avce le Président, dans une perception de démocratie directe, mais qui est en fait la garantie d'imposer ses vues à tous, parce que lui seul aura vois au chapitre
 
Je ne veux pas de cette France où institutionnellement on ne saura plus qui juge, qui fait la loi et qui gouverne
Je ne veut pas de Sarkozy, car  je ne veu xpas d'un Président Totipotent
 
Je ne veut pas de Sarkozy, car outre de n'être en rien Républicain, il n'ets gère Démocrate!

Echos de campagne:C'ets moi la patronne!

 De la VIe République à « la Marseillaise »...
«C'est moi la patronne »
#reaction
A trois semaines du premier tour, Ségolène Royal a décidé de reprendre toute sa liberté. Quitte à tordre le bras de ses amis socialistes, François Hollande
en tête... Son arme secrète pour gagner ? Ne rien céder de sa propre musique et retrouver la magie des premiers jours
 
Scènes de la vie ordinaire au « 2-8-2 ». Comprenez : le 282, boulevard Saint-Germain à Paris, là où bat le coeur du ségolénisme réel. Jeudi 15 mars, en
milieu d'après-midi. Dans quelques heures, la candidate socialiste sera sur le plateau de France 2 pour une émission que l'on annonce décisive. Une de
plus ! Les sondages sont médiocres. La menace Bayrou se précise. Ségolène Royal en a marre. Comment tout gérer en même temps ? Les fiches qu'il faut relire.
Les argumentaires qu'il faut trier. Les conseillers qu'il faut écouter. L'éditeur de son livre qu'il faut rassurer et qui attend, au téléphone, d'ultimes
arbitrages. Quel titre ? Une photo sur la couverture ? A quand le bon à tirer ? Dans ce genre de situation, Ségolène Royal n'est pas du style à calmer
les esprits et à faire retomber le stress de ses proches. C'est son mode de fonctionnement. Pour se concentrer, elle a besoin d'aller jusqu'au bord du
gouffre. Là, sans crier gare, elle reprend sa chère liberté. «Maintenant, ça suffit. Je vais aller prendre l'air. Respirer. Courir...» Seule.
Même lieu, autre ambiance. Ce lundi 19 mars, la candidate a repris des couleurs. Le Conseil constitutionnel, en publiant la liste définitive des candidats
à la présidentielle, vient de lancer la vraie campagne. Fini le virtuel. Pour Ségolène Royal, c'est une autre histoire qui commence. Elle le dit, elle
le sent. Et, puisque les sondages sont à nouveau à la hausse, pourquoi laisser à d'autres le soin de commenter ce qui, au fond, ne relève que d'elle ?
Devant une poignée de journalistes convoqués dans l'urgence, Ségolène fait du Royal. Ah, les gammes ségolénistes à l'heure des confidences ! Une Assemblée
constituante pour fonder la VIe République ? Pourquoi pas ! Un jury populaire tiré au sort pour juger chaque année l'action de la présidente ? Et alors...
Plus tard sans doute faudra-t-il recadrer, préciser, nuancer ces propos. Mais tout cela semble tellement secondaire pour une femme qui croit à son destin,
reste persuadée de sa victoire et finit par dire l'essentiel au détour d'une phrase : «Ma liberté, c'est de ne pas me laisser formater l'esprit, et pour
cela j'ai besoin de rester au contact direct du peuple français.»
 
