04 mars 2007

Des chardon s plein les poches:Bayrou, un homme de droite avant tout!

Samedi 24 février 2007
Le Béarnais, est certes plus sympathique, que l'ex Maire de Neuilly. Il inquiète moins, il parait l'incartnation de la campagne publicitaire du Crédit Agricole, il y a quelques années, "le bon sens prés de chez vous".
Il préconise l'union nationale, pour sortir la France de l'ornière.
Ce prof cultivateur, qui veut renverser les tables, faire une révolution tranquille, celle du milieu.
Ce n'est pas la guerre des Jacobins, contre les Girondins, l'avènement des Montagnards, l'incarnation des Bébertistes, non rien de tout cela, là ce que nous propose le député, qui sait conduire les tracteurs, c'est la réconciliation natioanle.
certes ce peut êter tentant, mais aprés avoir eu une Présidentielle volée en 2002, pour cause de campagne navrante de Jospin, ayant permis au borgne d'être au second tour, peut on prendre le risque encore cette fois, ci de ne pas trancher des questions politiques essenteilles?
Peut on encore être dans le non dit, et faire comme en 2002, d'envoyer une majorité Présidentielle pour soutenir un Président dont on ne saura pas pourquoi il a été élu?
Bayrou se ferait élir, sur l'illusion Chevénementiste, du Pole Républicain, qu'au dessu de la droite et de la gauche il y a une valeur la République. Cette vision c'ets du démocratisme, pas étonnant de la part d'un démocrate chrétien, mais ce n'ets pas cela de la République. La république c'ets croire en l'interet général au dessus de tout, en donnant un ligne politique. Oui, il y a des républicains à droite et à gauche, et certainemetn même au centre.
Jusque là le centre ne fut jamais que le soutien pivot de la droite, en tout cas c'ets ainsi depuis le début de la cinquième République.
Bayrou reste celui, qu'il fut en étant Minsitre de l'Education Nationale et qu'il mit un milions de Français en plein mois de janvier dans les rues de Paris, pour défendre la laïcité, contre la réforme de la loi Falloux, le 16 janvierr 1994.
On peut changer, penserez vous, certainemetn mais peut on changer au point de renier ces precepts idéologiques. Bayrou est un chrétien social, adepte de Mousnier, et cela est structurant chez lui, de ce fait il ne sera jamais un défenseur irréosul de la République.
Pour ma part je reste attaché àla devise de Jaures, qui lie la République aux valeurs du socialisme, comme l'un nourrissant l'autre. Sans la République le socialisme est impuissant, sans le socialisme la République est vide.
La République ne peut être une valeur desincarnée, sinon elle sera comme ces dernières années l'outil de l'oppression, au service d'une classe.
Si les bobos, continuent à se laisser berner par ce non choix, qu'incarne Bayrou, nous aurons pour la seocnde fois la gauche absente du second tour, et cela ne sera pas sans conséquences. Le mouvement social, syndical sera désarmé et le Medef aura beau jeu de ne plus se préoccuper d'aucunes resistances puisque par deux fois la gauche n'aura pas su s'organiser, se structurer pour exister se faire entendre
Ségolène n'est peut êter pas la candidate que nous aurions souhaitée, ce n'est peut être pas la candidate de notre coeur, mais aujourd'hui ce doit être notre candidate de raison, si nous ne voulons pas rendre impuissante durablement la gauche. C'est peut être ce que les anticapitalistes, alter modialistes et macrobiotes décompos attendent, pour exister sur l'impuissance de la gauche en espérant progresser sur la sesepérance sociale que la politique de Bayrou ou Sarko induira nécessairement, mais nous réformistes, nous ne pouvons pas faire ce pari cynique, car des gens souffrent déjà trop de la politique menée depuis cinq ans.
Faisons élir Royal, ensuite ce sera à nous, de nous organiser pour imposer un rapport de force au sein de la gauche, du mouvement social, pour peser, et imposer nos vues et des mesures d'urgence sociale.
Faisons cesser l'imposture de Bayrou, qui est le faux nez de la droite, par un accord bien entendu d'interets convergents entre la droite libérale et sécuritaire et la droite , sociale et créhtienne.