15 décembre 2006

Des chardons plein les poches:Qu'il est dur de reconnaître ses erreurs!

La Cour de Cassation hier a refusé de décharger la mémoire de Seznec. Surprenant puisque le représentant du gouvernement, le procureur avait conclu à la demande de al révision de ce procés, baclé, où la police fut plus que légère à l'époque pourne pas dire complice. Elle a tout au moins instruit à charge, sans vérit    able enquête. Le doute n'a en rien bénéficié à l'accusé à l'époque.
Guillaume Seznec restera coupable, gracié, aprés guerre mais  toujorus coupable. Ce qui est insupportable à sa famille et particulièrement à son petit fils, Denis.
C'était le combat de sa vie. Il se bat depuis des années pour que l²'on reconnaisse l'innocence de son grand père. Hier outre la déception et la colère, il a à peine aprés avoir accusé le coup annoncé qu'il ne baisserait pas les bras et saisirait les instances européennes. En effet, c'ets maintenant  la seule possibilité  pour tenter de faire reconnaître l'erreur manifeste de la justice française.
Ce qui est surprenant dans la décision d'hier, outre la déception de tous ceux qui pensent que Seznec était innocent, c'ets le fait que les maagistrats de a Cour de cassation dans les quarante pages de l'arret rendu, jusitifient leur décision sur le fait qu'iln'y a pas d'éléments nouveaux, ce qui est manifestement faux. Faux puisqu'il le témoignage d'une femme qui a  apporté des éléments extgrémement interressant sur le politicier qui a mené l'enquête à charge contre Seznec et qui pourrait être impliqué.
Surprenante justice toujours sure d'elle qui ne parvient pas à reconnaître que peut e^ter il y a 82 ans elle a pu se tromper, que le peuple français a pu se tromper.