cadre sans nom 1
fin du cadre sans nom 1
Pour Ségolène Royal, la politique est un combat, et la présidentielle, la mère de toutes les batailles. Elle a choisi de la livrer à sa façon, sans s'en
laisser compter, et c'est sans doute ce qui inquiète tant les vieux pros du circuit et les adeptes impénitents des campagnes à l'ancienne. Pour comprendre,
il faut remonter aux conditions de sa désignation par les militants socialistes. A la Ségo des origines ! Au fond d'elle-même, la candidate n'a pas changé
depuis cette chevauchée victorieuse qui lui a permis d'écarter tous les éléphants du parti. Esprit de novembre 2006, esprit de mai 2007. La martingale,
à ses yeux, reste la même. Ou plutôt elle aurait dû rester la même. Jeanne d'Arc n'est pas, sous sa plume, une référence innocente. « La France présidente
», va-t-on lire sur ses affiches officielles. Les hiérarques du PS auraient préféré : « Le changement, le vrai ». Quant au bandeau en forme de programme,
il en a fait tousser plus d'un : « Familles, éducation, emploi, écologie ».
Quand elle commente, en cercle très privé, son parcours depuis le début de l'année, Ségolène Royal n'exprime qu'un seul regret. Celui d'avoir trop concédé.
Les débats participatifs ? Si cela n'avait tenu qu'à elle, ils auraient duré encore plus longtemps. L'appareil du parti ? Si cela avait été possible, elle
l'aurait tenu encore plus à distance, quitte à installer son siège de campagne beaucoup plus loin de cette rue de Solférino où, décidément, elle se sentira
toujours une intruse. Son pacte présidentiel, enfin ? Avec un peu plus de culot, elle l'aurait rédigé dans une rupture beaucoup plus nette avec les tables
de la loi du PS à l'ancienne.
Il y a quinze jours - c'était un samedi soir -, alors qu'il revenait d'une tournée dans le Nord, François Hollande l'a appelée sur son portable. La candidate
était dans sa cuisine et préparait à dîner pour un couple d'amis. Tu reviens à quelle heure ? On te garde à manger ? Le premier secrétaire, que les militants
du cru attendaient pour un couscous... royal, a quand même eu le temps de livrer quelques conseils avant de raccrocher. «Il faut que tu conserves ta petite
musique.» Du Mauroy dans le texte ! Et pour cause... Mais lorsqu'il a prononcé ces mots, Hollande n'était-il pas précisément au coeur du malentendu. Et
si, plus qu'une « petite musique », sa compagne avait décidé de faire entendre sa propre partition, avec si besoin tambours et trompettes, comme une «
Marseillaise » revisitée ?
On peut le dire autrement : Ségolène Royal ne se voit pas comme une petite cerise qu'on aurait posée sur le gros gâteau socialiste. Le caractère souvent
flottant de sa campagne, qui fait parfois douter les électeurs les mieux disposés à son égard, découle bien sûr de cette manière toute personnelle qu'elle
a de ne jamais laisser se figer la moindre situation, de cette mise en danger perpétuelle qui est aussi une façon de se construire dans la prise de risque.
Mais, avec la candidate socialiste, la psychologie n'explique pas tout. Quand ça flotte, ça n'est pas toujours dans sa tête. Entre elle et les siens, entre
la candidate et les dirigeants de son parti, il y a depuis toujours une tension implicite. Ils la regardent de haut, elle les observe du plus loin qu'elle
peut.
Dans leur comité de campagne du mardi après-midi, elle ne fait que passer. Et encore ! De moins en moins souvent. Comme pour une corvée. Quand elle a regroupé
les principaux d'entre eux dans un « comité stratégique », qui ne s'est jamais réuni, ils ont considéré qu'ils lui faisaient un cadeau dans l'urgence d'une
campagne qui tournait au vinaigre. Elle n'a pas attendu bien longtemps pour confier, sans sourciller, que cette réserve d'éléphants finalement portait
assez bien son nom et qu'il ne fallait pas compter sur elle pour la rouvrir à l'heure de la victoire. Tout cela est dit publiquement, avec parfois un peu
plus de formes. Quoique... Dominique Strauss-Kahn en a fait récemment la cruelle expérience. Il s'était vu comme le sauveur suprême, le joker de luxe de
la candidate. Celle-ci a laissé dire, et puis l'autre jour elle l'a fait venir à son côté, dans les Ardennes, pour le traiter illico comme un simple comparse.
«Dominique est étonnant, a-t-elle confié à un proche, en marge de cette petite virée. Il se croit plus intelligent que moi. Mais alors comment peut-il
vouloir être mon numéro deux?»
 
