11 mai 2007

Nabot Léon à l'Elysée!

Dimanche 6 mai 2007
 
Ca y est!
il a gravi la dernière marche, pour reprendre son expression de campagne, "il ne me reste plus qu'une marche à gravir!"
Les Français avec une participation de 85%, ont élu Sarkozy à la Présidence de la République, avec un peu plus  de 53% des voix.
Cette victoire large est le résultat d'une campagne bien menée, et d'n travail de refondation dogmatique de la droite.
Ce travail n'a pas eu lieu au sein de la gauche, et particulièrement du PS.
C'ets comme si, seule la droite avait tiré les conséquences du 21 avril.
Le PS porte une responsabilité particulière dans cet échec. Et particulièrement son Premier Secrétaire. En effet, Hollande par son obstination à ne pas engager les débats de fonds, pour préserver son fauteuil a endormi intellectuellement le PS. Espérant l'effet de balancier entamé depuis 1978, où chaque majorité parlemetnaire sortante n'a âs été reconduite, les socialistes ont patiemment attendu, l'alternance, et se sotn donc absout de travailler à l'élaboration d'une vraie alternative politique, indispensable pour avoir une chance de convaincre les électeurs. Le PS a oublié qu'il a certes été majoritaire lors des régionales, cantonnales, et européennes de 2004, mais a échoué comme le gouvernement raffarin en 2005, lors du référendum, et surtout, ces pseudo victoires sont dues à l'échec de la droite et pas vraiment à une adhésion aux propositions de la gauche.
 
Si le pS, ne se refonds pa, si le PS ne réfléchit pas à une vraie alternative, il est fort probable que nous ayosn Nicolas Sarkozy pour trés longtemps occupé Chateau.
 
Le futur Président fit un discours de rassmblement, c'ets la loid u genre
fort peu convaincant quant à sa sincérité, compte tenu du dotn qu'il a donné à sa campagne électorale, et il est toujours interressant de voir comment on prend le pouvoir, cela témoigne de la manière dont on le pratique.
 
et parce qu'il faut sourire, ce qui fut drôle c'ets cette drole de fête à la Concorde. La gauche se retrouve à la Bastille, la droite Place de la Concorde
on vit rejaillir  les gloires du giscardisme,
Mireille Matthieu en tête entonnant puissammant la Marseillaise, a capella devant une foule finalement clairsemée, puisqu'il n'était que 30 000. Il faut se souvenir que le 10 mai 81, ils étaient 200 000 plce de la Bastille, pour ici et maintenant espérer de changer la vie!