10 novembre 2006

Echos de campagne:l'International

Mercredi 8 novembre 2006
 
Il est loin le temps de l'internationalisme, quand on entend les trois prétendants à l'investiture socialiste. où est la générosité d'antan, où est la volonté de construire une société humaine, colidaire, où les nationalistés ne seraient plus un obstacle?
Les propositions sont essetiellement gestionnaires, frileuse,s de compensation finanicères. Elles sont interressantes, utiles là n'est pas la question, mais tout cela manque singulièrement d'ambition de grand dessein, de volontarisme. Si les promoteurs del'Europe ou leurs successeurs n'avaient pas été de doux réveurs, jamais nous n'aurions eu la zone de stabilité, de paix de prospe=érité, que nous connaissons depuis cinquante ans
C'ets peut êter bien parce que nous avons perdu l'idéal qui participait à cette cnstruction d'aileurs et que ce dossier a cessé d'être politique pour devenir technqiue que les citoyens euorpéens s'en sont détachés. Alors il faut lui redonner sens, et au delà de l'Europe que la gauche redevienne internationaliste,c ar c'ets sa nature profonde.
Je ne dirai rien de Fabius qui refuse  l'entrée de la Turquie tellement cette position est ridicule. Ce n'ets pas parce que les Français sont contre qu'ils ont raison.

1 Commentaires :

At 11:08, Anonymous Anonyme a dit...

Je suis bien d'accord avec toi Eric. C'est à l'homme politique de convaincre les citoyens du bien fondé de l'intégration de la Turquie dans l'Union Européenne, chose qu'a plus ou moins bien fait Strauss-Kahn. Je te rejoins également sur la question du courage et de la générosité politique. J'aurais beaucoup apprécié que les candidats socialistes s'affichent pour un don de l'arme nucléaire française à l'Europe.

 

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