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fin du cadre sans nom 2
On ne peut rien comprendre de la campagne hors normes que mène Ségolène Royal si on oublie cette dimension interne. Dans l'histoire du PS, c'est la première
fois que son champion n'est pas un ancien premier secrétaire. La candidate n'a réussi à s'imposer qu'en tordant le bras à l'appareil dans un rapport très
complexe avec l'opinion militante, à la fois éblouie par tant de popularité et séduite par cet art consommé de la transgression. Tout cela a laissé des
traces profondes que seul vient atténuer un désir commun de victoire. Si elle perd, ils plongeront tous. Si elle gagne, certains seront sauvés. Mais lesquels
?
Par tempérament, mais aussi par construction, Ségolène Royal vit dans la hantise de la mise sous tutelle. Ceux qui pensaient pouvoir introduire leur propre
logiciel dans une campagne qu'ils jugeaient soit inconsistante, soit insuffisamment structurée en ont été pour leurs frais. Combien ont cru un jour ou
l'autre qu'avec un peu de persévérence, une once d'habileté ou un brin de courtisanerie, ils allaient voir s'ouvrir toute grande la porte de la candidate
? Le ségolénisme est un cimetière d'ambitions déçues ou frustrées. Seul peut-être Chevènement, parce qu'il n'était plus rien et que tout lui est bonheur,
a su trouver discrètement cette distance complice qui est aussi chez lui le fruit d'une très longue expérience. Les autres vont, viennent et parfois disparaissent.
Comme le dit crûment Ségolène Royal : «C'est moi la patronne.»
C'est d'ailleurs avec ces mots-là qu'au plus dur du combat, alors que tout semblait prendre l'eau, elle a relancé - de manière décisive ? - cette campagne
que certains tentaient de lui soustraire. Le 14 mars au matin, en ouvrant les journaux, Ségolène Royal a constaté qu'elle faisait les gros titres mais
que les articles étaient remplis de propos tenus par les éléphants du parti. La veille, Hollande, Fabius, DSK et les autres avaient longuement débattu
du cas Bayrou devant le comité de campagne. Un adversaire de premier tour ou un allié de second ? Un homme de droite ? Un supplétif de demain ? Ce débat-là
avait des allures de précongrès. On revenait aux choses classiques. Sans la candidate. Juste au moment où elle comptait, dans une semaine décisive, installer
son «pacte» et sa logique du «donnant-donnant» au coeur de la présidentielle.
Les proches de Ségolène Royal jurent que ce jour-là elle a décidé de reprendre toute sa liberté et de ne plus s'essayer aux concessions boiteuses. Si l'on
regarde de près ses déclarations, si l'on observe l'allure de ses meetings, quelque chose en effet a changé. Plus qu'un virage, c'est une tentative de
retour aux sources afin de rallumer la magie d'autrefois. Celle qui s'était progressivement éteinte lors des premiers pas laborieux de cette étrange campagne.
La virée provençale de la semaine dernière est l'exact reflet de cette nouvelle ambition avec une candidate sans complexe, moins guindée, plus proche du
terrain et surtout capable, dans ses gammes sur l'identité nationale, de hisser bien haut les couleurs de son projet réel. Ce faisant, Ségolène Royal s'assume
totalement dans une dernière ligne droite où se joue son destin. Déconstruire toujours des synthèses qu'elle juge obsolètes. Tenter constamment d'en proposer
de nouvelles, plus baroques sans doute, mais toutes guidées par l'idée que, sans renouveau de la démocratie, il n'y a pas de solution à la grande dépression
française.
Tout cela arrive tard. Tout cela est risqué. Tout cela mériterait une précision dans l'expression que la candidate ne peut - ou ne veut - assumer. Tout
cela est ségolénien. Pour la suite, une chose au moins est claire : qu'elle gagne ou qu'elle perde, ça sera d'abord sa responsabilité. C'est d'ailleurs
bien comme ça qu'elle l'entend.
 
