29 novembre 2006

Des chardons plein les poches:un peu de retenue cléricaliste ne serait pas de trop dans la presse française

Mardi 28 novembre 2006
 
Benoit XVI se rend en Turquie et tous les journaux  en font des tonnes. Comme si il était de coutume de retranscrire tous les dépalcemetns des chefs d'Etat étrangers. Je ne peux penser en effet, que l'on s'interresse au dépalcement du chef d'une Eglise, et pourtant. Et pourtant on saura rpesque tout des moindres détaisl de son dépalcemetn.où il ira prier, dormir, , où il préchera ses messes, les moyens colossaux de sécurité mis en oeuvre pour assurer sa sécurité, en revanche on ne nous dit pas à la charge de qui...
Alors on peut s'itnerroger de savoir si un tel déploiement médiatique est utile? Ce voyage changera t'il quelqueschose à l'échelle du monde pour en faire autant? Il fallait déjà à l'ancien Cardinal Ratzinger, faire oublier ses propos de 2004, sur son opposion à l'entrée de la Turquie dans l'Union Europééenne. Et puis d'autre part, il fallait surtout qu'il parvienne à dissiper le "malaise", provoqué par ses propos navrants sur sa représentation bélliqueuse de l'Islam. Aujourd'hui chef de l'Eglise Catholique Apostholique et Romaine, il entend incarner une ouverture vers les autres religions, vers les autres composantes du Christianisme, notammetn les Orthodoxes, avec lesquels le division est conommée depuis 1203. Ce professeur de Théologie trouvera certainement les mots pour apaiser les division à l'intérieur du monde chrétien. En fin stratège, il parviendra certainemetn à expliquer au Premier Minsitre, qui doit le recevori dans un des salons de l'aéroport, que la Turquie est le trait d'union indispensable entre l'Euroep et l'Orient. la Turquie par sa position géopolitique, par ce que c'est une nation musulmane, mais à volonté laïque et non arabe a une place à part. l'Europé aurait interet à le prendre en considération et à accepter de les intégrer ne serait ce que pour sortir la Turquie de son facheux tête à tête avec les USA.
 
Mais nous ne leurrons pas, les arrières pensées purement religieuses de Ratzinger sont là. il edntend repartir dans une politique proséllyte comme son prédecesseur en s'appuyant sur ulliance plus grande entre l'ensemble des crhétiens.
Symboliquement il ira visiter Sainte Sophie, qui fut successivement une Basilique et une Mosquée pour devenir un Musée
N'est ce pas là, la vraie victoire de la laïcité, le jour où les lieux de culte seront tous des musées, où l'on célébrera la culture plutôt que d'yentretenir l'obscurentisme.