20 octobre 2006

blogtrotter:Busk le Président liberticide

Jeudi 19 octobre 2006
 
W, puisqu'il ne restera à la postérité que part une seule lettre,c elle qui le différencie de son père, comme certains doivent se faire un prénom, lui il lui, il a du se faire une initiale.
Georges Busk embourbé dans le conflit irakien qu'il a luimême initié doit affronter dans quize jours les élec tions de mi-mandat. Elles risquent d'être particulièrement défaborables aux républicains. Aussi en incapacité d'incarnerla la moindre possibilité de perspective pour les américains il
leur ressert leur vieille recette la lutte contre le terrosime. A ce jeu la maison de recule devant aucuns sacrifices et propose la loi la plus liberticide de l'histoire moderne des Etats Unis. En effe,t la patrie de  la liberté a accepté sous prétexte de lutte contre le terrorisme que tout citoyen américain peut se retrouver incarcérer sans limite dans le temps, et sans nécessairement  de motifs d'incultpation. Dans la même veine, il suffit d'une dénonciation , dont l'auteur peut trés courageusement rester anonyme, ou sur rapport des service secrets. Donc on a réinstitutionnalisé dans un pays qui ne l'avait jamais connu la lettre de cachet, l'embastillement.
Il n'y a plus de possibilité de séparation des pouvoirs
On parlait de guerre de civilisation au lendemain du 11 septembre 2001. je ne sais si il s'agissait de cela à l'époque. Aujourd'hui il semble que oui, mais l'occident a perdu depuis, ça c'ets une certitude.
 
Comment l'occident pourra exiger des dictatures une avancée des droits de l'homme, comment pourrons nous reprocher à Poutine de  torturer les tchétchènes quand dans le même temps  les américains admettent les interrogatoires musclés pour cause de lutte contre le terrorisme.
Les fanatiques ont donc gagné puisque les grandes démocraties ont accepté de renier leurs principes fondateurs de liberté publiques et individuelles  pour le croient elles se protéger.
Espérons que le Ministre de l'Intérieur français, si admiratif du modèle américain ne prenne une nouvelle fois exemple pour justifier un nouveau recul des droits de l'homme dans notre pays.