François Bazin

Sarko? STOP!parce que la France sera émiettée

Mardi 3 avril 2007
 
La France de Sarkozy sera une France du chacun pour soi
une France de la performance et de la productivité
Une France où la seule vertue cardinale sera sa capacité économique
Le système de soins ne sera lus solidaire puisqu'on le sera poussé à l'assurance privée
parce que l'on pronera le démentellement des services publics au nom de la rentabilité économique
Si France Télécom fait plus de bénéfices que quand elle était entreprise publique , on ne peut pas vraiment dire que nos factures en tant que consommateurs soient moins onéreuses?!
Depuis que le 12 a été déréglementé, on ne peut aps dire que la pluralité d'opérateurs ait abouti à une meilleure qualité et une baisse des prix. Au contraire, les renseignements sont moins fiables et le cout moyen des renseignements téléphoniques a été multiplié par deux
Depuis la vente pendant l'été de la participation de l'Etat dans les autoroutes, on ne peut pas dire que les payages aient été moins cher,s et la qualité de la prestation améliorée. Mais l'Etata grevé sa capacité à encaisser durablement des recettes qu'il aurait pu affecté à des biens collectifs utiles à la collectivité
 
Si vous souhaitez que votre feulle d'impots soient réduites de 15%
mais qu'ensuite vous ayez à payer l'intégralité de vos frais médicaux,
la scolarisation de vos enfants
l'entretien de vos routes communales et départementales par des droits d'octroi
si vous voulez revenir à une France morcelée digne de la féodo vassalité, où vous n'aurez pas les mêmes chances si vous habitez  Un village Picard ou Neuilly
alors votez Sarkozy, il ne vous décevra pas!
 

Echos de campagne:le mirage centriste

Mardi 3 avril 2007   
 
La chronique de Jacques Julliard
Le mirage centriste
#reaction
Le centre comme appoint d'une majorité de gauche, pourquoi pas ? Mais l'inverse est impensable
 
Tous ceux qui ont gardé quelque souvenir de l'histoire de France depuis la Libération sont littéralement tombés de leur chaise en entendant François Bayrou
se réclamer de Pierre Mendès France (par exemple à Evreux le 12 mars). Car enfin, s'il est une famille politique qui a toujours poursuivi PMF d'une haine
farouche, à la limite du rationnel, c'est bien celle à laquelle appartient François Bayrou, qui s'est appelée MRP (Mouvement républicain populaire) sous
la IVe République, Centre démocrate à partir de 1966 et aujourd'hui UDF.
C'est le 4 février 1955 qu'eut lieu ce que les historiens, tels Jean Lacouture et Eric Roussel, ont appelé la « mise à mort » du président du Conseil, qui
incarnait alors l'espoir d'une rénovation de l'esprit et des moeurs de la République, avec un président du groupe MRP, Pierre-Henri Teitgen, qui aurait
déclaré, comme dans les romans d'Eugène Sue ou de Ponson du Terrail : «C'est ce soir ou jamais!» Entre Mendès et le MRP, deux cadavres en effet : la guerre
d'Indochine et la Communauté européenne de Défense (CED) ; et une menace : le projet prêté au premier de rétablir le mode de scrutin majoritaire, qui signifie
presque toujours la mort des partis centristes.
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On impute généralement au sectarisme socialiste le refus de collaborer avec le centre, qui, lui, ne demanderait pas mieux. La vérité est beaucoup plus complexe.
Déjà une première fois, la tentative de gouvernement de « troisième force » (1947-1951) vola en éclats quand le MRP rejoignit les gaullistes dans leur
projet de subvention aux écoles privées (loi Barangé).
On oublie en outre que l'intention annoncée par François Bayrou de créer un grand parti centriste a connu un premier avatar en 1965. La proposition fut
faite alors par un socialiste, et non des moindres, en l'occurrence Gaston Defferre, candidat à l'élection présidentielle : il s'agissait de créer une
« grande fédération », allant des démocrates-chrétiens du MRP aux sociaux-démocrates du Parti socialiste, en passant par les radicaux et autres centristes.
Or c'est l'opposition conjuguée des chefs MRP et de Guy Mollet qui eut raison de la tentative !
Somme toute, la famille que l'on appelle centriste - en vérité un centre-droit - s'est toujours rêvée plus à gauche qu'elle n'est en réalité, de par la
composition sociologique de son électorat et de par son comportement quand elle exerce le pouvoir. La plupart des élus centristes doivent leur élection
à un désistement de la droite classique. Combinant une sensibilité sociale avancée avec des réflexes politiques conservateurs, le centrisme vit dans un
tiraillement permanent qui faisait dire à Guy Mollet du MRP que c'était «un parti qui ne devrait pas exister» parce qu'il était structurellement incapable
d'aller au bout de ses intentions. Il a toujours été, comme Lâla, la femme idéale de Claudel, «la promesse qui ne peut être tenue».
Tel est le dilemme de François Bayrou, qui est assurément un homme de valeur et de bonne volonté. En attribuant à Pierre Mendès France, homme de gauche
convaincu, une formule d'Edgar Faure, prestidigitateur politique, partisan d'une alliance du centre avec la droite - s'appuyer sur des «majorités d'idées»
-, il a commis un lapsus révélateur. Car avoir des idées en commun ne suffit pas pour gouverner ensemble, en l'absence d'une coalition politique crédible.
Porté par la vague anti-partis, il propose d'en créer un de plus. Hostile à la tyrannie des partis, il veut rétablir la proportionnelle, qui signifie la
subordination totale des élus aux apparatchiks. En annonçant la création d'un grand parti démocrate, il offre aux socialistes le rôle amoindri de force
d'appoint. Lors des négociations inabouties de 1965 dont j'ai parlé plus haut, Jean Lecanuet avait déjà déclaré que les socialistes devaient se contenter
d'«être un apport, non un pivot».
Les « Gracques », ces hauts fonctionnaires de gauche partisans d'une alliance entre Bayrou et Ségolène, commettent la même erreur. L'idée que des centristes
puissent devenir un appoint dans une majorité de gauche ne me choque pas. Mais l'inverse est impensable. De par ses dimensions - entre 6% et 15% du corps
électoral - le centre peut espérer jouer un rôle utile, non un rôle majeur. J'ai rarement vu en tout cas qu'un lieutenant propose à un général de redevenir
colonel et encore moins que celui-ci accepte.
 
