29 novembre 2006

Réflexions:Ségolène et le christianisme social

Dans son discours,, cela a été particulièrement analysé par les journalistes lors de sond iscours d'investiture on trouve beaucoup d'emprunts aux vocables religieux, créteins. mme Royal revendique t'elle autravers de ces vocables radicalement en rupture avec la prose socialiste habituellle un héritage spirituel?
On peut légitimement s'interroger. Elle nous parle de ferveur, de bonheur,  de dépassement de soi, appelle à s'aider les uns les autres... tous ces traits de langage ne sont pas anodins, ni ne sont dus au hasard. la communciation de Ségolène Royal est beaucoup trop millimétrée pour accepter de telles approximations.
Une partie de la gauche et du PS en particulier par trop libertaire ne peut se retrouver dans ces emprunts quasi mystique, qui renoue avec un certain moralisme. Cette rupture avec les libertaires est totalement assumée par Royal et certainemetn Hollande. D'aucuns s'amuseront à interpréter le labsus de Hollande qui Dimanche derrnier lors de l'investiture de sa compagne a souhaitébattre la gauche.Il s'ets vite repris, mais en psychanalyse cela n'a rien d'anodin. Effectivement avec Ségolène une partiede la gauche est battue, celle de 68. Elle souahite renouer avec une gauche plus collective, plus emprunte du gout de l'effort, du travail, du mérite. Ce discours plait parce qu'il renvoie à un autre temps où la gauche incarnait un espoir, collectif, ce qu'elle n'incarne plus, surtout depuis 81, parce qu'elle a endossé l'ambition de l'épanouissement individuel au détriment du collectif.
Est ce qu'elle peut incarne le retour du collectif, de l'itnert général sur l'interet particulier?
l'avenir nous le dira. Il estc ependant regrettable qu'il faille faire ses emprunts  au moins de manière dubtile à la glause religieuse