02 novembre 2006

Des chardons plein les poches:infirmières en colère!

Jeudi 2 novembre 2006
 
Quelle est le meilleur sindicateur pour savoir si on est en période électorale en France? le déat de fonds, des grands débats sur l'avenir du pays, des confrontatiosn d'idées, ? non rien de tout cela.
une ribmablelle de candidats, , une spiration profonde de l'elextorat à être entendu? pas beaucoup plus
Non ce quif ait la réalité du principe électoral est la capacité pour un certain nombre de groupes qui ne sentent pas assez reconnus, rémunérés, les deux  choses allant souvent de pair dans un pays en perte de repères.
En 2002, ce furent les médecins généralistes qui demandaient et n'obtinrent pas une revalorisation à 20 euros. Cela participa  certainemetn de l'échec ede Jospin, puisque la capacité de nuisance des médecins est trés grande.
Une des premières catégories à revendiquer cette fois ci sont les infirmiers et infirmières.
Pourquoi? Est ce du catégoriel, injustifiable? Pas vraiment.
Pour tout dire la première grande colère des infirmières atent de 1989; spis me gouvernement Rocard. P, se spive,t de ma cpprdo,ayop, des o,forùo_res ,p, syndiquées de la tente devant le Ministère et les difficiles négociations avec Evain, à croire que le poignon il le sortait de sa poche. Mais déjà justifiées, leurs revendications salariales étaient entendue spar la population. métiers difficiles si il en est, elles sotn rééllement mal payées, et non reconniues à leur niveau réél de qualification.
Xavier Bertrand il y a un an avait promis l'ouverture de discussion sur cette question. Il n' pas tenu parole, les infirmières se rappellent à son bon souvenir.Quelle est la questionoutre une question purement salariale? Une infirmière a 38 mois de formation, et n'ets reconnue que pour une formation de 24 mois comme  un simple Deug, parce que hypocritement on décompte de leur formation le temps de formation pratique en service de soins. Pourtant tous les gouvernements se font les chantres de l'apprentissage de l'alternance. La formation des infirmi-res l'est par nécessité et elle n'ets pas reconnue, c'ets à n'y plus rien comprendre.
outre cette non reconnaissance de cette formation à bac+3, c'ets le niveau de rmunration qui est en cause. une infirmière débute sa carrière à 1260 euros nets par mois. C'ets peu motivant compte tenu des horaires, de la difficulté de la tache. La preuve aprés dix ans de métiers beaucoup d'infirmières raccrochent
il faudrait peut être s'interroger sur ce cout considérable de formation. Si l'on  forme des gens pendant trois ans pour qu'ils exercent dix ans au lieu de 40 parce quele métier est trop difficile et mal payé, peut être aurions nous interet à mieux les payer, pour qu'ils et elles restent en activité.
de plus, compte tenu du vieillissement de la population il faut augmenter le nombre d'infirmières pour pouvoir développer des SSIAD, services de soins infirmiers à domicile, notamment pour les psycho dépendants. Or déjà actuellement nous manquons de 15000 infirmiers.
Il est certain que ce"tte revalorisation aura un cout social puisque qu'elles soient fonctionnaires ou libérales leur rémunération est assumé collectivement, par le budget de l'Etat ou celui de la sécu.
Il est étonnant de constater comment, quand il s'agit de la santé les Français soutiennent les augmentations de rémunérations! oubliant volontairement que c'ets pourtant des financemetns solidarisés qui abonderont cette revendication plus ou moins légitime.
 
Gageons en tout cas concernant nos amies infirmières, qu'elles obtiendront satisfaction parce que le mouvement part des écoles, que l'on ne  veut pas à la veile d'une année électorale aprés avoir connu le CPE revivre une fronde des métiers des santés et des jeunes, surtout dans une profession où l'on n'a pas assez de professionnels.