Jacques Julliard
Le Nouvel Observateur

Sarko? STOP!parce que je ne veux pas d'une société de culs bénits hypocrites!

Lundi 2 avril 2007
 
Sarkozy puise sa ligne politique dans la pure lignée de la nouvelle droite américaine
Droite mécianique et décomplexée
droite qui définit comme doctrine sociale, les précepts religieux édictés par l'Eglise la plus réactionnaire
Droite moraliste et castratriste
 
En rupture socialement avec 68, Sarkozy veut nous impose de revenir au carcant social, et patriarcal qui a précédé. Il estime en effet que notre société souffre essenteillement de sa perte de repères
La faute en est pour lui à cette jeunesse
Il oublie de faire l'analyse socio économique qui plonge le splus fragiles dans le desespoir, et compte tenu de l'étalage des richesses et de l'impunité des puissants pousse une partie de la population à vouloir sa part à tous prix y compris par la délinquance. Comment ne pas comprendre, cela. Cela ne signifie en rien que l'on doive l'excuser, mais dans le même temps où l'on prone la fermeté et la sanction, on ne met pas les moyens pour accompagner et donner des perspectives pour réduire le fossé qui s'ets creusé entre les Français le splus pauvres et les plus privilégiés, on ment en prétendant que l'on lutte pour la sécurité
Une manière d'aboutir à la sécurité collective c'ets en assurant des revenus de subsitance dignes à tous, au travers de la sécurité sociale, par exemple
C'est en substance ce que propose Ségolène Royal, une politique équilibrée, qui n'ets en rien laxiste, mais reste juste
 
Si l'on veut socialement éthiquement un repli sur nous mêmes, et vivre dans la société de nos grands parents, nous devons voter Sarkozy
Sarkozy a la nostalgie du passé
il n'ets pas moderniste
Il a le culte de la société du XIXème sicècle,, temps révés, où le patronnat faisait ce qu'il voulait
où le paternalisme faisait que l'on pouvait virer une  ouvrière dont la moralité n'était pas conforme à ce que souhaitait son employeur
Quels temps bénis pour Sarkozy
Et pour nous?

societatis:accouchement sous X!

