Echos de campagne:éclaircie sondagière
vendredi 3 octobre 2006
Enfin une petite éclairie dan sles sondages. En 2002, tout le monde avaitdit, les médias en t^tes que l'on ne les y reprendrait plus à faire dire aux sodnages ce qu'ils ne disainet pas, les Giaccomettin Jaffre et consorts expliquaient que si on avait bien lu les osndages on aurtait compris que Le pen serait on second tour... En fait nous étiosn tous des abrutis.
Et cinq aprés comme de bien entendu, la petite musique sondagière recommence de plus belle, comme pour Jospin-Chirac. Les sondeurs et autres scatologues de l'opinion publique française nous rebattent les oreilles au qotidien pour nous dire comment nous pensons, mais surotu comment les commanditaires de ces sondages souhaiteraient nous voir penser. On tente de nous manipuler, de nous dire ce qui est bon pour nous, espérosn toujorus que le fait majoritaire suscité sera ce que nous souhaiterons. Cela prouve que ces idustriels du questionnaire dans le rue, ces maniaques du panel ne comprennent toujorus rien à ce qui fait le ressort profond du peuple français, être fantasque, et se plaire à faire ce que l'on attend pas de lui.
Alors les sondages se troublent, les courbes commencent à se croiser, les horizons s'obscurcissent et c'ets trés bien ainsi. Plutôt que d'avoir l'oeil rivé sur leurs courbes de popularité comme sur des courbes de températures de convalescents, les ommes et femmes politiques de ce payx auraient interet à simplement se consacrer à ce qu'ets leur fonction, écouter, inventer et convaincre.
C'ets ainsi que l'on se fait élir,
sinon, il vaut mieux les renvoyer à la socité civile il feront de trés jolies têtes de gondoles chez Findus ou Jacques Wabre... ah! non, eux, ils nous refilent leur communiquant de piètre talent, et Chirac est assez con pour en faire un Premier Ministre!
Drôle d'époque, décidemment drôle d'époque!
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