01 novembre 2006

Des chardons plein les poches:Jury Citoyen

lundi 23 octobre 2006
 
Est il raisonnable de manier le concept sans le maitriser?
C'est dabgerux en tout cas. Mme royal dans sa volonté de dynamiter le débat poltiique, de faire bouger les lignes comme elle dit vient de franchir un nouvel interdit. Mais cette fois ci, la limite n'ets plus avec la droite mais avec le populisme le pls navrant.
Ségolène ne propose rien de moins que de faire controler les éls par des jury citoyen tirés au sort. Son entourage d'expliquer que cela existe dans d'autres grandes démocraties européernnes, pour toutes réponses quand on leur demande le pourquoi de cette décision.
Il faudraitune bonne fois que les royalistes, comprennent que ce n'ets pas parce qu'une chose se fait ailleurs queond oit automatiquement le faire en France. D'uen part parce que toutes les diées ne son t pas bonnes à prendre, et d'autre part, parce que même une bonne idée ailleurs n'ets pas forcémment transposable en France, compte tenu de nos traditions démocratiques, et de notre pratique démocratique.
Mme Royal pose la question du rapport des Français avce les élus. Il y a une défiance, une rupture démocratique. on peut être d'accord sur le constat, nettement moins sur le remède. Ce n'est pas aprce que la question soulevée est réélle que les répo,ses sont les bonnes, sinon cela fait longtemps que le Front National sjjerait au poivoir.
En proposant de soumettre les élus à une jury citoyen qui tiré aus ort validerait ou non les décisions des élus,c erla pose et institutionnalise que les décisions des élus pourraient être illégitimes. Cela insitutionnalise l'instabilité de la décision qui peut à tout moment être remis en cause, avant même le rtyhme naturel de la démocratie, c'ets à dire la sanction électorale en fin de mandat.
Cela institutionnalise non la dictature du prolétariat ou des societs, mais celle du sondage et del'opinion publique.
La dictature de l'opinion pubmique n'a rien à envier à la dictature du prolétariat, elle n'ets en rien plus légitime, plus acceptable. La démocratie pour exister a besoin de rythme, de règles connues de tous. On sait que l'on élit quelqu'un pour une durée précise, et qu'à la fin de ce temps l'élu rendra compte de son mandat et que l'électeur aura la possibilité de le reconduire ou de ne pas le reconduire. Si à chaque moment l'élu se sait dans l'incapacité d'agir ou de devoir subir la loi du sondage il ne fera rien, il sera empéché ans l'action, et il n'y aura plus depossibilité de recherche de l'itneret général. L'élu cherchera simplemnet à flatter l'opinion publique, l'opinion dominante en toute occasion. La hauteur du politique est de trancher entre les différents intérets particuliers pour faire émerger l'intéret général. C'ets ainsi que l'on réocnciliera l'électorat et le poltiique
Bayrou actuellement est un des seuls à porter cela et à le revendiquer et à proposer des olutions courageuses pour y parvenir en rééllement tentant de bousculer les lignes.
La Zappaterreur propose elle de mettre l'élu sous controle du peuple. cela peut paraître noraml puisqueil tire sa légitimité du peuple. Comme seul argument à ceux nombreux de tous bords élus ou non quine sont pas d'accord avec ce qu'elle propose elle leur répond qu'"il ne faut pas av oir peur du peuple". Non, Mme Royal, il ne faut pas en avoir peur, mais il faut le respecter. respecter le vote du peuple, c'ets respecter ceux qu'il a élu, leur donner les possibilité s de mener leur mandat et non les mettre en situation d'instabilité.
Respecter le peuple c'ets lui donner la possibilité par la seule règle démocratique c'ets à dire l'élections uivante de sanctionner ses élus.
Mettre en place de telles règles avec un jury citoyen c'est soumettre le vote du peuple à l'aléa du tirage au sort, quel respect! Etrange pour quelqu'un qui se fait la défe"nderresse du peuple.
 
Le jury citoyen existe ailleurs, certes mais il faut peut être dire rééllement ce quere lève ces notions de démocratie participative; opposer démocratie participative et représentative est une erreur. Par anture les deux formes doivent se compléter, et non être antagonistes. que les élus rendentc ompte en cours de mandat aux electeurs est positif.
faire en sorte que les élus consultent les citoyens, les usagers sur certains sujets spécifiques, pourquoi pas, au contraire cela peut luis permettre de confronter la décision qu'il souhaite prendre aux différents avis. Ensuite il lui appartient de choisir, de trancher enfonction del'idée qu'il se fait de l'itneret général, là est lanoblesse de son rôle d'élu.
La démocratie participative doit nourrir la démocratie représentative non, la sanctionner. La seule sanction de la démocratie représentative ne peut être que l'éelection.
Il faut laisser du temps aux élus pour agir.
sinon, il faut mettre en place autre chose,c 'ets la révocation. Ce principe existe dans certains Etats Américains. Notamment en californie, c'ets ainsi que Schwartenneger est devenur gouverneur en faisant démettre le gouverneur précédent démocrate. Une petition d'intiiative populaire peut demander la démission de l'élu, celle ci est soumise au vote ensuite. C'est le suffrage unviersel qui peut mettre un terme au mandat. Cela existge mais cela souffre mal nos traditions démocratiques françaises.
Alors que pensez une nouvelle fosi de cete proposition de Mme Royal, c'ets léger, peu sérieux et dangereux.
Elle faltte, sans se rendre compte des conséquences de sond iscours, sans prendre la mesure du coté dévastateur de ses propositions. Cela témoigne mal de quelqu'un qui prétend incarner une magistrature supréme.
La première mesure pour encourager la démocratie aprticipative c'ets peut être d'interdire tout cumul des mandats. Ainsi un profonds renovuellement des élus aura lieu puisqu'il faudra trois fois plus d'élus pour assumer le fonctionnement démocratique en France. Cela permettra une fméinisation des instance et unr ajeunissement de al représentation politique
Et puis on pourrait travailler à une limitation des mandats dans le temps pour que l'élui ne soit plus en situation de professionnalisation mais bein de mandat. Cela suppose de mettre en oeuvre un vrai statuts de l'élu, pour que le retour à la vie civile puisse être possible. Cela garantirait surotu que nostre classe politique ne soit pas surreprésentée par les fonctionanire spour des raisons statutaires, mais que les professions libérale,s les salariés du secteur privé, oseront tenter l'engagementpolitique puisqu'ils saurosn qu'ils pourront avoior le temps de revenir vers l'emploi uen fois leur remps politique achevé. La limitation des mandats lans le temps aura pour mérite d'imposer de ne pas avoir des élus professionnels et uen calssepolitique statique, là est peut être la source d'une certaine forme de pensée unqiue, et de conservatisme.
Actuellement tout bords confondus, la moitié des parlementaires est enfonction depuis plus de vingt ans. Est ce trés raisonnable?
Alors plutôt que de jeter la suspicion  entre l'élu et l'électeur peut être faudrait il faire de vraies proposition de réforme de nos institutions.
Ilest temps!