Lundi 2 avril 2007
 
Manifestation contre l'accouchement sous X
 
NOUVELOBS.COM | 10.02.2007 | 09:03
 
La Coordination des Actions pour le Droit à la connaissance des Origines (Cadco) milite pour le droit à la connaissance personnelle. 400.000 personnes sont
nées sous X en France.
 
Une manifestation, comptant dans ses rangs d'anciens enfants adoptés, des mères qui ont dû abandonner leur bébé, et des adoptants regroupés dans une coordination
"pour le droit à la connaissance des origines" (Cadco) , aura lieu samedi 10 février à Paris de 17h00 à 18h00 sur le Parvis des droits de l'Homme, place
du Trocadéro.
La Coordination (Cadco) réclame la suppression de l'accouchement sous X, une spécificité française, et entend "sensibiliser les candidats à la présidentielle
à la souffrance des enfants sans filiation" et leur "demander de s'engager sur la suppression de l'accouchement sous X".
 
2 millions de concernés
 
En France, "plus de 2 millions de personnes sont aujourd'hui directement concernées par l'accouchement sous X", selon la Cadco : les 400.000 personnes nées
sous X (estimation de l'association), les mères et les pères de naissance, le conjoint et les enfants du né sous X, dont les vies sont bousculées, et "bien
sûr, les parents adoptifs".
Pierre Verdier, président de la Cadco, a confirmé que "pour la plupart des enfants né sous X, retrouver ses origines devient une véritable obsession. C'est
une quête éternelle de sens". Françoise Dolto disait qu'il "faut trois générations pour effacer la cicatrice d'un abandon".
 
France et Luxembourg exceptions
 
La France et le duché du Luxembourg sont les seuls pays en Europe à permettre l'accouchement sous X. La loi, créée par le régime de Vichy pour permettre
aux victimes de "faits de guerre" d'accoucher dans l'anonymat, est selon Pierre Verdier "humiliante, honteuse et obsolète".
Le Conseil national pour l'accès aux origines personnelles (Cnaops) a été créé par la loi du 22 janvier 2002, qui a affirmé l'importance pour l'enfant de
connaître ses origines. Mais le Cnaops n'a guère apporté de solution à la majorité des situations, selon Pierre Verdier qui affirme "qu'il vaut mieux passer
par les associations pour lever le secret de ses origines".
Le droit à la connaissance personnelle a pourtant été affirmé par deux textes internationaux ratifiés par la France, la Convention de l'ONU de 1989 et celle
de La Haye de 1993, relatives à la protection des droits de l'enfant.
 
L'origine paternelle
 
Pour l'accouchement sous X, le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) s'était par ailleurs prononcé fin 2005 pour le maintien de la situation actuelle,
souhaitant que ne puisse "jamais être levé l'anonymat d'une mère sans qu'elle y ait consenti de son vivant".
Le CCNE avait jugé important que la mère soit informée des possibilités "de pouvoir laisser un jour, si elle le souhaite, des renseignements et de pouvoir
révéler ultérieurement des données identifiantes". Il avait aussi insisté sur le fait qu'il "serait nécessaire d'être plus attentif à obtenir des données
concernant l'origine paternelle".
 
Constante diminution
 
Le nombre des accouchements sous X est en constante diminution. En 2004, 560 femmes ont accouché de manière anonyme en France, contre 10.000 par an dans
les années 70. Grâce à la contraception et à l'IVG, l'accouchement sous X a nettement diminué, mais demeure encore un recours pour certaines femmes.
Selon les dernières études, les deux tiers d'entre elles ont moins de 25 ans, la majorité de ces femmes sont sans autonomie et sans ressources, et passé
le délai relativement court de l'IVG, leur seule solution devient l'accouchement sous X.

Outing:Benoît, tourne toi!

Dimanche 1er avril 2007
 
Benoît XVI est-il homo?
 
Benoît XVI serait-il gay? La rumeur s'enrichit ces temps-ci de détails. Pour la nourrir, les média italiens s'appuient en particulier sur le relookage du
pape: l'habilleur de Jean-Paul II, bien trop sobre, a été remercié et a fait place à un nouveau créateur, très porté sur les bordures, les pompons et les
chaussures rouges de chez Prada. Pire: le pape aurait un amant, en la personne de son secrétaire privé, Monseigneur Georg Gänswein, un beau blond de 50
ans, pilote amateur, joueur de tennis et ancien moniteur de ski. Le Vatican n'a pas encore réagi à ces rumeurs, reprises avec délectation dans la presse
étrangère.
 
Dans les moments difficiles, il lui tient même le micro... !

Sarko?STOP!:parce qu'il est vraiment trop méchant!

Dimanche 1er avril 2007
 
Sarkozy a tout pris de Chiracs
auf son humanisme
Ce n'ets pas parce que Chirac s'en va que l'on va lui drtresser des lauriers
Son bilan est mauvais
 
Mais tout de même,
il a eu des constances dans sa vie politique, qui témoigne d'une certaine idée de la France
d'une certaine idée du monde et donc de l'Homme
 
Ce n'ets pas Sarkozy qui aurait eu le courage politique en 81 de voter l'abollition de la peine de mort
compte tenu de ses emprunts dans les théories de la Nouvelle Droite américaine
Ce n'ets pas Sarkozy qui aurait pris le temps de légiférer à trois reprises en trente ans sur la question des perosnnes en situation de handicap, lui nous abreuve de conneries sur la responsabilité de chacun de pouvoir s'en sortir par son travail!
et propose en creux de son discours réél, lémentellement de la sécu
Ce n'ets pas Sarkozy qui aurait tenu tête à Bush pour ne pas embarquer la France dans ce qui est le naufrage dimplomatique qu'ets le bourbier Irakien
 
Ce n'ets pas Sarkozy qui aurait décidé de déclarer comme priorité de con quinquennat la lutte contre les accidents de la route,
la lutte contre le cancer
et l'inclusion des personnes en situation de handicap
Lui nous assénera la rentabilité économique
la performance individuelle
et l'imigration zéro
 
Nons tout ce que Sarkozy a repris de Chirac, c'ets la gestion barbouzarde,
les manoeuvres
et les affaires
 
Bien élevé en cela pas ce cher Pasqua
 
Alors à nous de savoir si on veut un Chirac méchant comme Président
 

coquetterie de 1er avril!

Dimanche 1er avril 2007
 
Le Schtroumpf coquet fait son coming out
 
Il y a longtemps que tout le monde Schtroumpf s'en doutait, personne ne disait rien. Sur 100 petits bonhommes bleus, il fallait bien qu'il y en ait au moins
un, statistique oblige, il pourrait encore y en avoir d'autres ! Et pourtant dans ce petit monde protégé par l'homophobe et moralisateur Grand Schtroumpf,
il n'est pas facile de vivre pleinement sa différence.
 
Connaissez-vous un Schtroumpf qui ait un sens artistique aussi développé ? Il est à lui-même le cliché type de l'homo, préférant la couture et la décoration
aux jeux des Schtroumps. Se mirant des heures durant dans son miroir. Or, un matin, rentrant d'une balade nocturne en foret (hem hem...) il revient avec
celui qu'il dit être son double, celui qu'il dit être sorti de son miroir. Le village semble accepter très bien le nouveau venu ainsi que l'idée que les
deux Schtroumpfs habitent ensemble. Ce nouveau venu rencontré une nuit dans le petit bois est la copie parfaite du Schtroumpf coquet, sauf qu'il fait tous
ses gestes à l'envers, de là, il n'y a qu'un pas pour dire qu'ils sont invertis !
 
Leur histoire ne durera pas longtemps, les deux Schtroumpf se disputeront au petit matin pour de bêtes questions matérielles. Ils se sépareront. Le nouveau
Schtroumpf retournera en forêt, traversera le miroir et reviendra. Le Grand Schtroumpf sera fou de joie et déclarera : "En schtroumpfant à travers le miroir,
tu t'es inversé, tu es maintenant un vrai Schtroumpf". Que de symboles cachés ! Traverser le miroir veut dire qu'on change de sexualité, retraverser le
miroir, on redevient normal. Il devient alors le centième Schtroumpf une fois sa "normalité" déclarée.
 
Cette pensée du Grand Schtroumpf, comme quoi il serait contre nature que d'aimer un Schtroumpf de même sexe se retrouve dans les Schtroumpfs noirs. Ainsi,
c'est une fois malade que les Schtroumpfs n'ont plus qu'une seule envie, sucer la queue des autres Schtroumpfs qui seront ainsi contaminés à leur tour.
On en revient à cette idée vieillotte que l'homosexualité se transmet lorsqu'on la pratique et il est très malsain de s'approcher d'un homosexuel sous
peine de se faire violer et de le devenir à son tour.
 
Avant l'arrivée de la Schtroumfette, les Schtroumpf vivaient très bien sans elle. Ils organisaient des Sctroumpf Patry sortes de soirées Jungle avant l'heure
et dansaient sur la techno-Schtroumpf...
 
D'ailleurs, cette Schtroumpfette n'est-elle pas un travesti ? N'oublions pas qu'à l'origine elle était noiraude et était une créature de Gargamel. Après
avoir passé quelques jours enfermé dans le laboratoire du Grand Schtroumpf, elle ressort métamorphosée et blonde. Le Grand Schtroumpf n'a rien fait d'autre
que de faire la première opération de changement de sexe de l'histoire des Schtroumpf. La Schtroumpfette est donc le premier transsexuel de ce petit monde
bleu.
 
Nouvel incident, à l'arrivée du Schtroumpf sauvage, ce dernier se jette sur... le Schtroumpf à lunettes et tombe amoureux de lui, comme en témoignent ces
images. Que dire de la fois où un Schtroumpf se fait changer en saucisse par un œuf magique. Que de symboles dans cette histoire: un œuf et une saucisse...
et que dire de l'apparence du Schtroumpf ?
 
Et enfin récemment, un paparazzi a pris une photo qui en dit long. Le Schtroumpf bricoleur qui sort de chez le Schtroumpf coquet. Ce dernier le remercie
"d'avoir bien voulu schtroumpfer ce trou qu'il y avait dans sa marmite"... fallait-il faire un commentaire ? Ou les choses sont elles suffisemment claires
? En tout cas depuis la publication de "Schtroumpf Match", le petit Schtroumpf à la fleur ne se cache plus, quoi que puisse dire le moralisateur Grand
Schtroumpf.

Sarko? STOP!parce que je ne veux pas d'un atlantisme béat!

Samedi 31 mars 2007
 
 
Un  Bush, cela suffit!
Sarkozy n'a pas compris que la France n'était pas un pays comme un autre
Sarkozy veut pouvoir gouverner la France comme on pilote une entreprise du CAC 40
Il faut lui rappeler le 22 avril prochain, que la France, a une histoire et un rôle à jouer dans le rôle
Beaucoup de pays, beaucoup de peuples comptent encore sur elle
 
Nous ne pouvons et nous ne devosn pas calquer notre politique sur celle de Busk et celle des Etats-Unis
Ce n'ets pas être anti américain primaire que de dire que notre histoire, notre rôle, notre vision du monde ne sont pas identiques
Avant même que les Etats Unis, ne soient tombés entre les pattes de la nouvelle droite américaine, les visions géopolitiques de la France et des USA étaient différentes, quelques fois complémentaires et parfois opposées. Cela n'a jamais conduit à délcarer la guerre aux States, mais juste de nous affirmer
Ce n'ets pas en étant un vassal soumis qu enous nous ferons respecter, alors, que c'ets ce qu epropose Sarkozy
Les gouvernements américains qu'ils soient démocrates ou républicains sur ce point, c'ets identique, car ils défendent et c'ets noraml leur interet propre, ne respectent que ce qu'ils leur résistent.
La France n'a pas vocation à devenir le Royaume Unis sur la scène internationale, aussi en en s'opposant à Sarkozy nous rappelons notre volonté de changer le monde en défendant une voie, une autre ligne de politique internationale où le prisme économique et financier n'ets pas le seul spectre d'analyse
et l'interet des peuples et les Droits de l'Homme ne sont pas des ponctuatiosn de discours, mais bein des vertues cardinales.